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De Malik Oussekine à Rémi Fraisse, éréthisme policier
Por Patrice Faubert - Thursday, Oct. 30, 2014 at 3:49 AM

Tous les symboles du capital, il faudrait les casser...


C'est toujours la guerre civile
Mais c'est pas manifeste, c'est subtil
L'Economie remplace les fusils
L'Economie est une monarchie
Comme une caverne de Bornéo
Pour les 3 millions de chauves-souris, c'est le peuple du haut
La grotte du Cerf, la plus grande du monde
Et une montagne de guano qui y tombe
Pour nourrir le peuple du bas
Des armées gigantesques de cancrelats
Comme les pauvres chez les humains
Et de tous ceux, de toutes celles, qui ont faim
Et la Lune est mieux connue
Que nos cavernes si inconnues
Les diplopodes ( mille-pattes ) de 20 cm et des crabes
Cavernes qui grandissent, elles veulent du rab
10 pour cent de la surface terrestre
C'est du calcaire, de l'ancien naître
Et si l'argent fait la banque
Qui fonce sur tout comme un tank
Comme la calcite
Qui fait les stalactites et les stalagmites
Tout est comparable
Mais finalement dans l'incomparable
Comme les 1000 macaques de l'ile de Cayo
Qui se trouve dans les Caraïbes
La biologie de l'évolution est un étau
Où chaque espèce a son propre RIB
Des macaques qui furent ramenés de l'Inde
Il y a plus de 75 ans, et donc, en Caraïbes
Où l'alpha, le dominant, est maintenant le plus agressif
Pas toujours le cas, mais souvent, c'est récessif
Mais le macaque ne sait pas pourquoi
L'être humain, lui, peut savoir pourquoi
Le macaque recherche la dominance
L'être humain recherche la dominance
Mais l'être humain en a l'explication !
Certes
Le népotisme hiérarchique
Chez les primates est mimétique
De la famille au monde
Comme feu ( 356-323 avant notre ère ) Alexandre le Grand
Aux yeux d'Olympias, sa mère, un dieu, un géant
Mais dans sa dominance persécutrice
Il brûla Persépolis
Nul ne le conteste, il fut un grand guerrier
A cette époque, il fallait l'être pour régner
Et la mort de Bucéphale
Son cheval, qui jamais, ne fut un rival
Le fit s'effondrer, le fit pleurer
Feu ( 384-322 ) Aristote fut son précepteur
Ce qui n'empêcha pas son rêve de grandeur !
Depuis longtemps, il n'est plus besoin
Pour être le chef des chefs, de savoir se battre
Contre tout et contre rien
C'est maintenant la richesse qui peut tout abattre !
Et dans toutes les grandes villes
Plein de travaux inutiles
Imaginés par des cerveaux futiles
Technocrates et autres imbéciles
Et cela produit des nuisances sonores, diverses agressions
Pour les gens et surtout les personnes âgées, l'ancienne génération
Cela agit sur le cerveau entérique
Du tube digestif au psychologique
Cent mille milliards de bactéries
Dans notre corps, soit 2 kg de bactéries
Notre ventre surtout les chérit
Aussi indispensables que les cellules de notre corps
Tout remonte au cerveau du haut, quand on lui fait tort !
3 cerveaux dans la tête, le cerveau triunique
1 cerveau dans le ventre, encore plus énigmatique
Sans oublier, du cerveau du haut, les astrocytes
Qui pour la compréhension, sont en tête de liste
Pourtant, toujours la même antienne
Du capital, cette maladie vénérienne
L'exploitation comme paradigme
La soumission comme paradigme
L'éréthisme
De la société spectaculaire marchande techno-industrielle
Et tous les Diafoirus qui ont la part belle
Abolir le salariat
Toutes les bourgeoisies et le prolétariat
Pour enfin une humanité unifiée
Où tout serait enfin partagé
Sans aucune coercition et sans aucune contrainte
Car en tout et en rien, il n'y aurait aucune contrainte
L'espèce humaine, sinon
Disparaîtra bientôt, de toutes façons !
Certes, des jeunes gens, filles et garçons, voyagent
Mais de la souffrance, de l'ignorance, ils portent les bagages
Et où qu'ils aillent
Des inégalités, des misères, partout les mêmes rails
Il y a bien sûr des privilégiés
Qui croient mieux s'en tirer
Et pas seulement dans les beaux quartiers
Mais de la misère unifiée, l'on ne peut s'échapper !
Il y a tant de détresse
Il y en a des valises, il y en a des caisses
Détresse affective, détresse sexuelle
Détresse physique, détresse spirituelle
Détresse psychologique, détresse matérielle
Détresse pécuniaire, détresse intellectuelle
Nous les transportons partout avec nous
Et même et surtout si nous allons partout
La faim, la maladie
La guerre, les conflits
La mort, jamais la vie
A petite ou à grande vitesse
Toujours elle nous rattrape la détresse
En voiture, en avion, en marchant
En bicyclette, en train, en courant
Tout le monde y perd sa vie et son temps !
Les mêmes causes
Produisant les mêmes effets
Il revient sans cesse le laid
Il ne prend jamais de pause
Comme la mort du jeune ( 21 ans ) Rémi Fraisse
Tué dans une manifestation
Contre l'inutile barrage de Sivens, qui alimente la presse
Comme pour feu ( 1964-1986 ) Malik Oussekine
Il souffle le vent de la récupération
Chacun y va de sa larme, de son admonestation
En 1986, j'étais dans les manifestations
De protestation contre l'assassinat de Malik Oussekine
Par des voltigeurs motorisés de la police de Paris
Dont l'une, environ 500.000 personnes, de la folie
J'y avais vu feu ( 1920-2002 ) le réalisateur Yves Robert
Et sa femme, l'actrice ( née en 1926 ) Danièle Delorme, c'est pas d'hier
Il faut encore un assassinat
Pour que de la répression policière, l'on fasse cas
Mais il y a beaucoup de fascistes dans la police
Chez les gendarmes, dans l'armée, du capital, toutes les milices
De toutes façons, ils ne sont jamais sanctionnés
Car du spectaculaire intégré, ils sont le bras armé !
Partout du harcèlement
Dans le domaine du travail
Dans le domaine scolaire
Dans le domaine universitaire
Dans le domaine intellectuel et sportif
Aucun harcèlement n'est festif
Le harcèlement des forces policières
Contre ceux et celles qui veulent manifester
Le harcèlement généralisé de la société
Dans absolument toutes les activités !
Comme ces clowns sinistres
Aux méthodes singulièrement fascistes
Une stratégie de tension psychologique
Pour plus encore de flics, c'est logique
Comme encore une police secrète
Comme encore des paumés confus et haineux, qui décrètent
Politisation de la confusion
Confusion de la politisation
Dépolitisation de la nouvelle génération
De Malik Oussekine à Rémi Fraisse
Toujours des bavures policières, pour que l'opinion se dresse
Pourtant tous les jours
Des injustices, des inégalités, des tortures, des tragédies
Des absurdités, des accidents, des assassinats, des maladies
Simplement, cela n'est jamais dit
Car c'est là, la vie du capital
Le capital de la vie
Tous les jours, il faudrait s'indigner
Tous les jours, il faudrait se révolter
Tous les jours, il faudrait manifester
Tous les jours, il faudrait s'insurger
Tous les jours, les symboles du capital, il faudrait les casser
Car tous les jours
Partout sur la planète, le capital crache son horreur
Partout sur la planète, le capital sème sa terreur !


Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "


Es la guerra todavía civil
Pero no es manifiesto, es sutil
La Economía sustituye a los fusiles
La Economía es una monarquía
Como una caverna de Borneo
Para los 3 millones de murciélagos, es el pueblo de la cumbre
La gruta del Ciervo, más grande del mundo
Y una montaña de guano hay
Para alimentar el pueblo de la parte baja
Ejércitos gigantescos de cucarachas
Como los pobres en los humanos
Y de todos los, de todas las, que tienen hambre
Y se conoce mejor la Luna
Que nuestras cavernas tan desconocidas
Los diplopodes (ciempiés) de 20 cm y de los cangrejos
Cavernas que crecen, quieren el rab
10 para - cientos de la superficie terrestre
Es caliza, antiguo de nacer
Y si el dinero hace al banco
Quién hunde sobre al igual que el tanque
Como la calcita
Quién hace las estalactitas y las estalagmitas
Todo es comparable
Pero finalmente en el incomparable
Como los 1000 macacos de la isla de Cayo
Quién se encuentra en el Caribe
La biología de la evolución es un torno
Dónde cada especie tiene su propio RIB
Macacos que se trajo de la India
Hace más de 75 años, y en consecuencia, en Caribe
Dónde la alfa, el dominante, es ahora la más agresiva
No siempre el caso, pero a menudo, es recesivo
Pero el macaco no sabe porqué
El ser humano, le puede saber porqué
El macaco busca el predominio
El ser humano busca el predominio
¡Pero el ser humano tiene la explicación!
Ciertamente
El nepotismo jerárquico
En los primates es mimétique
La familia del mundo
Como fuego (356-323 antes de nuestra era) Alexandre el Grande
A los ojos de Olympias, de su madre, de dios, de un gigante
Pero en su predominio perseguidor
Quemó a Persépolis
Nadie lo impugna, fue un grande belicoso
En esta época, era necesario serle para reinar
Y la muerte de Bucéphale
Su caballo, que nunca, no fue un rival
Lo hizo hundirse, lo hizo llorar
Fuego (384-322) Aristote fue su preceptor
¡Lo que no impidió su soñado tamaño!
Desde hace tiempo, no es ya necesidad
Para para ser el jefe de los jefes, de saber pegarse
Contra todo y contra nada
¡Es ahora la riqueza que puede cortarlo todo!
Y en todas las grandes ciudades
Lleno de trabajos inútiles
Imaginados por cerebros vanos
Tecnócratas y otros imbéciles
Y eso produce contaminanción sonora, distintas agresiones
Para la gente y sobre todo las personas mayores, la antigua generación
Eso actúa sobre el cerebro entérico
Del tubo digestivo al psicológico
Ciento mil de mil millones de bacterias
En nuestro cuerpo, lo que representa 2 kg de bacterias
Nuestro vientre sobre todo los ama
Por eso indispensables que las células de nuestro cuerpo
¡Todo se remonta al cerebro de la cumbre, cuando se le hace culpa!
3 cerebros en la cabeza, el cerebro triunique
1 cerebro en el vientre, aún más enigmático
Sin olvidar, del cerebro de la cumbre, los astrocytes
Quiénes para la comprensión, están en cabeza de lista
Con todo, siempre el mismo antienne
Del capital, esta enfermedad venérea
La explotación como paradigma
La oferta como paradigma
El éréthisme
De la sociedad espectacular comercial tecnoindustrial
Y el todo Diafoirus que tienen la parte bonita
Suprimir el asalariado
Todas las burguesías y el proletariado
Para por fin una humanidad unificada
Dónde se compartiría por fin todo
Sin ninguna coerción y sin ninguna dificultad
Ya que en todo y de ningún modo, no habría ninguna dificultad
La raza humana, si no
¡Desaparecerá pronto, de todas formas!
Ciertamente, jóvenes, muchachas y muchachos, viajan
Pero del sufrimiento, de la ignorancia, llevan los equipajes
Y dónde que vayan
Desigualdades, miserias, por todas partes los mismos carriles
Hay por supuesto privilegiados
Quiénes creen mejor extraerse
Y no solamente en los bonitos barrios
¡Pero de la miseria unificada, no se puede escaparse!
Hay tanto desamparo
Allí tiene maletas, allí tiene cajas
Desamparo emocional, desamparo sexual
Desamparo físico, desamparo espiritual
Desamparo psicológico, desamparo material
Desamparo pecuniario, desamparo intelectual
Los transportamos por todas partes con nosotros
E incluso y sobre todo si vamos por todas partes
El hambre, la enfermedad
La guerra, los conflictos
La muerte, nunca la vida
Pequeña a o de alta velocidad
Siempre nos recupera el desamparo
En coche, en avión, yendo
En bicicleta, en tren, corriendo
¡Todo el mundo pierde su vida y su tiempo!
Las mismas causas
Produciendo los mismos efectos
Vuelve de nuevo sin cesar el feo
Toma nunca pausa
Como la muerte del joven (21 años) Rémi Fraisse
Matado en una manifestación
Contra la inútil presa de Sivens, que abastece la prensa
Como para fuego (1964-1986) Malik Oussekine
Sopla el viento de la recuperación
Hay de su lágrima, de su amonestación
En 1986, estaba en las manifestaciones
De protesta contra el asesinato de Malik Oussekine
Por volatineros motorizados de la policía de París
Que una, alrededor de 500.000 personas, de la locura
Había fuego (1920-2002) el realizador Yves Robert
Y su mujer, la actriz (nacida en 1926) Danièle Delorme, no es ayer
Es necesario aún un asesinato
Para que de la represión policial, se hace caso
Pero hay muchos fascistas en la policía
En los gendarmes, en el ejército, del capital, todas las milicias
De todas formas, no se les no sanciona nunca
¡Ya que del espectacular integrado, son el brazo armado!
Por todas partes del acoso
En el ámbito del trabajo
En el ámbito escolar
En el ámbito universitario
En el ámbito intelectual y deportivo
Ningún acoso es festivo
El acoso de las fuerzas policiales
Contra los y aquéllas que quieren manifestar
El acoso generalizado de la sociedad
¡En absolutamente todas las actividades!
Como estos payasos siniestros
A los métodos singularmente fascistas
Una estrategia de tensión psicológica
Para más aún de polis, es lógico
Como aún una policía secreta
Como aún golpeados con la palma de la mano confuso y rencoroso, que publican
Politización de la confusión
Confusión de la politización
Dépolitisation de la nueva generación
De Malik Oussekine a Rémi Fraisse
Siempre atropellos policiales, para que la opinión se elabore
Con todo todos los días
Injusticias, desigualdades, torturas, tragedias
Absurdidades, accidentes, asesinatos, enfermedades
Simplemente, no se dice nunca eso
Ya que es allí, la vida del capital
El capital de la vida
Todos los días, sería necesario indignarse
Todos los días, sería necesario rebelarse
Todos los días, sería necesario manifestar
Todos los días, sería necesario levantarse
Todos los días, los símbolos del capital, sería necesario romperlos
Ya que todos los días
Por todas partes sobre el planeta, el capital escupe su horror
¡Por todas partes sobre el planeta, el capital siiembra su terror!


Patrice Faubert (2014) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway.fr”

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