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Entropie ou l'anarchie inversée
Por Patrice Faubert - Friday, Aug. 08, 2014 at 3:45 AM

Entropie de l'anarchie, l'anarchie de l'entropie...

Speed of light
299792458 m/s
1079252848,8 km/h
L'espace vide n'est pas vide
C'est la politique qui est vide
L'espace peut se tordre, se courber, onduler
C'est le tissu du cosmos, ce qui nous fait vibrer
Autre chose que l'argutie, l'algarade de la politique, toujours le bide
Le monde c'est l'espace avec des choses dedans
La politique en est son dément
Et des dizaines de millions d'enfants esclaves
Dans le monde, Asie, Afrique, Inde
Le capital a toutes sortes de cages
Pour ne pas s'émouvoir, l'humanité se blinde
Dans le même temps, le programme spatial s'étend
A la recherche de la vie extraterrestre
Ailleurs, cet argent, l'on pourrait le mettre
Et puis, c'est sur la planète Terre
Que les gens doivent se rencontrer
Ce qui reste toujours à faire
Pour enfin vraiment communiquer
Et l'idéologie, la religion, la croyance
Sont là justement pour nous en empêcher
Et abolir ainsi toute nitescence !
Aussi, c'est l'ère de l'aérospatiale
C'est en vérité la frustration qui s'étale
Certes
Notre soleil transforme 1 million de tonnes
D'hydrogène en hélium, rien ne nous étonne
A chaque seconde depuis 4,6 milliards d'années
Mais si cela était comparé
A Antarès ou Bételgeuse, notre soleil est riquiqui
Notre galaxie a 12 milliards d'années
Des galaxies naines elle peut manger
Et chaque galaxie en son centre, abrite un trou noir
Qui mange ses étoiles comme des poires
Galaxies elliptiques ou spirales
Un phénomène qui semble banal
Dans chaque galaxie, une explosion d'étoile
Supernova, tous les 70 ans, qui tisse sa toile
Et toujours l'esclavage des enfants
Dans le monde entier, c'est navrant
Il faut bien extraire le mica
Indispensable pour l'électronique, voilà
Alors, certes, c'est enthousiasmant
200 milliards d'étoiles dans notre seule galaxie
Comme pour l'univers, c'est le principe d'entropie
Comme pour l'anarchie, aucune hiérarchie
Un peu, de ce fait, comme chez les fourmis
S=k.log W, c'est la formule de la vie
Même si, peut-être, dans 100 milliards d'années, c'est fini
Car notre univers va s'évaporer
Même plus besoin de temps pour mesurer
9,192,631,770 d'oscillations par seconde
De l'atome de césium, plus besoin, dans aucun monde
Plus aucune galaxie émétique
Malgré 1 milliard de la supernova frénétique
Mais aussi, peut-être, des tas de planètes
Autour de chaque étoile, c'est chouette
Et des tas d'univers dans le multivers
Des mondes parallèles et parfois répétés
Joies, peines, décès, naissances, échecs, succès
De tout ce qui est, les mêmes excès !
Et aussi, l'anarchie, enfin réalisée
Autres mondes, autres lieux, où tout est dépossédé
Où tout est dépeuplé, pour pouvoir se réaliser
Et plus de choses nous savons
Plus notre ignorance nous accroissons
Pour simplement savoir que nous ne savons rien
C'est ainsi et c'est très bien
Même si notre regard pense y voir au loin
Comme cette matière noire
Véritable glu cosmique
Il faut pourtant y croire
Sans elle, rien ne se fabrique
Mais au niveau d'organisation de la Terre
Pour tout, pour rien, c'est la guerre
La soumission y est totalement généralisée
Par ce qui l'architecture, la pensée séparée
Il faut y jouer son rôle, calquer son programme
Sinon c'est le rejet, c'est le drame
Les enfants, les parents, les bons, les méchants
Les jeunes, les vieux, les ignorants, les savants
Ce sont des panoplies
Que nous endossons pour la vie
Rien n'est naturel
Tout est naturel
Apprentissage du conditionnement
Conditionnement de l'apprentissage
Comme les préférences hormonales
Cela n'est ni bien ni mal
Toujours aussi selon un référent
Qui varie selon les temps !
La plupart
Des pauvres n'ont pas de vie sexuelle
La plupart
Des riches ont une vie sexuelle
Car comme tout le reste
Sinon plus, tout s'achète
Par la profession, le statut social
Par la sécurité, le standing
Pour avec les femelles, faire des loopings
C'est comme du dumping
Avec du baratin, se vendre, tout un carnaval
C'est ce que l'on appelle la vie sociale
Si tu n'as pas un rond, laid ou beau
Pas de piaule, pas de femme, tout tombe dans l'eau
Tu n'auras que dalle !
C'est cela aussi
La réalité de notre société
Tout peut s'y vendre, tout peut s'y acheter
Ou alors, de tout, il faut faire fi
Ce monde n'est pas l'anarchie
Aussi, c'est pour tout, le mépris
Tout y est puant, tout y est décevant, tout s'y chie !
Comme en France
En 1896, les noirs victimes de médisance
Des sauvages, que la république
Devait civiliser, ô l'impudique
Il y avait le village nègre
Ou le jardin d'acclimatation, comme une pègre
Des pièces jetées dans l'eau, pour s'amuser
Pour que les noirs, ces sauvages, aillent les chercher
En 1931, l'exposition coloniale de Paris
Et les centaines de milliers de soldats noirs, de 1914, on les oublie
En 1927, c'est le journal " La voix des nègres ", c'est la révolte
L'identité des noirs se construit, cela dépote
Et le lettré noir
A le droit d'afficher
Indigène évolué sur sa carte d'identité !
Et l'industrialisation
Qui apporte tant de maladies
Est une sorte de péréquation
Pour réguler la surpopulation
En France, 2003, la canicule
15000 décès, de personnes âgées
Quand le capital régule
C'est assez évident pour qui sait observer
Aux Etats-Unis
A la vérité si peu unis
Par les armes à feu
30.000 tués par an, mais oui
Et chaque pays joue à ce jeu
Chaque pays à sa dette
Pour mettre les pauvres à la diète
2000 milliards d'euros
Pour la France, comme c'est beau
Oh ! dans ce monde ne règne que le faux !

Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "

Velocidad of luz
299792458 m/s
1079252848,8 km/h
El espacio vacío no es vacío
Es la política que es vacía
El espacio puede torcerse, curvarse, ondular
Es el tejido del cosmos, lo que nos hace vibrar
Otra cosa que la sutileza, la escaramuza de la política, siempre la barriga
El mundo es el espacio con cosas dentro
La política es su lunática
Y decenas de millones de niños esclavos
En el mundo, Asia, África, la India
El capital tiene toda clase de jaulas
Para no mover, la humanidad se blinda
Al mismo tiempo, el programa espacial se extiende
En busca de la vida extraterrestre
A otra parte, este dinero, se podría ponerlo
Y luego, es sobre el planeta Tierra
Que la gente debe encontrarse
Lo que queda siempre por hacer
Para por fin de verdad para comunicar
Y la ideología, la religión, la creencia
Son allí precisamente para impedirnos
¡Y suprimir así todo nitescence!
Por ello, es la era del aeroespacial
Es en verdad la frustración que se extiende
Ciertamente
Nuestro sol transforma 1 millón de toneladas
De hidrógeno en helio, nada nos asombra
A cada segundo desde 4,6 mil millones de años
Pero si se comparara eso
A Antarès o Bételgeuse, nuestro sol es chiquitines
Nuestra galaxia tiene 12 mil millones de años
Galaxias enanas puede comer
Y cada galaxia en su centro, alberga un agujero negro
Quién come sus estrellas como peras
Galaxias elípticas o espirales
Un fenómeno que parece banal
En cada galaxia, una explosión de estrella
Supernova, cada 70 años, que teje su tela
Y siempre la esclavitud de los niños
En todo el mundo, es apenando
Es necesario extraer bien la mica
Indispensable para la electrónica, aquí
Entonces, ciertamente, es entusiasmando
200 mil millones de estrellas en nuestra sola galaxia
Como para el universo, es el principio de entropía
Como para la anarquía, ninguna jerarquía
Un poco, por lo tanto, como en las hormigas
S=k.log W, es la fórmula de la vida
Aunque, quizá, en 100 mil millones de años se termina esto
Ya que nuestro universo va a evaporarse
Incluso más necesidad de tiempo para medir
9,192,631,770 de oscilaciones por segundo
Del átomo de cesio, más necesidad, en ningún mundo
Más ninguna galaxia emética
A pesar de mil millones de la supernova frenética
Pero también, quizá, de los del montóces planetas
En torno a cada estrella, es buho
Y del montón del universo en el multivers
Mundos paralelos y a veces repetidos
Alegrías, dolores, muerte, nacimientos, fracasos, éxito
¡De todo lo que es, los mismos excesos!
Y también, la anarquía, por fin realizada
Otros mundos, otros lugares, donde se desposee todo
Dónde todo se despuebla, para poder realizarse
Y más cosas sabemos
Más nuestra ignorancia aumentamos
Para para saber simplemente que no sabemos nada
Es así y está bien muy
Aunque nuestra mirada hay a lejos
Como esta materia negra
Verdadera liga cósmica
Es necesario hay
Sin ella, no se fabrica nada
Pero en organización de la Tierra
Para todo, para nada, es la guerra
Se generaliza la oferta completamente
Por lo que la arquitectura, el pensamiento separado
Hay su papel, copiar su programa
Si no es el rechazo, es el drama
Los niños, los padres, las órdenes, los malévolos
Los jóvenes, los viejos, los ignorantes, los científicos
Son panoplias
Que asumimos para la vida
Nada no es natural
Todo es natural
Aprendizaje del acondicionamiento
Acondicionamiento del aprendizaje
Como las preferencias hormonales
Eso no es ni bien ni mal
Siempre también según un referente
¡Quién varía según el tiempo!
La mayoría
Pobres no tienen vida sexual
La mayoría
Ricos tienen una vida sexual
Ya que al igual que el resto
Si no más, todo se compra
Por la profesión, el estatuto social
Por la seguridad, la situación
Para con las hembras, hacer rizos
Es como dumping
Con la palabrería, venderse, todo un carnaval
Es lo que se llama la vida social
Si no tienes un redondo, feo o bonito
Pas de pia, no mujer, todo cae en el agua
¡Sólo tendrás losa!
Es eso también
La realidad de nuestra sociedad
Vendérselo todo puede, comprárselo todo puede
O entonces, hacer de todo, es necesario FI
Este mundo no es la anarquía
Por ello, es para todo, el menosprecio
¡Hay que apesta, es decepcionante, todo allí se caga!
Como en Francia
En 1896, las negras víctimas de murmuración
Salvajes, que la República
Debía civilizar, ô el impúdico
Había el pueblo negro
O el invernadero, como un hampa
Partes lanzadas el agua, para divertirse
Para que los negros, este salvajes, van a buscarlos
En 1931, la exposición colonial de París
Y los centenares de millares de soldados negros, de 1914, se los olvida
En 1927, es el Diario “la voz de los negros”, es la rebelión
La identidad del negros se construye, eso descarga
Y el docto negro
Al derecho a indicar
¡Indígena evolucionado sobre su carné de identidad!
Y la industrialización
Quién aporta tanto de enfermedades
Es una clase de igualación
Para controlar la superpoblación
En Francia, 2003, la canícula
15000 muertes, de ancianos
Cuando el capital controla
Es bastante evidente para que sabe observar
En los Estados Unidos
A la verdad así poco unidos
Por las armas de fuego
30.000 matados al año, pero sí
Y cada país juega a este juego
Cada país a su deuda
Para poner los pobres a la dieta
2000 mil millones de euros
Para Francia, como es bonito
¡¡oh!! ¡en este mundo sólo reina la guadaña!

Patrice Faubert (2014) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway.fr”

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