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De nos vies, sans aucune vie
Por Patrice Faubert - Tuesday, Jun. 16, 2015 at 2:14 AM

Le capital de la vie absente...

USA, SA, SS
Dans nos si belles années
Et toujours dans le passé
Où tout est nazi, tout est SS
USA, deux personnes tuées, par la police
Et ce tous les jours
C'est comme une vénerie ou chasse à courre
Et ce dans chaque pays
De tuer, toute police a son permis
Et moi
Comment je vis ?
Et toi
Comment tu vis ?
Dans la vie marchande
Il n'y a que des soucis
Dans la vie marchande
Il n'y a que de l'ennui
Pour vivre bien
Nous nous donnons des leçons
Ce qui est d'une grande prétention
Faire des concours de misère, cela n'est pas bien
L'ennui du célibat, l'ennui du couple
Du travail, du chômage, de ceci, de cela, y être souple
Et finalement
Nous comparons nos détresses
Un peu comme à la messe
Divorces, conflits, mésententes, séparations
La pensée séparée comme mise en scène, comme production
Nous sommes les briques de la réaction
Comment tu vis ?
Comment je vis ?
Comment il vit ?
Car c'est l'argent qui nous vit
Car c'est la compétition qui nous vit
Car c'est la religion qui nous vit
Car c'est l'idéologie qui nous vit
Car c'est ceci ou cela qui nous vit
Et c'est tout cela
Qui code nos cellules cérébrales
Et c'est tout cela
Qui fait notre bien, qui fait notre mal
Que l'autre, se croire mieux loti
Est vraiment n'avoir rien compris
Car la vie marchande n'est pas la vie
C'est la vie sans vie, aussi, vite, l'anarchie
Toute représentation
Est une farce, une usurpation
Comme celle des dinosaures
Car même les carnivores
Avaient de la plume
Le paléontologue le hume
Sauf au cinéma
Jamais du vrai pipi, du vrai caca
Il manque donc toujours la sensation
Jamais nous ne vivons
Tout ce qui est montré, nous l'imaginons
Et donc toujours aussi, nous interprétons et donc nous déformons
Comme cette Afrique
Où finalement, c'est le fric, c'est de l'idéologique
Et ces vingt dernières années, tragique
Six millions de victimes, pareil au génocide juif
Le noir vaudrait-il moins que le juif ?
A ce carnage, le capital est moins rétif
Comment je vis ?
Comment tu vis ?
Comment il vit ?
Une vie sans vie
Comment vivre dans un tel monde
Quand TOUT dégueule l'immonde !
Tu crois
Mieux vivre que moi
Je crois
Mieux vivre que toi
L'inverse est vrai aussi
En ce domaine aucune jalousie
Car en vérité, je vous le redis
Nos vies sont sans aucune vie !
Pas vous, pas toi, vraiment ?
Car vous avez une femme
Car vous avez des enfants
Car vous avez votre situation
Car vous percevez des allocations
Car vous avez votre appartement, votre maison
Des biens, des loisirs, des congés payés
Je vous le concède, la non-vie est bien organisée !
Le monde entier
Est comme une propriété privée
Pourtant
TOUT devrait appartenir à tout le monde
Enfin, le début de la vie, féconde
En fonction des envies, des attirances, des compétences, des affinités
Pour que la vie puisse enfin commencer !
Mes textes
Sont toujours les mêmes
Mes textes ne sont jamais les mêmes
Ainsi, en lire un seul ou les lire tous
Revient au même, c'est la même mousse
Car toujours les mêmes, toujours différents
Le même différent
Du différent même
Sans vrai différend !
Ainsi donc, c'est encore le poète
Tout se déteste
Rien ne proteste
Le capital, du néant fait des fêtes
La physiognomonie de l'environnement
Maçonne tous les corps, toutes les têtes
Cela n'était pas si bête
Le capital
Fait tout se ressembler
Comme une fausse vraie unanimité
Extrême gauche, gauche, droite, extrême droite
Pour que la révolte se tienne coite
Tout de travers, toute maladroite
Et BHL qui vient encore de se faire entarter
Comme un symbole, le belge sait bien viser
Voilà quelqu'un que l'on peut féliciter
Car, toute la prostitution spectaculaire
Devrait se faire entarter, par le souffle révolutionnaire !
La vérité d'un jour
Est le mensonge du lendemain
Vrai hier et faux demain
Tous et toutes, nous mentons, c'est malin
Le capitalisme
C'est de la frustration
C'est de l'addiction
C'est de l'aliénation
C'est de la prétention
C'est de la prostitution
C'est de la corruption
C'est de la déception
C'est de l'ambition, comparaison, compétition
C'est de ceci, du cela, de l'obsession
Comme moi
Pour les vagins et les nichons
Et donc surtout de la privation
Comme pour vous, pour toi
Ceci ou cela, de tout ce qu'engramme l'imagination !
Vous vivez comment ?
Tu vis comment ?
Je vis comment ?
C'est une farce, c'est une plaisanterie
Quand même manifester est interdit
Du moins contre le système
Pour le système, c'est un autre poème
Dans la non-vie personne ne s'aime
Je te déteste, sorry, je t'aime !
Et toute maison est une boîte
Et tout logement est une boîte
Pour le riche, pour le pauvre, c'est une boîte
Horizontalement ou verticalement
Individuellement ou collectivement
Ce sont des boîtes qui s'emboîtent
Le capital des boîtes
Les boîtes du capital
Avec nos vies si étroites
Certes, parfois nous changeons de boîte !
Mais si l'on ouvre le couvercle
C'est toujours le même cercle
Voilà nos pauvres vies
Des vies sans aucune vie
Comme une écriture sans aucun effet
Comme une écriture d'un seul jet
Voilà bien qui déplaît !
Ainsi
C'est le cinéma qui nous vit
Ainsi
C'est la télévision qui nous vit
Ainsi
C'est le travail qui nous vit
Ainsi
C'est le loisir qui nous vit
Ainsi
C'est la religion qui nous vit
Ainsi
C'est l'idéologie qui nous vit
Ainsi
C'est le militantisme qui nous vit
Ainsi
C'est l'architecture qui nous vit
Ainsi
C'est le sport qui nous vit
Ainsi
C'est la croyance qui nous vit
Ainsi
C'est le sexe qui nous vit
Ainsi
C'est ceci ou cela qui nous vit
Sous le capital
Cela est tout à fait normal
Il s'agit là de nos vies
Sans justement aucune vie !


Patrice Faubert ( 2015 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "


EE.UU., SA, SS
Si en nuestros buenos años
Y siempre en el pasado
Donde todo es nazi, todo es SS
EE.UU., dos personas asesinadas por la policía
Y cada día
Es como un juego de la caza o la caza con perros
Y en cada país
Mata a cualquier policía su licencia
Y yo
Cómo vivo?
Y usted
Como vives?
En la vida comercial
Sólo preocupaciones
En la vida comercial
Sólo el aburrimiento
Para vivir bien
Damos lecciones
Lo cual es de gran pretensión
Haciendo concurso de la pobreza, no es así
El problema del celibato, pareja aburrimiento
El trabajo, el desempleo, esto, esto, sea flexible
Y finalmente
Comparamos nuestros sufrimientos
Un poco como en la Misa
Divorcios, conflictos, malentendidos, separaciones
Pensado como puesta en escena por separado, como la producción
Somos los ladrillos de reacción
Como vives?
Cómo vivo?
¿Cómo vive?
Porque es dinero que vimos
Porque es la competición que nos vio
Porque es la religión que vimos
Porque es la ideología que nos vio
Porque es esta o aquella que vimos
Y eso es todo lo que
Que codifica nuestras células cerebrales
Y eso es todo lo que
Eso hace que nuestro bien, ese es nuestro mal
El otro, creer en mejor situación
Realmente han entendido nada
Para que la vida comercial no es la vida
Así es la vida sin vida, demasiado, rápido, la anarquía
Cualquier representación
Es una farsa, una usurpación
Como los dinosaurios
Porque aun carnívoros
Tenía la pluma
Paleontólogo la hume
Excepto el cine
Nunca orinar reales, poo reales
Missing sentir siempre
Nunca viviremos
Todo lo que se muestra, nos imaginamos
Así que siempre, interpretamos y por lo tanto nos deformamos
Como este África
Cuando finalmente, el dinero es ideológica
Y los últimos veinte años, trágica
Seis millones de víctimas, como el Holocausto
El negro sea menor que el Judio?
En esta carnicería, el capital es menos conflictiva
Cómo vivo?
Como vives?
¿Cómo vive?
Una vida sin vida
¿Cómo vivir en un mundo así
Cuando el inmundo TODOS vomitar!
Crees
Vive mejor que yo
Creo
Vive mejor que tú
Lo contrario también es cierto
En esta zona hay celos
Porque de cierto os digo una vez más que
Nuestras vidas son sin vida!
Tú no, no es así, ¿en serio?
Debido a que usted tiene una esposa
Debido a que usted tiene niños
Para que tenga su situación
Debido a que usted está recibiendo subsidios
Para que tenga su apartamento, su casa
Productos, ocio, vacaciones pagadas
Lo reconozco, la no-vida está bien organizado!
Mundo entero
Es como propiedad privada
Todavía
Todos deben pertenecer a todo el mundo
Finalmente, el comienzo de la vida, fértil
Dependiendo deseos, atracciones, habilidades y afinidades
Para que la vida finalmente puede empezar!
Mis textos
Son siempre los mismos
Mis textos nunca son iguales
Así que lea uno o leerlos todos
De manera equivalente, es la misma espuma
Debido a que siempre el mismo, siempre diferente
El muy diferente
De diferente, incluso
No hay diferencia real!
Por lo tanto, todavía es el poeta
Todo el odio
Nada protestas
La capital de la nada hecha vacaciones
La fisonomía del entorno
Mason todos los cuerpos, todos los jefes
Esto no era tan estúpido
La capital
Hace que todo parezca
Como una verdadera unanimidad falsa
Izquierda, izquierda, derecha, extrema derecha
Para la revuelta toma Coite
Todo mal, cualquier torpe
BHL y que acabamos de lanzar un pastel
Como símbolo, el belga sabe apuntar bien
Es alguien a quien podamos felicitar
Para toda la prostitución espectacular
Entarter debe ser, por la explosión revolucionaria!
La verdad un día
Es la mentira del día
Verdadero y falso ayer mañana
Todos y todas, mentimos, es inteligente
Capitalismo
Es frustración
Esto es de la adicción
Esta es la disposición
Es la contención
Es la prostitución
Esta es la corrupción
Es la decepción
Es la ambición, la comparación, la competencia
Es esto, por ello, de la obsesión
Como yo
Para vaginas y senos
Así que sobre todo la privación
En cuanto a ti, para ti
Esto o aquello, todo imaginación qu'engramme!
¿Cómo vive usted?
Usted vive, ¿cómo?
Vivir cómo?
Esto es una broma, es una broma
Aún manifiesta está prohibido
Al menos contra el sistema
Para el sistema, es otro poema
En el no-vida a nadie le gusta
Te odio, lo siento, te amo!
Y cada casa es una caja
Y la vivienda es una caja
Para los ricos a los pobres es una caja
Horizontalmente o verticalmente
Individual o colectivamente
Estos son cajas que encajan
Las cajas de capital
Las cajas de capital
Con nuestras vidas tan estrecho
Es cierto, a veces cambiamos caja!
Pero si se abre la tapa
Es siempre el mismo círculo
Que nuestras vidas pobres
Vive sin vida
Como la escritura sin ningún efecto
Como escribir una sola vez
Esto bien disgustan!
Así
Esta es la película que vimos
Así
Fue televisión que vimos
Así
Esta es la obra que vimos
Así
Esta es la afición que vimos
Así
Es la religión que vimos
Así
Esta es la ideología que nos vio
Así
Este es el activismo que nos vio
Así
Esta es la arquitectura que vimos
Así
Este es el deporte que vimos
Así
Es la creencia de que vivimos
Así
Es el sexo que nos vio
Así
Es esto o aquello que vimos
Bajo la capital
Esto es bastante normal
Esta es nuestra vida
Sin precisamente no hay vida!


Patrice Faubert (2015) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat dijo al invitado en "hiway.fr"

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