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Le communisme du capital
Por Patrice Faubert - Monday, Apr. 29, 2013 at 9:38 AM

Pas de véritable révolution extérieure, sans une véritable révolution intérieure...

" Je redoute, je l'avoue, l'ambition du savant; mais je redoute plus encore l'ambition de l'ignorant. Il ne suffit pas, hélas, de ne pas savoir faire une chose pour ne pas la faire. "

Camillo Boito ( 1836 - 1914 )

Cent mille tonnes
De déchets radioactifs
Cela laisse la réflexion, aphone
Plastique, fûts radioactifs, c'est pas fictif
Les mers et océans sont nos poubelles
De nos actions pleines de fiel
Tout le monde le constate
En paroles, l'on se hâte
Mais rien n'est fait
Contre, jour après jour, nos méfaits
Du visage de l'humanité, si laid
Les guerres laissent des traces
Elle sont inscrites sur nos faces
Tout ce qui vit aujourd'hui
De toutes les guerres, est le produit
Nous sommes les rescapés
Des guerres et accidents du passé
Nulle part où s'isoler
Le bruit, partout, est généralisé
C'est le voisin de palier
C'est le transport en commun, surpeuplé
C'est le jardin en contiguïté
La tondeuse, les enfants qui crient
Les merguez qui puent, en train de griller
Ce qui est nocif à la santé
En pavillon ou dans un taudis
La vie aliénée pousse ses cris !
Ainsi, tout voisin du voisin, est ennemi
Comme dans le film ( 1976 ) " Le locataire "
De ( né en 1933 ) Roman Polanski, une paranoïa visionnaire
Je ne me lasse pas de le répéter
Les mouvements du monde, c'est notre cerveau incarné
Déjà, le savoir vivre est perdu
Nous vomissons toutes nos aberrations
Au centuple, tout nous est rendu
Et moi, je me mets nu au soleil
Où je le peux, dès que je le peux
Pas besoin d'argent, juste du temps
Comme en Allemagne
En France, c'est pas pareil !
Dès qu'on le fait, c'est possible castagne !
L'énergie solaire réchauffe le corps
Il faut en profiter, avant d'être mort
Pas besoin d'être forcément riche
Si, du regard des autres, l'on se fiche
Il suffit de trouver une bonne niche
Là où il fait beau et chaud
Les bourgeoisies riches ont des lots
Elles veulent en faire un territoire
Où aucun chômeur, aucun vagabond, ne peuvent boire
Et interdit de dormir sur la plage
Le soir, le fascisme vient vous faire son tapage !
Et moi qui chôme dans les livres
Depuis très très longtemps
Sans vouloir devenir un savant
Aujourd'hui, pour la pensée, il n'y a plus de vivres
Toutes les décennies sont répugnantes
De plus en plus jobardes, pas marrantes
En prison, du sexe guillotiné
Quand les mâles ou les femelles
Viennent à manquer, se développe l'homosexualité
Partout, l'environnement peut tout déterminer !
La plupart des animaux non humains
Sont dans la bisexualité
En ce domaine, aucune normalité
Comme dans tout le reste, en vérité
Rien n'appartient à personne
Tout se contente d'être
La nature n'est ni mauvaise, ni bonne
Parfois, cela peut nous apparaître
Rarement, si nos idées sont faites
Car sur tout, nos idées sont toutes prêtes !
Ainsi, quand feu ( 1802 - 1885 ) Victor Hugo
Qui n'était pourtant pas idiot
Et qui dans sa période spirite
Tentait de faire tourner les tables
Pour retrouver feu ( 1824 - 1843 ) Léopoldine Hugo, sa fille noyée, si affable
Ainsi la Chine, qui à cette époque
Vers l'an 1850, avait des lieux d'aisance
Et toujours envahie, tant par les anglais
Et tant par les français
La Chine ne fut jamais envahissante
Le socialisme de caserne
Dans un seul pays, lui convenait bien
En dehors de chez soi, il n'y a rien
La communication en berne
Comme depuis tant d'années, chacun chez soi
Partout sur la Terre, chacun pour soi
Chaque être humain
Pourrait être tout à fait extraordinaire
Au lieu d'être tout à fait ordinaire
Chaque être humain
N'est donc jamais né
Chaque être humain
N'est donc jamais mort
Du rêve de la matière, il sort
Pour tant d'illusions
Sans cesse, nous nous agitons !
Tout est une signalisation
Tout est codé, réglé, enregistré, fiché
Du destin organisé, nous sommes les jouets
De sa matrice, nous sommes les faits
Nous sommes le mouvement quantique
A l'échelle de sa réglementation psychologique
Feu ( 1868 - 1944 ) Paul Otlet, une tête
Fut le vrai père théorique, du réseau de l'internet
Le monde est une galette
Les gros morceaux, pour les truands
De tous les gouvernements
Pour les populations, quelques miettes
Le monde est fichu
Mais ce qu'il en reste
La domination en fait fête
C'est la vérité toute nue !
Le capitalisme est internationaliste
En rugby, en football, dans les clubs, le professionnalisme
Des joueurs de tous les pays, le sportisme
Dans une même équipe, un même club, ô cynisme
Une moquerie retournée à la bêtise nationaliste !
L'argent n'a pas de patrie
L'argent n'a pas de parti
L'argent n'a pas de pays
C'est le communisme du capital
La solidarité des crapules, qui fait mal
Jamais de véritable révolution extérieure
Sans une véritable révolution intérieure
Se défaire de tout ce que l'on sait
Se détacher de tout ce que l'on a
Car, c'est tout ce qui nous emprisonne
Car, c'est tout ce qui nous empoisonne
Toutes les cultures sont bourgeoises
A nos vies, de haut, elle nous toisent !




Patrice Faubert ( 2013 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien, ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur "hiway.fr"



"Me temo que, lo confieso, la ambición de los científicos;. Pero temo más la ambición de los ignorantes no es suficiente, por desgracia, no sé una cosa que no lo hiciera."

Camillo Boito (1836 - 1914)

Cien mil toneladas
Los residuos radiactivos
Esta reflexión hojas, que no tienen voz
Barriles radiactivos plástico no es ficción
Los mares y océanos son nuestra basura
Nuestra acción llena de hiel
Todo el mundo encuentra
En otras palabras, se apresura
Pero no se hace nada
Contra, día tras día, nuestras fechorías
El rostro de la humanidad, tan feo
Las guerras dejan huellas
Se enumeran en la cara
Todo lo que vive hoy
De todas las guerras, es el producto
Somos sobrevivientes
Las guerras y los accidentes del pasado
En ningún lugar de aislar
El sonido está muy extendida a lo largo de
Este es el vecino de al lado
Este es el transporte, el hacinamiento
Esta es la contigüidad jardín
La cortadora, los niños gritando
Merguez maloliente en tostado
Lo cual es perjudicial para la salud
Pabellón o en un barrio marginal
La vida enajenada empuja sus gritos!
Por lo tanto, cualquier vecino vecino es un enemigo
Al igual que en la película (1976) "El Inquilino"
De (n. 1933) Roman Polanski, una paranoia visionario
No me canso de repetir
Los movimientos del mundo, es nuestro cerebro encarnado
Ya se ha perdido la etiqueta
Nos vomitar todas nuestras aberraciones
Ciento, mientras nos fuimos
Y me pongo desnuda bajo el sol
Cuando puedo, siempre que puedo
No necesita el dinero, el tiempo justo
Al igual que en Alemania
En Francia, no es lo mismo!
Una vez hecho esto, es posible peleas!
La energía solar calienta el cuerpo
Hay que aprovechar, antes de la muerte
No necesariamente tienen que ser rico
Si los ojos de los demás, no nos importa
Sólo tienes que encontrar un buen nido
¿Dónde es agradable y cálido
La rica burguesía tiene mucha
Ellos quieren hacer un área
Cuando no paro, no errante no puede beber
Y prohibido dormir en la playa
El fascismo llega la noche para que su raqueta!
Y yo ociosa en los libros
Desde un tiempo muy largo
Sin querer ser científico
Hoy, por el pensamiento, hay más alimentos
Todos décadas son un asco
Más jobardes, no tiene gracia
En la cárcel, el sexo guillotinado
Cuando los machos o hembras
Faltan, desarrolla la homosexualidad
En todas partes, el ambiente puede determinar todo!
La mayoría de los animales no humanos
Están en la bisexualidad
En esta zona, hay normalidad
Al igual que con todo lo demás, en la verdad
Nada pertenece a cualquiera
Todo está feliz de estar
La naturaleza no es ni malo ni bueno
A veces puede parecer que nos
Rara vez, si se hacen las ideas
Para todas nuestras ideas son todo listo!
Por lo tanto, cuando la luz (1802 - 1885) Victor Hugo
Lo cual no era, sin embargo tonto
Y en su período espiritualista
Trató de cambiar las tornas
Para encontrar el fuego (1824 - 1843) Léopoldine Hugo, su hija se ahogó, por lo afable
Y China, que en ese momento
Alrededor del año 1850, tenía retretes
Y siempre invadida por tanto Inglés
Y tanto los franceses
China nunca entrometido
Cuarteles Socialismo
En un país, que era muy adecuado
Aparte de la casa, no hay nada
Mástil de Comunicación
Como durante tantos años, cada hogar
En todas partes de la Tierra, cada uno por su lado
Cada ser humano
Podría ser algo extraordinario
En lugar de ser bastante común
Cada ser humano
Por lo tanto, nunca es nacido
Cada ser humano
Por lo tanto, nunca es muerta
El sueño de la materia dio a conocer
Para muchas ilusiones
Constantemente, nos preocupamos!
Todo es una señalización
Todo está codificado, ajuste, grabado en el archivo
Destino organizado, somos juguetes
Su matriz, que se hacen
Somos el movimiento cuántico
En el ámbito de la regulación psicológica
Fuego (1868 - 1944) Paul Otlet, una cabeza
¿El verdadero padre teórico de la red Internet
El mundo es un pastel
Trozos de mafiosos
Todos los gobiernos
Para las poblaciones, algunas migajas
El mundo está en ruinas
Pero lo que queda
Dominación hace parte
Esta es la pura verdad!
El capitalismo es internacionalista
En el rugby, el fútbol, ​​los clubes, profesional
Jugadores de todos los países, sportisme
En el mismo equipo, el mismo club, O cinismo
Una burla volvió a la tontería nacionalista!
El dinero no tiene patria
El dinero no era parte
El dinero no tiene patria
Este es el comunismo del capital
La solidaridad de los canallas, que duele
Nunca revolución aire libre verdadera
Sin una verdadera revolución interna
Deshazte de todo lo que sabemos
Romper con todo lo que era
Porque esto es lo único que nos aprisiona
Porque eso es lo único que nos plagas
Todas las culturas son burgueses
En nuestras vidas, por encima, nos mira fijamente!




Patrice Faubert (2013) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat dijo el invitado en "hiway.fr"

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