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Syllogomanie
por Patrice Faubert •
Saturday, Aug. 23, 2014 at 12:10 PM
" C'est qu'en vérité il ne s'agissait pas des richesses au sens où nous l'entendons à nos époques et dans nos mentalités capitalistes. Les richesses étaient aussi les apparences merveilleuses d'une vie passionnément aimable que l'instant de la mort ne dénaturait pas. "
Philippe Ariès ( 1914-1984 ) " Essais sur l'histoire de la mort en Occident du Moyen Âge à nos jours " Aux Editions du Seuil ( 1975 )
Il fut un temps, où le radium
Pour la santé, c'était le summum
C'est ce que l'on disait
Alors que tout, déjà, l'infirmait
Puis au tout radium
Vint le tout atomique, optimum
Car quand est bombardé un atome d'uranium
Par un neutron, c'est une explosion
Et chaque atome d'uranium bombardé
Deux autres neutrons va libérer
C'est la réaction en chaîne
Détonation de l'explosion atomique qui se déchaîne
Mais pour l'armée, la radioactivité
Cela était sans danger
Ainsi, c'est après un essai atomique
Que fut tourné, c'est tragique
En 1953, dans un désert radioactif
Le film "Le conquérant " c'est pas fictif
Avec ( 1907-1979 ) feu John Wayne, si réactionnaire
Et autres cobayes d'une vraie guerre
Qui plus tard le payèrent
220 firent partie de l'équipe de tournage
Et il y eut parmi elle de grands ravages
91 moururent des suites d'un cancer
Dont Wayne, 46 de diverses maladies
Et une tête d'épingle est remplie
De cent milliards de milliards d'atomes, un enfer
Et au moins 300 essais nucléaires
Qui en rien ne dissuadèrent
Ils sont obtus les militaires !
Sans compter les accidents
D'un je-m'en-foutisme méprisant
Comme le B52 qui en 1968, en Amérique, s'écrasa
Avec 4 bombes d'hydrogène dedans
Et du plutonium dispersé à tout-va
Pour préparer la guerre, c'est charmant
Maintenant tout est soi-disant contrôlé
Mais les réacteurs nucléaires peuvent exploser !
Et des déchets, civils ou militaires
Jamais l'on ne pourra se débarrasser, ne pas le taire
Et au fond, partout, il y a le feu
Notre codage nerveux
Est le résultat d'un codage social
Régit, de la naissance à la mort, par le capital
La société spectaculaire marchande techno-industrielle
Avec ses gens, joue à sa marelle
Toute sa surface irradie du fiel
Qui se fait passer pour du miel
Il ne reste que l'imaginaire
Pour la révolution vraiment révolutionnaire
Et non pas les farces des révolutions réactionnaires
Téter les seins de toutes les speakerines
Qu'après elles vident nos pines
Toutes les pimbêches avec la jupe relevée
Pour les yeux, enfin se rincer
Enfin, des femmes courant après les hommes
Pour les capturer, les abuser, à tous les tomes
Dans l'aliénation qui est générale
L'humour érotique passe pour anormal
Il faut penser droit, être un clone
De toute société, de toute faune !
Pas étonnant
Que l'ex-URSS, fit un essai
Avec sa plus grosse bombe en altitude
En 3 mois, via feu ( 1921-1989 ) Andreï Sakharov, en étude
Et le 30 octobre 1961, un truc vraiment laid
Bombe H de 27 tonnes et de 50 mégatonnes
La folie jamais ne s'étonne
Pour répondre au made in USA
Ou Castle Bravo, bombe H de 15 mégatonnes
Le premier mars 1954, quelle bêtise, pouah
Sur l'atoll de Bikini, qui en resta aphone
En 2014, c'est toujours inhabitable
Comme va le devenir le monde entier, c'est indubitable
C'est une syllogomanie restreinte et généralisée
Qui de toute inutilité fait de l'utilité
Tant de choses et d'objets
Nous pourrions nous passer
Et ce pour la vie, sans aucun méfait
Mais nous avons appris à posséder, à thésauriser !
Chaque pays est égocentré
Et en pleine inhumanité
De ce fait, par exemple, du paludisme
Meurt un enfant toutes les trente secondes
Masochiste et sadique est notre monde
Que nous créons chaque jour
Et à qui nous faisons toutes sortes de cour !
Notre monde présent annonce même ses futures catastrophes
Dans des films ou des documentaires télévisés
Ce qui y est caché, c'est que nous sommes déjà dans la catastrophe
Ce qui nous attend est déjà là
Et quitter le navire personne ne le pourra !
Chaque année, un pas de plus, vers le précipice
Aucun vrai épanouissement dans le capitalisme
Cela n'est que le paradis des artifices !
De tout cela, toute idéologie est complice
De tout cela, toute religion est complice
De tout cela, toute propriété est complice
De tout cela, toute autorité est complice
Tout film en est la propagande
Tout roman en est la prébende
Et je ne suis ni désespéré ni désespérant
C'est notre monde qui est désespéré et désespérant
Un monde de gâchis et de désolation, c'est bien navrant !
Nous nous contentons de ce que nous avons
Jamais, vraiment, nous n'avons ce que nous voulons
En amour, en amitié, avec l'argent, tout est truqué
Comme pour les âges, les classes sont bien séparées
Nos vies, par le capital, sont organisées
Et nos désirs, nos envies, nos plaisirs, le capital sait les conditionner !
Sinon, tout pourrait se plaire
Sinon, tout pourrait se faire
Dans une société globalement libertaire
Ou tout serait parfaitement égalitaire
Histoire des mentalités
Mentalités de l'Histoire
La mort y est d'autant plus cachée
Ou alors niée ou refusée
Que toute vie humaine est échouée
Dans divers engrenages, et toute activité salariée
Le langage de la séparation
Est la séparation du langage
Nos bagages sont remplis de mort
Comme dans nos têtes et dans nos corps
La mort n'est pas notre futur ou d'un autre temps
La mort est toujours de notre présent
Ou alors, la seule mort qui vaille
Pour détruire toutes ses failles
C'est de mourir tout de suite
Et ce sans aucune fuite
Aux préjugés, aux jugements de valeur, aux lieux communs
Ni femme, ni homme, ni enfant, mais l'être humain
Les mentalités ont une histoire
Des époques, des lieux, des régions et des pays, c'est la foire
Automatismes, déterminismes, divers conditionnements
Tout ce qui en fait partie, forcément, ment
Mais à tout, il faut un commencement
Pour enfin faire autrement !
Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "
“Es que en verdad no se trataba de las riquezas al sentido donde lo oímos a nuestros tiempos y en nuestras mentalidades capitalistas. Las riquezas eran también las apariciones maravillosas de una vida apasionadamente agradable que el momento de la muerte no desvirtuaba. ”
Philippe Ariès (1914-1984) “Pruebas sobre la historia de la muerte en Occidente de la Edad Media a nuestros días” a las Ediciones del Límite máximo (1975)
Hubo un tiempo, donde el radio
Para la salud, era el súmmum
Es lo que se decía
Mientras que todo, ya, lo invalidaba
Luego al conjunto radio
Vino todo ello atómico, óptimo
Ya que cuando se bombardea un átomo de uranio
Por un neutrón, es una explosión
Y cada átomo de uranio bombardeado
Dos otros neutrones van a liberar
Es la reacción en cadena
Detonación de la explosión atómica que se desencadena
Pero para el ejército, la radiactividad
Eso estaba sin peligro
Así pues, es después de una prueba atómica
Que se volvió, es trágico
En 1953, en un desierto radioactivo
La película “el conquistador” no es ficticio
Con (1907-1979) fuego John Wayne, tan reaccionario
Y otros cobayas de una verdadera guerra
Quiénes más tarde lo pagaron
220 formaron parte del equipo de rodaje
Y hubo entre ella grandes devastaciones
91 se murieron de las consecuencias de un cáncer
Que Wayne, las 46 distintas enfermedades
Y se llena una cabeza de alfiler
De ciento mil millones de mil millones de átomos, un infierno
Y al menos 300 pruebas nucleares
Quiénes de ningún modo no disuadieron
¡Son embotados los militares!
Sin contar los accidentes
De un pasotismo que desprecia
Como el B52 que en 1968, en América, se aplastó
Con 4 bombas de hidrógeno dentro
Y del plutonio dispersado a todo-ir
Para preparar la guerra, es encantador
Manteniendo todo se supone que se controla
¡Pero los reactores nucleares pueden estallar!
Y de los residuos, civiles o militares
Nunca no se podrá quitarse, no callarlo
Y básicamente, por todas partes, hay el fuego
Nuestra codificación nerviosa
Es el resultado de una codificación social
Regula, del nacimiento a la muerte, por el capital
La sociedad espectacular comercial tecnoindustrial
Con su gente, mejilla a su rayuela
Toda su superficie irradia de la hiel
Quién se hace pasar para miel
No sigue siendo más que el imaginario
Para la revolución de verdad revolucionaria
Y no las bromas de las revoluciones reaccionarias
Mamar los senos de todas las presentadoras
Que después ellas vacian nuestro pinadas
El todo marisabidilla con la falda observada
Para los ojos, por fin aclararse
Por fin, mujeres corriendo después de los hombres
Para para capturarlos, abusarlos, a todos los volúmenes
En la enajenación que es general
El humor erótico pasa para anormal
Es necesario pensar derecho, ser un clon
¡Por toda sociedad, de toda fauna!
No asombroso
Que antigua Urss, hizo una prueba
Con su más grande bomba en altitud
En 3 meses, mediante fuego (1921-1989) Andreï Sakharov, en estudio
Y el 30 de octubre de 1961, un truco de verdad feo
Bomba H de 27 toneladas y de 50 megatoneladas
La locura nunca no se asombra
Para responder al made en los EE.UU
O Castle Bravo, bomba H de 15 megatoneladas
El primero marzo de 1954, qué idiotez, ¡puaj!
Sobre el atolón de Biquini, que siguió siendo áfono
En 2014, es siempre inhabitable
Como va el pasar a ser el mundo entero, es indudable
Es un syllogomanie limitada y generalizado
Quién de toda inutilidad hace la utilidad
Tanto cosas y objetos
Podríamos prescindir
Y esto para la vida, sin ninguna fechoría
¡Pero aprendimos a poseer, atesorar!
Cada país égocentré
Y en plena inhumanidad
Por lo tanto, por ejemplo, del paludismo
Meurt un niño cada treinta segundos
Masoquista y sádico es nuestro mundo
Que creamos cada día
¡Y a que hacemos a toda clase de tribunal!
Nuestro mundo presente anuncio propio sus futuras catástrofes
En películas o documentales televisadas
Lo que se oculta allí, es que ya estamos en la catástrofe
Lo que nos espera está ya allí
¡Y dejar el buque nadie lo podrá!
Cada año, un paso además, hacia el precipicio
Ninguna verdadera expansión en el capitalismo
¡Sólo el paraíso de las astucias!
Por todo eso, toda ideología es cómplice
Por todo eso, toda religión es cómplice
Por todo eso, toda propiedad es cómplice
Por todo eso, toda autoridad es cómplice
Pura película es la propaganda
Toda novela es la prebenda
Y no soy ni desesperado ni desesperándose
Es nuestro mundo que es desesperado y de desesperación
¡Un mundo de gasto y desolación, es apenando bien!
Nos satisfacemos de lo que tenemos
Nunca, de verdad, no tenemos lo que queremos
En amor, en amistad, con el dinero se amana todo
Como para las edades, las clases son bien separadas
Se organizan nuestras vidas, por el capital
¡Y nuestros deseos, nuestros deseos, nuestros placeres, el capital saben condicionarlos!
Si no, agradárselo todo podría
Si no, hacérselo todo podría
En una sociedad globalmente libertaria
O todo sería perfectamente igualitario
Historia de las mentalidades
Mentalidades de la Historia
Se oculta la muerte tanto más
O entonces negada o negada
Que se falla toda vida humana
En distintos engranajes, y toda actividad por cuenta ajena
La lengua de la separación
Es la separación de la lengua
Nuestros equipajes se llenan con muerte
Como en nuestras cabezas y en nuestros cuerpos
La muerte no es nuestro futuro o de otro tiempo
La muerte es todavía de nuestro presente
O entonces, la única muerte que vale
Para destruir todas sus faltas
Es morir inmediatamente
Y esto sin ninguna fuga
A los prejuicios, a los juicios de valor, a los tópicos
Ni mujer, ni hombre, ni niño, pero el ser humano
Las mentalidades tienen una historia
Tiempos, lugares, regiones y países, es la feria
Automatismos, determinismos, distintos acondicionamientos
La totalidad lo que en realidad parte, inevitablemente, miente
Pero, el todo tarda un principio
¡Por fin para hacer diferentemente!
Patrice Faubert (2014) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway.fr”