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Paraphysique de l'isonomie et du dressage
Por Patrice Faubert - Sunday, Oct. 12, 2014 at 5:16 AM

Fausse isonomie des miroirs qui nous mirent...

C'est le dressage
Qui fait tous les carnages
C'est l'éducation du dressage
Le dressage de l'éducation
A l'école, à l'usine, au bureau, au lycée
Au stade, en prison, au piano, à l'université
En voiture, en avion, en train, en bateau
Nous sommes dressés
Femmes, hommes, enfants, c'est notre totalité
Par notre environnement
Par notre conditionnement
Ce que nous lisons
Ce que nous entendons
Ce que nous voyons
Ce que nous croyons
De la façon
Dont notre cerveau est codé
Comme un système dynamique
Propre à cette mathématique
Analyse des probabilités
Probabilités des analyses
Dressage de l'équation
L'équation du dressage
Des modèles de la probabilité
De la probabilité des modèles
Ici en langage philosophique
Que pourrait traduire la mathématique
Violence de la transformation
Transformation de la violence
Comme davantage de travail
Et donc plus d'argent
C'est le mensonge qu se ment
Contre cela, pas d'éventail
Les gens veulent de l'argent
Pour se loger, manger, se soigner
Les gens ne veulent pas de travail
Mais l'argent du travail
N'est que le travail de l'argent
De l'argent qui nous raille
Si au moins
Les transports, tous les transports
Devenaient gratuits, dans le monde entier
Pour tous et toutes, pouvoir enfin se déplacer ou voyager
De ville en ville, de port en port
Après tout
Nous transportons nos 206 os avec nous
Notre 1, 5 kg de microbes avec nous
De tous les jours, c'est notre roue
Des idées bien dressées
Qui savent si bien nous diviser
Cela produit de la lutte des classes
Qui forcément, jamais ne se lasse
Comme les 3524 morts et mortes
De la guerre d'Irlande, de la sorte
Sans compter tous les chagrins mortels
De tous les eux, de toutes les elles
UVF, UDR, des loyalistes protestants
Avec l'armée anglaise, des riches partisans
Avec l'impérialisme britannique
Rien de religieux, mais une guerre politique
Car ici, ce sont les pauvres qui sont catholiques
Avec l'IRA, l'armée de la république
De 1968 à 1998, ce fut un éternel Titanic
Dont la construction débuta à Belfast
C'était en 1909, un vrai faste
Puis, ce fut la guerre, logique
Puis ce fut la paix, toute théorique
En 1998 par les accords de Belfast
Mais tout est si fragile
Quand les haines ne sont pas futiles
Même si toutes les guerres sont les mêmes
C'est la surpopulation, aussi, qui les sème !
Chair à profit, chair à canon
Dictature rime souvent avec surpopulation
Il faut une décroissance totale
Surtout dans le domaine natal
Plus aucun enfant ne devrait naître
Pour que l'humanité puisse renaître
Et comme partout, tout se privatise
La fausse conscience se modélise
La pensée séparée se prise
Elles sont devenues les façons de vivre
Le système à tous les domiciles, il les livre
C'est cela qui nous habille
C'est cela qui nous pense
C'est cela qui nous réfléchit
C'est cela qui nous nourrit
C'est cela qui nous construit
Comme le train, de plus en plus pourri
C'est de plus en plus cher, dans tous les pays
C'est l'autorité de la concurrence
La concurrence de l'autorité
Et des lignes TER si dangereuses
Que des cheminots les trouvent périlleuses
C'est pour les pauvres, pas d'entretien
C'est pas rentable, le capital est un vaurien
Et en France, en 2019, des opérateurs privés
La SNCF, qui fut fondée le premier janvier 1938
Risque ainsi d'être un jour, regrettée
Mais la privatisation, c'est déjà fait, à la vérité !
Payer, toujours payer
Pour se loger, pour se déplacer ou voyager
Pour manger, dormir, pour baiser
C'est toujours donnant donnant
Rien, ainsi, n'est gratuit, c'est navrant
Nous devons faire ceci ou cela
Pour en échange avoir ceci ou cela
Il faut faire sa parade
Et cela n'est pas une charade
Dans la vie de tous les jours
A la marchandise, il faut faire sa cour
Sinon, plus aucun bonjour
Il faut jouer le jeu
Il faut y aller de son feu
Pour du mâle, pour de la femelle
Pour un restaurant, pour un cinéma
Pour un ceci, pour un cela
L'humanité se cherche des querelles
Il faut avoir un travail
Que jamais la bouche ne baille
Il faut avoir des enfants
Il faut devenir des parents
Il faut être avidement
Une église, une secte, une idée, un parti, une patrie
Sinon, c'est l'horreur, c'est l'anarchie
Il faut se conformer à toutes les saloperies
Alors
Qu'il faudrait tout arrêter
Alors
Qu'il faudrait tout lâcher
Tout repenser, tout recommencer
Mais nos racines
Ce sont nos certitudes
Mais nos racines
Ce sont nos habitudes
Pas moyen de s'en défaire
Là, sont nos véritables fers !
Comme aussi
Toute expression, toujours toute faite
A laquelle, tout dressage se prête
Comme ne pas faire son âge
L'on fait toujours son âge
A défaut de faire son âge
Physiologiquement et surtout historiquement
Mais c'est plus ou moins évident
Si l'on a vécu 10 ans
Si l'on a vécu 20 ans
Si l'on a vécu 40 ans
SI l'on a vécu 60 ans
5, 20, 30 , 40, 60, 80, 120 ans
Dans le corps, cela s'inscrit
Dans l'esprit, cela s'inscrit
Après c'est de l'apparence
Qui est toujours de la fausse confidence !
Et en France, 31 pour cent
Des gens, en 2050, auront plus de 60 ans
Et adviendra, le monde de la voiture automatique
Pour des personnes fébriles, le tout robotique
L'organisation de la vie, si triste
Avec si peu de joie, si pessimiste
Cela fait le tourisme djihadiste
Des jeunes paumés y vont en vacances
Puis l'on y fait son lit, en permanence
Pour la gloire, l'aventure, l'émotion, la passion
L'amitié, l'attractivité, d'une vie en transition
Cela séduit plus que l'alibi de la religion
Psychologie du terrorisme
Ou terrorisme de la psychologie
Mais c'est le capitalisme
Qui contient et entretient tous les totalitarismes
Mais toute explication est forcément réductrice
Dans ce monde où TOUT devient complice
Ipso facto, il faut se soumettre, obéir
Fausse isonomie, des miroirs qui nous mirent
C'est là, tout le dressage
Le capital, partout, ravage
Comme le virus Ebola, comme le virus sida
De la prostitution de Kinshasa
1920 Ebola, 1984 sida, avant et déjà
C'était le colonialisme au Congo
Tintin au Congo, c'est pas beau
Tout se propage, tout se mondialise
Chacun, chacune, y porte sa valise
Dressage des mentalités
Mentalités du dressage

Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité " hiway.fr "

Es el levantamiento
Quién hace todas las matanzas
Es la educación del levantamiento
El levantamiento de la educación
A la escuela, a la fábrica, a la oficina, al colegio
A la fase, en prisión, al piano, a la universidad
En coche, en avión, en tren, en barco
Se nos elabora
Mujeres, hombres, niños, es nuestra totalidad
Por nuestro medio ambiente
Por nuestro acondicionamiento
Lo que leemos
Lo que oímos
Lo que vemos
Lo que creemos
De la manera
Que nuestro cerebro se cifra
Como un sistema dinámico
Consustancial a estas matemáticas
Análisis de las probabilidades
Probabilidades de los análisis
Levantamiento de la ecuación
La ecuación del levantamiento
Modelos de la probabilidad
De la probabilidad de los modelos
Aquí en lengua filosófica
Que podrían traducir matemáticas
Violencia de la transformación
Transformación de la violencia
Como aún más trabajo
Y en consecuencia más dinero
Es la mentira qu se miente
Contra eso, no hay abanico
La gente quiere dinero
Para colocarse, comer, ocuparse
La gente no quiere trabajo
Pero el dinero del trabajo
Sólo es el trabajo del dinero
Dinero que nos burla de
Si al menos
Los transportes, todos los transportes
Se volvían gratuitos, en todo el mundo
Por todos y todas, poder por fin desplazarse o viajar
De ciudad en ciudad, de puerto en puerto
Después de todo
Transportamos Nos. 206 huesos con nosotros
Nuestros 1,5 kg de microbios con nosotros
Diario, es nuestra rueda
Ideas bien elaboradas
Quiénes saben así dividirnos bien
Eso produce la lucha de clases
Quién inevitable, nunca no se cansa
Como las 3524 muertes y muertas
De la guerra de Irlanda, de este modo
Sin contar todas las penas mortales
Todos los ellos, de todas el ellas
UVF, UDR, de los partidarios leales protestantes
Con el ejército inglés, de los ricos partidarios
Con el imperialismo británico
Nada de religioso, pero una guerra política
Ya que aquí, son los pobres que son católicos
Con IRA, el ejército de la República
De 1968 a 1998, fue un eterno Titanic
La que construcción comenzó en Belfast
Era en 1909, un verdadero fasto
Luego, fue la guerra, lógica
Luego fue la paz, muy teórico
En 1998 por los acuerdos de Belfast
Pero todo es tan frágil
Cuando los odios no son vanos
Aunque todas las guerras son las mismas
¡Es la superpoblación, por eso, que los siiembra!
Carne a beneficio, carne de cañón
Dictadura rima a menudo con superpoblación
Es necesario una disminución total
Sobre todo en el ámbito nativo
Más ningún niño debería nacer
Para que la humanidad puede reaparecer
Y como por todas partes, todo se privatiza
La falsa conciencia se modela
El pensamiento separado se tomado
Se convirtieron en las maneras de vivir
El sistema a todos los domicilios, los suministra
Es eso que nos equipa
Es eso que nosotros piensa
Es eso que nos reflexiona
Es eso que nos alimenta
Es eso que nos construye
Como el tren, cada vez más descompuesto
Es cada vez más costoso, en todos los países
Es la autoridad de la competencia
La competencia de la autoridad
Y de las líneas TER tan peligrosas
Que ferroviarios los encuentran arriesgadas
Es para los pobres, no mantenimiento
No es rentable, el capital es un granuja
Y en la Francia, en 2019, de los operadores privados
La SNCF, que fue fundada el primero enero de 1938
Riesgo así un día, lamentarse
¡Pero la privatización, esto ya se hace, a la verdad!
Pagar, siempre pagar
Para colocarse, desplazarse o viajar
Para comer, dormir, para besarse
Es siempre que da dando
Nada, así, no es gratuito, es apenando
Debemos hacer esto o eso
Para en intercambio para tener esto o eso
Es necesario hacer su desfile
Y eso no es una charada
En la vida diaria
A la mercancía, es necesario hacer a su tribunal
Si no, más ningún buenos días
Es necesario jugar el juego
Se trata nada menos que de su fuego
Para el varón, para la hembra
Para un restaurante, para un cine
Para uno esto, para uno eso
La humanidad se busca de las peleas
Es necesario tener un trabajo
Que nunca la boca no bostece
Es necesario tener niños
Es necesario convertirse en padres
Es necesario ser ávidamente
Una iglesia, una secta, una idea, un partido, una patria
Si no, es el horror, es la anarquía
Es necesario nos ajustarse a todas las inmundicias
Entonces
Que sería necesario detenerlo todo
Entonces
Que sería necesario liberárselo todo
Reconsiderarlo todo, reiniciarlo todo
Pero nuestras raíces
Son nuestras certezas
Pero nuestras raíces
Son nuestras prácticas
No medio de deshacerse
¡Allí, son nuestros verdaderos hierros!
Como también
Cualquier expresión, siempre toda hecha
Al cual, todo levantamiento se presta
Como no hacer su edad
Se hace siempre su edad
A falta hacer su edad
Fisiológica y sobre todo históricamente
Pero es más o menos evidente
Si se ha vivido 10 años
Si se ha vivido 20 años
Si se ha vivido 40 años
SI se ha vivido 60 años
5,20,30, 40,60,80,120 años
En el cuerpo, eso se inscribe
En el espíritu, eso se inscribe
Después de esto es de la aparición
¡Quién está todavía de la falsa confianza!
Y en Francia, 31 para - cientos
Gente, en 2050, tendrá más de 60 años
Y ocurrirá, el mundo del coche automático
Para personas febriles, la toda robótica
La organización de la vida, tan triste
Con así poca alegría, tan pesimista
Eso hace el turismo djihadiste
Jóvenes hay de vacaciones
Luego se hace su cama, permanentemente
Para la gloria, la aventura, la emoción, la pasión
La amistad, el poder de atracción, de una vida en transición
Eso seduce más que la coartada de la religión
Psicología del terrorismo
O terrorismo de la psicología
Pero es el capitalismo
Quién contiene y mantiene todos los totalitarismos
Pero toda explicación es inevitablemente reductora
En este mundo donde TODO se vuelve cómplice
Ipso facto, es necesario someterse, obedecer
Falsa isonomía, de los espejos que nos reflejaron
Es allí, todo el levantamiento
El capital, por todas partes, devastación
Como el virus Ebola, como el virus SIDA
De la prostitución de Kinshasa
1920 de Ebola, 1984 SIDA, antes y ya
Era el colonialismo en el Congo
¡ni hablar! en el Congo, no es bonito
Todo se propaga, todo se mundializa
Cada uno, cada una hay su maleta
Levantamiento de las mentalidades
Mentalidades del levantamiento


Patrice Faubert (2014) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Estancamiento dice a la huésped “hiway.fr”

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