Distorsion spatio-temporelle
Por Patrice Faubert - Friday, Jul. 05, 2013 at 4:13 AM

La réalité du cinéma n'est jamais le cinéma de la réalité...

La réalité du cinéma
N’est jamais le cinéma de la réalité
Le cinéma de la subversion
N’est jamais la subversion du cinéma
Comme Luis Bunuel, ancien surréaliste
Qui est un résigné stupide, selon les situationnistes
Car la réalité
N’est jamais filmable
La réalité est inflammable
Aussi le cinéma l’interdit
Aussi le cinéma en fait fi
Politique, érotique, drame, comédie
Tout y est subtilement usiné
Et l’en-dehors est de la pornographie
Un simple souvenir, pour le prouver
Sous un drapeau noir
Pour la vérité sans éteignoir
Dans une chambre pleine de bougies
Une femme sur un lit
Elle porte une ancienne guêpière
Avec sur ses jambes, des bas noirs, l’allure fière
Les pointes de ses seins
Accentuées au rouge à lèvres
Pour donner à mon sexe, la faim
Pour que mon envie, jamais, ne soit mièvre
Son soutien-gorge est troué
En deux endroits étudiés
Sa culotte rose est transparente
Ouverte et d’humeur galante
Je suis assis sur une chaise
Scopophile, fort à l’aise
Les mains attachées, nu, le membre dressé
Galopin au regard coquin
Elle prend une bougie
Jouant avec, dans son vagin
Rendant ainsi fou, mon pauvre vit
A cet instant, cette femme partage ma vie
Distorsion spatio-temporelle, sans début et sans fin
Am, stram, gram
Je n’en puis plus
De ses jarretelles tendues
Miam-miam, miam-miam
Je veux aspirer tous ses jus
De son corps, jamais, je ne suis repu
Je veux maintenant l’empaler
De ma verge, par sa bouche, excitée
Et puis, tout, d’outre-moralité
Un simple souvenir, de grande banalité
Au cinéma serait censuré
Et si en plus
Il y a des dialogues subversifs
C’est de la décadence, vont dire les minus
Le cinéma n’aime pas le vindicatif
Seulement le spectaculaire industriel, le normatif
Tout doit être en conformité
Avec des codes à la labellisation certifiée
Pas un cheveu ne doit dépasser
Drame, comédie, érotisme, pornographie
Documentaire, fiction, fantastique, indéfini
Mais toujours
La réalité du cinéma
N’est jamais le cinéma de la réalité
Tout y est dissocié
Tout y est séparé
Le cinéma n’est pas la vie
Cela n’est que la vie du cinéma



Patrice Faubert ( 1979 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l’invité sur « hiway.fr »


La realidad del cine
Nunca cine de la realidad
El cine de la subversión
Nunca película subversión
Como Luis Buñuel, ex surrealista
Eso es una estupidez renunciado, según los situacionistas
Debido a la realidad
Nunca filmable
La realidad es inflamable
También prohibió el cine
También ignora el cine
Políticos, erótico, drama, comedia
Todo está mecanizado sutilmente
Y fuera de la pornografía
Una memoria simple, para demostrar
Bajo una bandera negro
En verdad, sin extintor
En una habitación llena de velas
Una mujer en una cama
Ella lleva un viejo corsé
Con las piernas, medias negras, la mirada grande
Las puntas de sus pechos
Acentuado con lápiz labial rojo
Dar mi sexo hambre
Por mi deseo, nunca o cursi
El sujetador se perfora
Dos sitios de estudio
En sus bragas de color rosa son transparentes
Estado de ánimo abierto y galante
Estoy sentado en una silla
Scopophile, muy cómodo
Manos atadas, miembro erecto desnudos
Galopin mirar travieso
Ella toma una vela
Jugando con en su vagina
Así lo loco, mis pobres vidas
En ese momento, la mujer comparte mi vida
Una cápsula del tiempo, sin principio y sin fin
Am Stram, Gram
No puedo más
Sus ligas apretadas
Yum-yum, yum-yum
Quiero chupar todo el jugo
Su cuerpo, nunca, estoy saciado
Ahora quiero empalar
Mi pene, a través de su boca, emocionado
Y toda la moralidad en el extranjero
Una memoria simple, alta banalidad
Cine es censurada
Y si además
Hay diálogos subversivos
Esta es la decadencia, le dirá al menos
La película no le gusta vengativa
Sólo el espectacular industrial, la normativa
Todo debe estar en conformidad
Con certificado códigos etiquetado
Ni un cabello no deberá exceder
Drama, comedia, el erotismo, la pornografía
Documental, ficción, fantasía, indefinido
Pero aún así
La realidad del cine
Nunca cine de la realidad
Todo se separa
Todo se separa
El cine no es la vida
Esta es la vida del cine


Patrice Faubert (1979) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat dijo el invitado en "hiway.fr"

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