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Apophtegme et psittacisme
Por Patrice Faubert - Tuesday, Feb. 05, 2013 at 1:56 PM

Le mensonge du cinéma est le cinéma du mensonge...



" Et c'est bien là le scandale, c'est que l'on ne peut plus se mettre en colère tellement l'apathie est générale aujourd'hui que la guerre et les assassinats sont automatiques grâce à l'homme-machine, cette machine-outil, immatriculée mais irresponsable."


Blaise Cendrars (1887-1961) "Bourlinguer"


La mémoire
De l'authentique, toujours assassinée
Est le mémoricide toujours endimanché
Les populations finement abusées
Dans un populicide sans cesse renouvelé
De tous temps, des groupes humains discriminés
Avec des génocides carabinés
Comme nos meubles pollués
Ammonium quaternaire, formaldéhyde
Et des composés organiques volatils, à respirer
Tout ceci complètement humanicide
Enfin, une chanson écologique
Mais sans son chanteur, car plus aucun frénétique !
En 1964, feu (1931-1994) Guy Debord, un vrai lord
Publiait " Contre le cinéma ", il fallait l'oser, alors
Cinéma qui reproduit l'aliénation
A part le génial feu (1924-1978) Edward Davis Wood Junior
Une des rares exceptions, grimaces au bon ton
Il fit de l'anti-cinéma
Comme moi, je fais de l'antipoésie
Et pour me lire, cela plaît et surtout déplaît, mais, c'est gratuit
Thx1138 poèmes, il faut taper sur l'ordinateur, pour lire mes poésies
Car la vérité est bannie, c'est bien cela !
La poésie que j'aime, et bien voilà
C'est celle de feu (1887-1918) Arthur Cravan
C'est celle de feu (1431-disparu en 1463) François Villon
Et d'autres, sans aucun blabla
Le goulag n'est pas qu'en Chine
Partout, il fait bonne mine
Ici, vous pouvez être arrêté
Là, vous pouvez être assassiné
Ailleurs, ce que vous faîtes, est ignoré
Personne ne le sait, ainsi, personne n'est dérangé !
Le goulag qui se voit, est le moins malin
Le goulag sans goulag, est le moins vain
Là, où, la surveillance, se surveille elle-même
Là, où, l'humain se fouette lui-même !
Mais, finalement
A certaines échelles
Tout se transforme rapidement
Comme dans l'ère géologique
Et de son époque du carbonifère
Et de ses insectes géants
Notre fleur, fut notre ancêtre de l'extinction du permien
Qui un jour, permit l'éclosion, de l'humain
Mais un jour, tout disparaît, rien à y faire !
C'est la bagarre des éléments déchaînés
Comme la gigantesque bagarre de Rotterdam
A laquelle prit part, Blaise Cendrars
Et d'autres marins, qui sans être chacun un superman
Terrifiante bagarre qui fit des blessés, des morts, et beaucoup de casse
C'était en 1911, la rixe des visages boxés
Un moment de folie, presque de géologie !
Nous sommes
Tous les poings qui frappent
Nous sommes
Toutes les lèvres qui embrassent
Nous sommes
L'enfant qui se mouche
Nous sommes
La femme qui accouche
C'est le marathon de l'holocène
Au fur et à mesure
Nos yeux s'emplissent de haine
Et des pleurs qu'ils sèment
Nous sommes les avions qui dégueulent
De leurs ventres, des bombes sur les gueules
Et cela n'est jamais du passé
Pour toutes les figures cassées
Pour les rescapés, pour toujours, terrorisés
Mais, il faut suivre l'actualité
Pour ne pas être disqualifié
Même si c'est un disque rayé
Ou alors, réformé du contexte
Vous n'êtes pas politisé, comme c'est bête !
Si c'est la politique qui fait la vie
Alors, tout ce qui fait la vie, est politique
Madame nouveau prend pour époux
Monsieur ancien, un sacré filou
Dont l'enfant, un savant fou
Ou technicien sans âge, gâche tout
L'ancien très mal imité
Et l'humain totalement aliéné
C'est la technologie en plastique
C'est du toc, du troc, et surtout du fric !
La réalité n'est jamais du cinéma
Comme le western, de l'écrire, c'est le cas
Et l'un des rares seuls duels, seul à seul
Eut lieu, le 21 juillet 1865, une fusillade
Entre feu (1837-1876) Wild Bill Hickok
Son arme n'était pas du toc
Et feu David Tutt, qui fut tué
Et pour homicide involontaire, Hickok fut arrêté
Car, à la vérité
Aucun duel n'était toléré !
Le cinéma propage des mensonges
C'est pour les enfants, au pays des songes
Et ainsi, toute la fausseté les ronge
Qui montrerait dans un film
Que feu (1884-1920) Amedeo Modigliani, qui comme dans sa réalité
Mourrait, six mois après avoir, totalement, arrêté
De boire, comme mille
Ferait plouf, car au cinéma, la vérité, on la lime !
Comme les formules toutes faites
Cela va? Et la santé? C'est la forme? Quoi de neuf?
Avec une réponse jamais honnête
Pour ne pas passer pour bébête !
Ainsi, tout le monde ment
Car il faut paraître
Et ne jamais être
Ne jamais pouvoir dire
Que l'on va mal
Sinon, aucune amitié, aucun amour, on vous empale !
Et nonobstant
Comment être dans l'épanouissement
Dans cette société d'argent, où chacune et chacun
Est l'ennemi de tout être humain
Personne ne se voit
Personne ne se croit
Personne ne s'écoute
L'être humain est en déroute
Mais c'est la loi
Du survivre, quoi qu'il en coûte !





Patrice Faubert (2013) puète, peuète, pouète, paraphysicien, Pat dit l'invité sur "hiway.fr"





"Y aquí es donde el escándalo es que no podemos conseguir la apatía enojado tanto está muy extendido hoy en día que la guerra y la matanza son automáticas a través del hombre-máquina, esta máquina-herramienta, registrado pero irresponsable ".


Blaise Cendrars (1887-1961) "Bourlinguer"


Memoria
El auténtico, siempre asesinados
Memoricidio siempre vestido
Poblaciones finamente abusado
En un populicide constantemente renovada
De todos los tiempos, los grupos humanos discriminados
Rifles con genocidio
Como contaminado nuestros muebles
Amonio cuaternario, el formaldehído
Y compuestos orgánicos volátiles en el aliento
Todo esto Humanicide completamente
Finalmente, una canción ecológico
Pero sin su cantante, desesperado porque nadie más!
En 1964, el último (1931-1994) Guy Debord, un verdadero señor
Publicado "Contra el cine", tuvo el coraje, a continuación,
Cine que reproduce la alienación
Aparte del gran incendio (1924-1978) Edward Davis Wood junior
Una de las pocas excepciones, las caras de moda
Hizo anti-cine
Al igual que yo, yo hago antipoésie
Y leí que le plazca y desagrada a lo anterior, pero es gratis
THX1138 poemas, tienes que escribir en la computadora para leer mis poemas
Porque la verdad es prohibido, eso es todo!
Me encanta la poesía, y aunque no
Es el fuego (1887-1918) Arthur Craven
Es el fuego (1431-desaparecido en 1463) François Villon
Y otros, no blabla
El Gulag no está en China
Por todas partes se ven bien
Aquí, usted puede ser arrestado
Aquí, usted puede morir
Además, ¿qué lo hace, se ignora
Nadie lo sabe, y nadie se molestó está!
¿Quién es el gulag, es el más tonto
El gulag sin Gulag, es el menos vanidoso
Aquí, donde la vigilancia se está supervisión
Aquí, donde el ser humano se está azotes!
Pero en última instancia,
A ciertas escalas
Todo cambia rápidamente
Al igual que en la era geológica
Y su tiempo Carbonífero
Y sus insectos gigantes
Nuestra flor, nuestro antepasado fue la extinción del Pérmico
Que un día, permitió el surgimiento de los derechos humanos
Pero un día, todo desaparece, no hay nada que hacer!
Esta es la lucha de los elementos enfurecidos
A medida que la gran pelea Rotterdam
En que participaron, Blaise Cendrars
Y otros marineros, cada uno sin un superhombre
Lucha terrorífica que fue herido, muerto, y un montón de rotura
Fue en 1911, se enfrenta pelea CAJA
Un momento de locura, casi geología!
Nosotros
Todos los puños que golpean
Nosotros
Todos los labios un beso
Nosotros
El niño que vuela
Nosotros
La mujer que da a luz
Este es el maratón del Holoceno
A medida que el
Nuestros ojos están llenos de odio
Y las lágrimas que siembran
Somos el vómito aviones
Sus vientres, bocas bombas en
Y nunca es el pasado
Para todas las figuras rotas
Para los sobrevivientes, siempre aterrorizados
Pero hay que seguir las noticias
No estar inhabilitados
Incluso si es un disco rayado
O reformado contexto
Usted no está politizado, ya que es una estupidez!
Si esta es la política que hace que la vida
Por lo tanto, todo lo que hace que la política es la vida
Señora da por el nuevo marido
Caballero antiguo, un tramposo sagrado
El niño, un científico loco
O técnico ruinas todo sin edad
Ex mal imitado
Y totalmente humano, enajenado,
Esta es la tecnología de plásticos
Es falso, el trueque, y sobre todo el dinero!
La realidad nunca es el cine
Tal como occidental, para escribir, este es el caso
Y uno de los duelos a solas, a solas
Tuvo lugar el 21 de julio de 1865, un tiroteo
Entre el fuego (1837-1876) Wild Bill Hickok
Su arma no era falso
Y el difunto David Tutt, quien fue asesinado
Y homicidio, Hickok fue detenido
Porque la verdad
No duelo no fue tolerado!
Spreads película reside
Esto es para los niños, la tierra de los sueños
Y así, los roe falsedad
Demostrar que en una película
Ese fuego (1884-1920) Amedeo Modigliani, quien en realidad como
Murió seis meses después de haberse detenido por completo
Potable, como un mil
Lo salpicar como el cine, la verdad es que el archivo!
Como fórmulas
Esto se va a ir? Y la salud? Esta es la forma? ¿Qué hay de nuevo?
Con una respuesta honesta nunca
No ir por cursi!
Por lo tanto, todo el mundo miente
Para ello debe parecer
Y nunca
Nunca podrá decir
¿Qué va mal
De lo contrario, no hay amistad, sin amor, te empalar!
Y a pesar
Cómo ser la floración
En esta sociedad el dinero, y que todos
Es el enemigo de todo ser humano
Nadie ve
Nadie cree
Nadie escucha
El ser humano se encamina
Pero es la ley
De la supervivencia a cualquier precio!





Patrice Faubert (2013) puète, peuète, pouète, paraphysicien, Pat dijo el invitado en "hiway.fr"


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