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Diarisme de l'artilect
Por Patrice Faubert - Wednesday, Jul. 10, 2013 at 2:47 AM

L'utopie c'est le capitalisme, le capitalisme de l'utopie...

Tirez la bobinette
Et la chevillette cherra
Dîtes-moi comment vous me voyez
Je vous dirais qui vous êtes
Brûler ou publier
M’écrivit ( née en 1941 ) Alice Debord
En me renvoyant un manuscrit
Fort mauvais, et qui maintenant, dort
J’ai effectivement été pyromane
A mon écriture monomane
Mais dans ma cervelle grenier
D’anciens textes, je sus préserver
Et voici l’écriture électronique
Qui soulève sa jupe impudique
Petit à petit, je la livre au public
La sérénité de n’être jamais un classique
A chaque instant
Je voyage dans le temps
J’ai dix ans, j’ai vingt ans
J’ai quarante ans, j’ai soixante ans
Le plus grand des secrets
Est de n’avoir aucun secret
Ce qui devient finalement le vrai secret
Je ne fais pas l’apologie
De la pauvreté
Je ne fais pas l’apologie
De la richesse
C’est une seule et même aliénation
Il n’y a pas opposition mais fusion
La plus grande
Des drogues
C’est l’addiction sexuelle
Au fond, la plus naturelle
Mais il y faut
Soit de l’argent
Soit du temps
Ce qui dans notre système marchand
Revient au même chant
L’argent qui fait le gagnant
La dèche qui fait le perdant
Comme ( né en 1951 ) Charles Graf, ex-boxeur, ancien délinquant
Champion ( 1985 ) de boxe poids lourd
Et qui perdit son titre, sur un mauvais tour
Il fit de la prison, s’y cultiva
Corps et physique, grâce à ( né en 1951 ) Peter-Jünger Book, qui l’y incita
Un ancien terroriste, réussit, là, où l’administration pénitentiaire, échoua
Puis son titre injustement perdu
Par un boxeur honnête ( né en 1962 ) Thomas Classen, lui fut rendu
La mafia ne peut rien
Contre le symbolique
Qui a eu une réalité physique
Et qui devient la vérité historique
Si nous avalons
De la nourriture sans la mâcher
Difficile en est la digestion
Cela est pareil pour l’imagination
De tout ce qui paraît à la télévision
Tout nous est imposé de l’extérieur
Et tout meurt dans notre for intérieur
L’imagination a besoin d’une image
Qui à l’imagination est un tapage
La stimulation de l’imagination
N’est que l’imagination de la stimulation
Si un documentaire peut produire de la réflexion
Toute fiction appauvrit l’imagination
Elle est une nourriture vite avalée
Jamais vraiment digérée, vite oubliée
La lecture seule attise l’imaginaire
Comme faire des choses, sans aucun intermédiaire
L’instinct sexuel
Est castré dès la naissance
Sinon, belles ou pas belles
Sinon, beaux ou pas beaux
Face à face, dos à dos
Dans la rue, partout, de la sensualité, une kermesse
Pas comme les déodorants
Pour estomper les phéromones
Pour de l’acte sexuel, faire l’aumône
Et ainsi se faire la guerre, méchant, impuissant
Notre adresse
C’est la planète Terre
Où toute femme est notre mère
Où toute femme est notre soeur
Où toute femme est notre fille
Pour un homme
Où tout homme
Est notre père
Où tout homme
Est notre frère
Où tout homme
Est notre fils
Pour une femme
Mais il faut une conscience global
Mais il faut un partage total
C’est le contraire de l’utopie
L’utopie c’est le capitalisme
De croire au bien-être, à cette alchimie
Dans les inégalités, les injustices, le fascisme
D’avoir le ventre plein
Quand l’autre a le ventre vide
D’avoir le regard serein
Quand l’autre a les yeux éteints
Toutes les larmes
Accumulées, sur des milliers d’années
Toutes les peines
Du passé, qui brisent nos âmes
La Terre est un corps humain
Elle rit, elle pleure, elle va, elle vient
Tout est toujours en décalage
Et cela nous met dans une cage
Où c’est trop tôt
Où c’est trop tard
La notion de propriété nous égare
Puis la mort vient, avec sa faux
La lucidité se fait chanter
Comptine, par la sensibilité
Hélas, souvent affiliée à la moralité
L’esprit qui serait délivré
De la souffrance et de ses ténèbres
Une vallée de larmes, pourrait traverser
Et rester vierge de toute égratignure
Depuis 1971, la lutte contre la drogue
Est une drôle de morgue
Mille milliards de dollars
45 millions de personnes arrêtées
L’étatisme de la drogue
La drogue de l’étatisme
Cela nourrit la carcéralité
Pour le capitalisme, c’est un marché
Plus le moindre larcin
Et le capitalisme n’est plus rien
Il produit ce qui le fait vivre
Et à sa justice, il livre
Le capitalisme est un délinquant
A tout ce qui est vivant
Sa police a besoin du crime
Son armée est sa firme
C’est le capital qui filme
Toujours des prétextes, des maximes
Pas contre les chinois
Mais c’est l’opium
Pas contre les noirs
Mais c’est la cocaïne
Pas contre les mexicains
Mais c’est la marijuana
Le prétexte social
Qui scotomise la maxime raciale
Tout attachement est une aliénation
L’aliénation de l’attachement
Au sexe, à la famille, à des idées, à un pays
A des meubles, à une région, à des biens, à une idéologie
A des enfants, à des parents, à des souhaits, à des amis
A des souvenirs, à des projets, à l’argent, à une patrie
A l’espoir, au désespoir, à la haine, aux gémonies
A tout ce qui aurait pu être
Et qui à nos vies fut traître
De cette prison
Personne ne peut sortir
De cette prison
Pour personne, aucun avenir
Moi, toi, eux, elles, lui
De mauvaises cartes, une mauvaise partie
L’être humain
A la femme, à l’homme, à l’enfant, est un spadassin
Toujours s’expliquer
Se définir, se justifier
Métier, âge, profession ?
Goûts , maladies, passions ?
Diplômes, instruction, obligations ?
Mariage, célibat, séparation ?
Voilà notre relation
Toute imbue de domination
Moi, toi, eux, elles, lui
Tout ce qui est défini
Est le contraire de la vie
Les bons comptes
Ne font pas les bons amis
Les bons comptes
Ne font que des bons comptables
Comme me le disait, d’un ton aimable
Pierre, un jeune copain vendéen
A qui je rends ce bien
Pas de quoi se vexer
C’est la stricte vérité


Patrice Faubert ( 2013 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l’invité sur « hiway.fr »


Tire bobinette
Y el pestillo de cierre
Dime cómo me ves
Te diré quién eres
Grabar o publicar
Me escribió (1941) Alice Debord
Al enviar me un manuscrito
Muy mal, y ahora duerme
Yo estaba en realidad pirómano
En mis escritos monomaniac
Pero en mi cerebro ático
En los textos antiguos, sabía preservar
Y aquí está la escritura electrónica
Levantando su falda inmodesta
Poco a poco, me entrego al público
La serenidad de no ser un clásico
En cada tiempo de
Yo viajo en el tiempo
Tengo diez años, veinte años que tengo
Tengo cuarenta, soy sesenta años
El mayor secreto
Es tener ningún secreto
Que en última instancia se convierte en el verdadero secreto
No estoy condonando
Pobreza
No estoy condonando
Riqueza
Es una y la misma disposición
No hay oposición, pero la fusión
El más grande
Drogas
¿Qué es la adicción sexual
Básicamente, la más natural
Pero tiene que
Cualquier dinero
O el tiempo
Lo que en nuestro sistema de mercado
Es la misma canción
El dinero es el ganador
Down and Out hace que el perdedor
Me gusta (nacido en 1951) Charles Graf, ex-boxeador, ex delincuente
Champion (1985) de boxeo de peso pesado
Y perdió su título en un truco
Él fue a la cárcel, se cultiva
Y el cuerpo físico a través de (n. 1951) Peter libro Jünger, quien se anime
Un ex terrorista, tiene éxito, allí, donde la administración penitenciaria no
Luego perdió su título injustamente
Por boxeador (n. 1962) honesto Thomas Classen, se hizo
La mafia no puede hacer nada
Contra lo simbólico
Quien tuvo una realidad física
Y eso se convierte en la verdad histórica
Si nos tragamos
Alimentos sin masticar
Es difícil digestión
Esto es similar a la imaginación
Todo lo que aparece en la televisión
Todo lo que se nos impone desde fuera
Y todo lo que muere dentro de nosotros
La imaginación necesita una imagen
Que la imaginación es una raqueta
Estimular la imaginación
Es sólo la imaginación de la estimulación
Si un documento se puede producir la reflexión
Todos ficción imaginación empobrecida
Es un restaurante de comida rápida se ingiere
Nunca realmente digerida rápidamente olvidado
La lectura sólo despierta la imaginación
Al igual que hacer las cosas sin ningún intermediario
El instinto sexual
Castrado al nacer
De lo contrario, bella o no bella
De lo contrario, bella o no bella
Cara a cara, espalda con espalda
En la calle, en todas partes, la sensualidad, una feria
No como desodorantes
Para desenfocar feromonas
Durante el acto sexual, dar limosna
Y así hacer la guerra, desagradable, impotente
Nuestra dirección
Este es el Planeta Tierra
Donde cada mujer es nuestra madre
Donde cada mujer es nuestra hermana
Donde cada mujer es nuestra hija
Para un hombre
Cuando todos los hombres
Es nuestro padre
Cuando todos los hombres
Es nuestro hermano
Cuando todos los hombres
Es nuestro hijo
Para una mujer
Pero necesitamos una conciencia global
Pero se necesita una cuota total
Esto es lo contrario de la utopía
La utopía es el capitalismo
Creer en el bienestar, esta alquimia
En la desigualdad, la injusticia, el fascismo
Tener el estómago lleno
Cuando el otro con el estómago vacío
Tener la mirada serena
Cuando el otro se ha desvanecido ojos
Todas las lágrimas
Acumulada durante miles de años
Todas las sentencias
El pasado que rompen nuestros corazones
La Tierra es un cuerpo humano
Ella se ríe, llora, se va, viene
Todo está siempre compensado
Y nos pone en una jaula
Cuando es demasiado pronto
En caso de que sea demasiado tarde
El concepto de propiedad nos engaña
Luego viene la muerte con su guadaña
Lucidity es cantar
Rima, la sensibilidad
Por desgracia, a menudo asociado con la moral
La mente que se emite
El sufrimiento y la oscuridad
Un valle de lágrimas, pudo cruzar
Y permanecer libre de cualquier rasguño
Desde 1971, la lucha contra las drogas
Es un depósito de cadáveres divertido
Trillón
45 millones de personas detenidas
Drogas estatismo
La droga del estatismo
Esto alimenta el carcéralité
Para el capitalismo, que es un mercado
El hurto menor
Y el capitalismo no es nada
Se produce lo que hace que la vida
Y su justicia, que ofrece
El capitalismo es un delincuente
En todo ser viviente
Sus policía necesita delincuencia
Su ejército es su firma
Se trata de la filmación de capital
Siempre excusas, las máximas
No contra los chinos
Pero es el opio
No contra los negros
Pero es la cocaína
No en contra de México
Pero, ¿qué es la marihuana
Motivos sociales
Quién scotomise máxima racial
Todo apego es una alienación
La enajenación de los datos adjuntos
Género, familia, ideas, país
Un mueble, la región, la propiedad, la ideología
Tener hijos a los padres, deseos, amigos
A memorias, proyectos, dinero, una casa
Una esperanza, la desesperación, el odio, la calumnia
Tiene todo lo que podría ser
Y nuestra vida fue un traidor
Esta prisión
Nadie puede
Esta prisión
Para cualquier persona, no hay futuro
Yo, tú, ellos, ellos, ellos
Tarjetas de Bad, bad parte
El ser humano
Para la mujer, el hombre, el niño es un matón
Siempre explique
Definir justificar por sí solo
Ocupación, edad, profesión?
Los gustos, las enfermedades, las pasiones?
Diplomas, la educación, las obligaciones?
El matrimonio, el celibato, la separación?
Esta es nuestra relación
Imbuido todo de dominación
Yo, tú, ellos, ellos, ellos
Todo lo que se define
Es lo contrario de la vida
Buenas cuentas
No hacer buenos amigos
Buenas cuentas
Sólo hacer buenos contadores
Como ya he dicho, un tono amistoso
Pierre, un joven amigo Vendée
¿Quién le doy esta propiedad
No hay nada que ofenda
Esta es la verdad absoluta


Patrice Faubert (2013) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat dijo el invitado en "hiway.fr"

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