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Anational
Por Patrice Faubert - Wednesday, Jun. 27, 2012 at 3:29 PM

Tout est faux, rien n'est vrai, car rien n'est faux, tout est vrai...


Les idéologies fragmentent
Les enfants, les hommes et les femmes
Les religions séparent
Les enfants, les hommes et les femmes
Tout cela oppose
Tout cela sépare
Tout cela divise
Très peu l'ont dit
Sauf, feu Jiddu Krishnamurti, et feu Henri Laborit
Et si nous l'avions compris
Plus aucun livre, nous ne lirions
Plus aucun film, nous ne verrions
Plus aucun discours, nous n'écouterions
De tout ceci, nous n'aurions plus aucun besoin
La vie, de tout cela, serait si loin
Tant de livres contre la guerre
Et c'est toujours la guerre
Tant de films contre la pollution
Et partout, c'est la pollution
Tant de discours contre la compétition
Et c'est en toutes choses, la compétition
Et aucun animal humain ne rencontre un autre animal humain
Dans de telles conditions
Tous nos efforts restent vains
Ce sont les prisons de l'aliénation
Qui sont l'aliénation de toutes les prisons
La technologie n'est pas la civilisation
Et nous n'avons plus aucune attention
Pour nous-mêmes et pour les autres
Et dans les guerres, tout le monde, se vautre
Il ne faut plus aucun chef, aucun gourou, aucun leader
Chacun , chacune, doit-être sans frontière
Chacun, chacune, doit-être sa propre lumière
Ni international ,ni national, mais anational!
La seule option qui ne fait pas mal
De plus en plus, les gens deviennent savants
Et après? le monde est de pire en pire, dément!
La vraie connaissance n'est pas culturelle
Car cela est une connaissance, toujours purement intellectuelle
Aussi, nous sommes des ignorants
Ainsi, nous sommes des charlatans
Sans cesse, dans la torture de l'argent
Et tout est payant, payant, payant
Et plus aucune vie, pour nos enfants
Plus aucune idée dans le fleuve de la vie
Plus aucune lumière dans la nuit
Encore celui-là, qui nous taquine
Toujours désespérant, avec ses humeurs malignes
Salut les fachos
Salut les bolchos
Vous allez encore me mettre zéro!
Et nous sommes tous et toutes
Plus ou moins , fachos et bolchos
C'est souvent une même route
Le livre de l'historien Zeev Sternhell, le dit bien haut
Sur la droite révolutionnaire
Et du socialisme national héréditaire
Salut les fachos
Salut les bolchos
Vous allez encore me mettre zéro!
Non que cela me décourage
Pas plus que cela m'enrage
Mais c'est si grotesque, si idiot
Que je peux en rire, dans ma nage
Ne comptez pas sur moi, pour vous donner la clef
Je ne suis ni concierge, ni geôlier
Je suis le destin, je vais, je viens
Tout est faux, rien n'est vrai
Et souvent, je m'en vais
Tous les mots sont des pets
A quand, enfin, la vie sur Terre
A quand, enfin, pour nous plaire
Salut les fachos
Salut les bolchos
Vous allez encore me mettre zéro!




Patrice Faubert (2012) puète, peuète, pouète, paraphysicien, Pat dit l'invité sur "hiway.fr"


Las ideologías dividen
Los niños, los hombres y las mujeres
Las religiones separan
Los niños, los hombres y las mujeres
Todo eso se opone
Todo eso separa
Todo eso divide
Muy poco lo dijeron
Excepto, fuego Jiddu Krishnamurti, y fuego Henri Laborit
Y si la hubiéramos comprendido
Más ningún libro, leeríamos
Más ninguna película, veríamos
Más ningún discurso, escucharíamos
Por todo esto, no tendríamos ya ninguna necesidad
La vida, de todo eso, estaría así lejos
Tanto libros contra la guerra
Y es la guerra todavía
Tanto películas contra la contaminación
Y por todas partes, es la contaminación
Tanto discursos contra la competición
Y es en todas las cosas, la competición
Y ningún animal humano se entrevista con otro animal humano
En tales condiciones
Todos nuestros esfuerzos siguen siendo inútiles
Son las prisiones de la enajenación
Quiénes son la enajenación de todas las prisiones
La tecnología no es la civilización
Y no tenemos ya ninguna atención
Para nosotros mismos y para otros
Y en las guerras, todo el mundo, se revuelca
No es necesario ya ningún jefe, a ningún gurú, a ningún líder
Cada uno, cada una, debe-ser sin frontera
Cada uno, cada una, debe-ser su propia luz
¡Ni internacional, ni nacional, pero anational!
La única opción que no hace mal
Cada vez más, la gente se convierte en sabia
¿Y más tarde? ¡el mundo es de peor en peor, lunático!
El verdadero conocimiento no es cultural
Ya que eso es un conocimiento, siempre puramente intelectual
Por ello, somos ignorantes
Así pues, somos charlatanes
Sin cesar, en la tortura del dinero
Y todo es abonado, abonado, abonado
Y más ninguna vida, para nuestros niños
Más ninguna idea en el río de la vida
Más ninguna luz en la noche
Aún aquél, que nos inquieta
Siempre desesperándose, con sus humores astutos
Hola los fachos
Hola los bolchos
¡Va aún a ponerme cero!
Y somos todos y todas Más o menos, fachos y bolchos
Es una misma carretera a menudo
El libro del historiador Zeev Sternhell, el dice bien arriba
Sobre la derecha revolucionaria
Y del socialismo nacional hereditario
Hola los fachos
Hola los bolchos
¡Va aún a ponerme cero!
No que eso me desalienta
No más que eso se encolerice
Pero es tan grotesco, tan idiota
Que puedo reir, en mi natación
No piensan con mi, para darle la clave
No soy ni portero, ni carcelero
Soy el destino, voy, yo vengo
Todo es falso, nada no es verdadero
Y a menudo, me voy
Todas las palabras son pedos
A cuando, por fin, la vida sobre Tierra
A cuando, por fin, para agradarnos
Hola los fachos
Hola los bolchos
¡Va aún a ponerme cero!




Patrice Faubert (2012) puète, peuète, pouète, paraphysicien, Estancamiento dice la huésped sobre “hiway.fr”







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