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Paraphysique de martyrologie
Por Patrice Faubert - Tuesday, Jun. 02, 2015 at 3:19 AM

Martyrologe de l'argent...

Le capitalisme
C'est un permanent cataclysme
C'est de la guerre, c'est la guerre
Et ce tous les jours
C'est le rythme économique
Qui bafoue le rythme biologique
C'est 14/18, 39/45, toutes les guerres
Des guerres, le capital est l'apôtre
Ainsi
Est édifiant le tableau que voici :
Cause des décès en 2013, dans le monde
C'est une réalité, que personne ne me gronde
Maladies cardiaques
8 139 900
Accidents vasculaires cérébraux
6 446 900
Maladies pulmonaires obstructions chroniques
2 931 200
Pneumonies
2 652 600
Maladies d'Alzheimer
1 655 100
Cancer du poumon
1 639 600
Accidents de la route
1 395 800
Sida
1 341 000
Diabète
1 299 400
Tuberculose
1 290 300
Sans compter d'autres maladies
Et aussi les suicides, jamais de pénurie
En 2012, 804 000 suicides
Dans le monde, réalité si lucide
Et aussi les accidents mortels au travail
Ou des maladies inhérentes au travail
Et c'est chaque année dans le monde
2,200 millions de mortes et de morts
Le capital toujours plus fort
Qui de toutes les aberrations, nous inonde !
Et en France
Le moustique tigre ( Aedes albopictus )
Encore plus malin que le tigre ( Panthera tigris )
Car il est encore et toujours présent
Comme déjà dans vingt départements
Et donc dengue et chikungunya
Avec les transports, tout se déplace, voilà
C'est le système de la modernisation
La modernisation du système
Pour mieux le continuer
Pour mieux l'affiner
Mais un simple moustique peut le perturber
C'est vraiment un tigre de papier
Toutes les informations télévisées
Tout ce que le capital peut chier
Et aussi de la radio, il faut les boycotter
La critique, ailleurs, il faut la chercher !
Maintenant tout est moisi
Maintenant tout est pourri
Football, arts, sport, science, politique
Partout où est le fric
Tout est prostitué
Tout est stipendié
Plus belle la vie
Poubelle la vie
Et par rapport à nos jours
Hier, la politique était troubadour
C'est dire qu'on y étouffe comme dans un four
A côté, feu ( 1904 - 1944 ) Jean Zay
Qui ministre, réforma l'éducation nationale
Plus honnête et sincère, il paraît
Ce qui en devient paranormal
Pour une culture populaire
Et une heure de sport hebdomadaire
Activités et loisirs dirigés
Travaux pratiques, pourtant, retard avancé
L'école libertaire était déjà bien plus éclairée
Car surtout sans aucune autorité
A chacun et chacune, selon les affinités
Certes, il fit beaucoup pour la bibliothèque
Sans argent, bibliobus pour se remplir la tête
En réponse au festival fasciste
1939, le festival de Cannes, plus progressiste
Le CNRS, c'est encore lui
Mais, l'on est encore très loin de l'anarchie
Finalement
Il fut assassiné par la milice
Qui fut du pétainisme, le vice !
Parmi les intellectuels d'élevage
Quelques cas volages
Ainsi, Jean Salem ( né en 1952 ) érudit et philosophe
Fils de feu ( 1921 - 2013 ) Henri Alleg, autre strophe
Alleg qui fut torturé en Algérie
C'était " La question " qu'on lui fit
Mais pas seulement à lui
Car l'on torturait en série
Donc, ce Jean Salem
C'est pas que je l'aime
Prédit, guerre, fascisme, révolution
Pour l'humanité comme absolution
Ou un mélange des trois
Moi aussi, un peu, je le crois
Mais pour la révolution, c'est quoi ?
Ou alors, de tout cela, nous y sommes déjà !
Il faudrait pouvoir déféquer
Tous temps, toutes atrocités
Avec nos sept à huit mètres des intestins
En effet, cela n'est pas rien
Dont seul le dernier mètre d'intestin
De notre caca est plus ou moins plein
Et dont les deux tiers
Sont du système immunitaire
En retard est notre modernité
Car le mieux pour déféquer
Serait de s'accroupir
Et au mal installé, de réagir
Avec un tabouret sous les pieds !
Mais après tout
C'est tout à fait fou
Il y a environ, dans notre univers
Dix mille milliards de milliards d'étoiles
Ailleurs, des compléments ou des contraires
Tout peut s'y concevoir, l'imaginaire
Tout peut s'y boire, s'y croire
L'anarchie s'y vit peut-être déjà
Où c'est le contraire qui ne peut se concevoir, c'est cela !
Partout, l'architecture de la tyrannie
La tyrannie de l'architecture
Les constructions de la tyrannie
La tyrannie de toutes les constructions
L'architecture des dictatures diverse
La dictature de l'architecture, aucune controverse
Des monuments, hôtels, immeubles, musées, maisons
Pas de hasard, tout d'être, à sa raison
Comme en 1950 à Cuba
Où cela était le paradis de toute mafia
Prostitution, drogue, sexe, blanchiment d'argent, jeux
Mafia italo-américaine, italiens et américains, encore eux
Et toujours le régime policier et militaire
Pour pouvoir faire des affaires
Comme en un temps avec la prohibition de l'alcool
Quand en pleine interdiction, la mafia rigole
Et des cadavres dans les rues
Qui se rebelle, le militaire le tue
Cuba fut un laboratoire
De l'étatisme à venir, en attendant, pour voir
Comme une colonie américaine
Et tout un peuple en déveine
Mafieux de certains pays
Stars du cinéma, pour étouffer les cris
Compagnies pétrolières américaines
Pour dévaliser le peuple, jamais elles ne traînent
Bordel pour les riches nord-américains
En 1958, pour les capitalistes, 100.000 putains
Sur catalogue, à commander par téléphone
Puis vint le castrisme que personne ne sonne
La nationalisation, la santé et la réforme agraire
Sabotage américain, la guerre
Blocus, invasion, divers attentats
Pour tenter de reprendre Cuba
D'une structure l'autre, toujours l'Etat !
Comme aussi grâce au pétrole
Du bédouin qui devint une idole
E.A.U Emirats arabes unis
En 1971, de feu ( 1918 - 2004 ) le cheikh Zayed
Quand le protectorat anglais cède
La fédération du pognon uni
Sur l'exploitation, la mort, tout se construisit
Sans le Bahreïn et le Qatar
Qui firent bande à part
Modèle occidental en version luxueuse
Sous-prolétariat surexploité, gueux et gueuses
Abou Dabi, Dubaï, acier, béton, fer
Le tout artificiel à ciel ouvert
Exploitation mortifère de la main d'oeuvre étrangère
Un parlement des tribus
Qui du monde, a pignon sur rue
Le sable qui devient de l'or
Des compagnies pétrolières, un port
Une internationale des actionnaires
Sans patrie sont les milliardaires
Et même le plus austère désert
De ce que la géologie ne peut pas faire
Aussi rapidement, que l'argent du pétrolifère
D'une façon l'autre, c'est partout pareil
Le martyrologe de l'argent soleil
De tous les temps, de toutes les époques
De tous les régimes, de toutes les vies, l'argent se moque
Argent sans vie, vie de l'argent
Des guerres, des misères, sont ses enfants !


Patrice Faubert ( 2015 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "


Capitalismo
Es un cataclismo permanente
Esta es la guerra es la guerra
Y cada día
Es el ritmo económico
Se burla del ritmo biológico
Es 14/18, 39/45, todas las guerras
Las guerras, el capital es el apóstol
Así
Es edificante la tabla de la siguiente manera:
Causa de muerte en 2013, en todo el mundo
Es una realidad que nadie me regaña
Enfermedad del corazón
8139900
Carrera
6446900
Enfermedad pulmonar obstructiva crónica
2931200
Neumonía
2652600
Alzheimer
1655100
Cáncer de pulmón
1639600
Accidentes de carretera
1395800
SIDA
1341000
Diabetes
1299400
Tuberculosis
1290300
Además de otras enfermedades
Y suicidios, no escasez
En 2012, 804.000 suicidios
A nivel mundial, la realidad lúcida
Y los accidentes mortales en el trabajo
O enfermedad profesional inherente
Y es cada año en el mundo
2,200 millones de muertos y muertos
La capital cada vez más fuerte
¿Quién de todas las aberraciones nosotros inundaciones!
Y en Francia
El mosquito tigre (Aedes albopictus)
Incluso más inteligente que el tigre (Panthera tigris)
Debido a que es todavía y siempre presente
Como ya se ha veinte departamentos
Así que el dengue y la chikungunya
Con el transporte, todo se mueve, aquí
Este es el sistema de modernización
La modernización del sistema
Para continuar mejor
Para matizar mejor
Pero de un simple mosquito puede perturbar
Es realmente un tigre de papel
Todas las noticias de TV
Todo lo que el capital puede presentar
Y también la radio, debe boicotear
La crítica debe buscarse en otra parte!
Ahora todo es mohosa
Ahora todo está podrido
Fútbol, ​​artes, el deporte, la ciencia, la política
Donde está el dinero
Todo prostituta
Todo es stipendié
Plus belle la vie
La vida de la basura
Y en comparación con la actualidad
Ayer, la política era trovador
Esto significa que se ahoga como un horno
Además, el fuego (1904 - 1944) Jean Zay
Quién ministro reformado la educación nacional
Más honesto y sincero, parece
Lo que se hace paranormal
En la cultura popular
Y el deporte una hora semanal
Recreación encabezado
El trabajo práctico, sin embargo, el retraso avanzada
La escuela libertaria ya estaba iluminado
Por sobre todo, sin ninguna autoridad
En cada uno, de acuerdo con afinidades
Es cierto, él hizo mucho para biblioteca
Sin dinero, bibliobús para llenar la cabeza
En respuesta a la fiesta fascista
1939 Festival de Cine de Cannes, más progresista
CNRS, es él
Pero todavía estamos muy lejos de la anarquía
Finalmente
Fue asesinado por la milicia
¿Quién fue petainismo, vice!
Entre los intelectuales de reproducción
Algunos casos frívola
Por lo tanto, Jean Salem (nacido en 1952) erudito y filósofo
Hijo de la tarde (1921 - 2013) Henri Alleg, otra estrofa
Alleg, que fue torturado en Argelia
Se trataba de "La pregunta" que le hizo
Pero no sólo a él
Para ser torturado en serie
Así que lo que Jean Salem
No es que me encanta
Predicción, la guerra, el fascismo, la revolución
Para la humanidad como la absolución
O una mezcla de los tres
Yo, también, un poco, creo que
Sin embargo, para la revolución, ¿qué es?
O todo esto, estamos ya allí!
Uno tendría que defecar
Todo el tiempo todas las atrocidades
Con nuestros siete a ocho metros intestinos
De hecho, esto no es nada
De los cuales sólo el último metro de intestino
Nuestra caca es más o menos completa
Y dos tercios
Son inmunes
Es nuestra modernidad tardía
Para el mejor de defecar
Would cuclillas
Y mal instalados, reaccionar
Con un taburete bajo tus pies!
Pero después de todo
Es bastante loco
Hay alrededor de nuestro mundo
Diez mil millones de billones de estrellas
Además, los suplementos o de otra manera
Todo puede concebirlo, la imaginación
Todo se puede beber, creyéndolo
Anarquía vive ya puede
¿Dónde es lo contrario que es inconcebible, eso es todo!
En todas partes la arquitectura de la tiranía
La arquitectura de la tiranía
Las construcciones de la tiranía
La tiranía de todos los edificios
La arquitectura de las diversas dictaduras
La arquitectura de la dictadura, hay controversia
Monumentos, hoteles, edificios, museos, casas
No hay posibilidad, todo para ser, su razón
Al igual que en 1950 en Cuba
¿Dónde estaba el paraíso de cualquier mafia
Prostitución, drogas, sexo, lavado de dinero, juegos
Italoamericano mafia, italiano y estadounidense, incluso los
Y todavía la policía y régimen militar
Para hacer negocios
Al igual que en una época de la prohibición del alcohol
Cuando en plena prohibición, cunetas mafia
Y cadáveres en las calles
Quién rebeldes, matando a los militares
Cuba era un laboratorio
El estatismo que viene, esperando a ver
Como una colonia norteamericana
Y un pueblo en desgracia
Mafia en algunos países
Las estrellas de cine, para sofocar los gritos
Compañías petroleras de Estados Unidos
Para robar a la gente, nunca cuelgan
Burdel de América del Norte rico
En 1958, para los capitalistas, 100.000 putas
Catálogo, pedido por teléfono
Luego vino el castrismo que no hay sonidos
La nacionalización, la salud y la reforma agraria
EEUU sabotaje, guerra
Bloqueo, invasión, varios ataques
En un intento de recuperar Cuba
En otra estructura, siempre el estado!
Como también gracias al petróleo
Beduino que se convirtió en un ídolo
E.A.U EAU
En 1971, el fuego (1918-2004) Sheikh Zayed
Cuando los rendimientos protectorado británico
La federación unida botín
En la granja, la muerte, todo se construye
Sin Bahrein y Qatar
Que hizo su propio camino
Modelo occidental en la versión de lujo
Sobreexplotadas sub-proletariado, mendigos y cerdos
Abu Dhabi, Dubai, acero, hormigón, hierro
El cielo abierto artificial entera
Explotación mortal de mano de obra extranjera
A tribus parlamento
¿Quién en el mundo, escaparate
La arena que se convierte en oro
Las compañías petroleras, el puerto
Un accionistas internacionales
Sin país son multimillonarios
E incluso el desierto más austera
Desde que la geología no puede hacer
Tan rápido, el dinero del petróleo
De alguna manera sí, que es el mismo en todas partes
El sol dinero martirologio
De todos los tiempos, de todos los tiempos
De todos los planes, todas las vidas, el dinero se burla
Plata vida dinero sin vida
Las guerras, miserias son sus hijos!
 

Patrice Faubert (2015) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat dijo al invitado en "hiway.fr"

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