Paraphysique de la pauvrophobie
Por Patrice Faubert - Thursday, Nov. 03, 2016 at 4:19 AM

Chaque classe avec son dressage...

" Les dommages infligés aux classes populaires ne l'auront pas été par hasard ou par
inadvertance. Ce ne fut pas un dommage collatéral après un bombardement tuant
des civils, mais bien un objectif conscient de pure prédation. Comme les multinationales
évasives et frauduleuses, appuyées par des Etats pirates et des banques complices, leur
butin reste considérable, probablement 80.000 milliards de dollars, soit 120 pour cent
du PIB mondial "

Jean-François Gayraud ( policier, docteur en droit )

Salauds de pauvres
C'est sale, cela pue, un pauvre
L'image de la faim, de la peur
De la panique, de la terreur
De moins en moins de solidarité
De moins en moins d'hospitalité
Certes
Le riche peut se parfumer
Pour dissimuler sa monstruosité
Certes
Le riche peut tout acheter
Du faux amour, de la fausse amitié
Toute femme peut l'admirer
Mais dans sa tête tout est pourri
Le capital est son seul ami
Et tout pauvre, il l'honnit !
Classes laborieuses
Classes dangereuses
Mais cela a été déjà dit
Car rien n'est jamais fini
Si le pauvre
Est l'ennemi du pauvre
Si le riche
Est l'ami du riche
Les riches sont solidaires
Hélas, la pauvreté rend parfois réactionnaire
Car le pauvre est regardé de travers
Et c'est partout sur la surface de la planète Terre
L'administration le maudit
La plupart des fonctionnaires aussi
Pas tous et toutes des nazis
Une voisine de ma mère me le dit
Cela dit, le pauvre est devenu l'ennemi
Il n'a donc le droit qu'à du mépris
Nonobstant
Si toute la pauvreté se révoltait
Si toute la pauvreté s'associait
Toutes les tyrannies, la pauvreté, elle renverserait
Toutes les dictatures, la pauvreté, elle chasserait
Staliniens, fascistes, nazis, démocrates, libéraux, gauchistes
Toutes les figures capitalistes !
La pauvreté serait contre tout
Car la pauvreté est un tout
De la pauvreté économique
De la pauvreté psychologique
De la pauvreté politique
La pauvreté visible
La pauvreté invisible
La pauvreté du capital
Le capital de la pauvreté
Et j'écris toujours le capital avec un petit c
Et voilà maintenant la dictature chinoise
Au capital, une fausse belle ardoise
Agents secrets d'influence à l'étranger
Services secrets partout infiltrés
Et tant de minorités chinoises persécutées
Même et surtout à l'étranger
Des éliminations physiques
Des anéantissements psychologiques
Chantage à la famille, ce que cela implique
Pour en tout se renseigner
Pour pouvoir tout surveiller, tout contrôler
Politique, économique, technologique, psychologique
Aussi dans le domaine linguistique
Ceci n'est pas une pipe
Aurait dit feu Magritte, peintre en costume
Aux apparences, il faut faire la lippe
Dans un avenir déjà posthume !
Mais à l'espionnage industriel
Tous les pays ont la part belle
Certes, la Chine en fait sa poubelle
Et toujours de l'urbicide
Quand toujours le profit, décide
Des villes anéanties
Des villes assiégées
Demain, hier, aujourd'hui
Mais ceux et celles qui n'y sont pas confrontés
Ne se sentent, le plus souvent, pas concernés
Et pour tout le monde, un même procédé
Tout très vite oublié
Comme il y a 66 038 000 millions d'années
Pourtant, il y eut, et sans aucune rivalité
800.000 espèces de dinosaures, pour nous ridiculiser
Mais de l'astéroïde, aucune espèce ne put réchapper
Cent millions de mégatonnes en une minute
Hormis les oiseaux, plus aucune dispute
De la géologie, nous voilà les bizuts
Mais cela reste théorique
L'ignorance rendant tout hypothétique
Le capital est un astéroïde exterminateur
Tout y est souffrance, tout y est terreur
Avant les dinosaures, il voulut les archosaures
Le temps, qui a le temps, est le plus fort !
C'est le capital
Qui est contre tout
Pas le contestataire
Pas le révolutionnaire
Il n'y a pas d'amour
Sous le capital
Il n'y a pas d'amitié
Sous le capital
Et à vrai dire
Moi, j'ose le dire
Il n'y a rien sous le capital !
C'est de la mauvaise imitation
Toujours en panne d'inspiration
Il faut donc changer les mentalités
Qui dans toutes les constructions peuvent s'afficher
Si l'on veut donc changer de société
Pas besoin d'un parti
Le communisme n'a pas besoin d'un parti
Et toujours il trahit
1919, par feu le poète Paul Nougé
Le parti communiste belge fut fondé
Dans tous les pays
Cela a mal commencé
Et la terreur stalinienne fut ainsi préparée
Fascisme rouge, fascisme brun
Vont toujours main dans la main
Mais pour l'anarchie aussi
L'anarchie n'a pas besoin d'une organisation
Sinon, c'est de l'anarchisme, une période de transition !
Mais digressons un peu
Mais rions un peu
Ainsi, il suffit de penser au Rat Terrier
Un chien comprenant 500 mots, bien dressé
Car pour feu le service militaire
Qui de la soumission fut le repère
Pas besoin d'autant de mots
L'on devenait vite un idiot
De l'école prison
De l'armée prison
Pour l'industrie, formatage des pions
Finalement
Aucunement, je ne digresse
La folie du monde, folie ogresse
Toute son organisation nous dresse
Chaque classe avec son dressage
Nichons aguicheurs dans le corsage
Je voudrais tous les téter, je ne suis pas un sage
Mais, attention à la féministe
Gardienne de moralité, sexiste et fasciste
Dont je me fiche pas mal
Avec un soupçon de paradoxal
Comme marque de fabrique du capital
La pauvreté miroir de l'obésité
Fabrication pauvre, où tout est pollué
La minceur miroir de la richesse
Fabrication riche, qui fait la princesse
Mauvaise bouffe ou bonne bouffe
Du malheur de notre monde, l'on pouffe !

Patrice Faubert ( 2016 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "


“Los daños infligidos a las clases populares no lo habrán estado por casualidad o por
descuido. No fue un daño colateral después de un bombardeo que mata
civiles, sino un objetivo consciente de pura depredación. Como las multinacionales
evasivas y fraudulentas, apoyadas por Estados piratas y bancos cómplices, ellos
botín sigue siendo considerable, probablemente 80.000 mil millones de dólares, lo que representa 120 para - cientos
del PIB mundial “

Jean-François Gayraud (policía, doctor en derecho)

Cabrones de pobres
Es sucio, eso apesta, un pobre
La imagen del hambre, del miedo
Del pánico, del terror
Cada vez menos solidaridad
Cada vez menos hospitalidad
Ciertamente
El rico puede perfumarse
Para disimular su monstruosidad
Ciertamente
El rico puede comprarlo todo
Falso del amor, de la falsa amistad
Toda mujer puede admirarlo
Pero en su cabeza se descompone todo
El capital es su solo amigo
¡Y muy pobre, él el honnit!
Clases laboriosas
Clases peligrosas
Pero ya se dijo eso
Ya que no se termina nada nunca
Si el pobre
Es el enemigo del pobre
Si el rico
Es el amigo del rico
Los ricos son solidarios
Desgraciadamente, la pobreza vuelve a veces reaccionaria
Ya que el pobre se observa de a través de
Y es por todas partes sobre la superficie del planeta Tierra
La administración lo maldice
La mayoría de los funcionarios también
No todos y muy de los nazis
Un vecino de mi madre me el dicho
Dicho esto, el pobre se convirtió en el enemigo
Sólo tiene pues el derecho al menosprecio
A pesar de
Si toda la pobreza se rebelaba
Si toda la pobreza se asociaba
Todas las tiranías, la pobreza, invertiría
Todas las dictaduras, la pobreza, expulsaría
Estalinistas, fascistas, nazis, demócratas, liberales, izquierdistas
¡Todas las figuras capitalistas!
La pobreza estaría contra todo
Ya que la pobreza es un conjunto
De la pobreza económica
De la pobreza psicológica
De la pobreza política
La pobreza visible
La pobreza invisible
La pobreza del capital
El capital de la pobreza
Y escribo siempre el capital con un pequeño c
Y aquí ahora la dictadura china
Al capital, una falsa bonita pizarra
Agentes secretos de influencia en el extranjero
Servicios secretos por todas partes infiltrados
Y tanto minorías chinas perseguidas
Incluso y sobre todo en el extranjero
Eliminaciones físicas
Destrucciones psicológicas
De chantaje a la familia, lo que eso implica
Para en para informársela todo
Para poder supervisarlo todo, controlarlo todo
Política, económica, tecnológica, psicológica
Por eso en el ámbito lingüístico
Esto no es un tubo
Habría dicho fuego Magritte, pintor en traje
A las apariciones, es necesario hacer el lippe
¡En un futuro ya póstumo!
Pero al espionaje industrial
Todos los países tienen la parte bonita
Ciertamente, China en realidad su cubo de basura
Y siempre del urbicide
Cuando siempre el beneficio, decide
Ciudades destruidas
Ciudades asediadas
Mañana, ayer, hoy
Pero los y aquéllas que no se enfrentan allí
No se sienten, generalmente, afectados
Y para todo el mundo, un mismo método
Muy rápidamente olvidado
Como hay 66.038.000 millones de años
Con todo, hubo, y sin ninguna rivalidad
800.000 especies de dinosaurios, para ridiculizarnos
Pero del astéroïde, ninguna especie pudo escaparse de nuevo
Ciento millones de megatoneladas en unos minutos
Excepto los pájaros, más ningún conflicto
De geología, nosotros he aquí los bizuts
Pero eso sigue siendo teórico
La ignorancia que vuelve muy hipotético
El capital es un astéroïde exterminador
Hay sufrimiento, hay terror
Antes de los dinosaurios, quiso los archosaures
¡El tiempo, que tiene tiempo, es el más fuerte!
Es el capital
Quién está en contra de todo
Pas le contestatario
Pas le revolucionario
No hay amor
Bajo el capital
No hay amistad
Bajo el capital
Y para ser sinceros
Mí, me atrevo la declaración
¡No hay nada bajo el capital!
Es mala imitación
Siempre averiado de inspiración
Es necesario pues cambiar las mentalidades
Quiénes en todas las construcciones pueden indicarse
Si se quiere pues cambiar de sociedad
No necesidad de un partido
El comunismo no necesita un partido
Y siempre traiciona
1919, por fuego el poeta Paul Nougé
El partido comunista belga fue fundado
En todos los países
Eso comenzó mal
Y se preparó así el terror estalinista
Fascismo rojo, fascismo marrón
Van siempre mano en la mano
Pero para la anarquía también
La anarquía no necesita una organización
¡Si no, es de anarquismo, un período de transición!
Pero se alejan un poco
Pero se reen un poco
Así pues, basta con pensar en la Rata Terrier
Un perro que incluye 500 palabras, bien elaborado
Ya que para fuego el servicio militar
Quién de la oferta fue la señal
No necesidad ya de palabras
Se convertía en un idiota rápidamente
De la escuela prisión
Del ejército prisión
Por la industria, formateado de los peones
Finalmente
En ningún caso, no me alejo
La locura del mundo, locura ogresse
Toda su organización nos elabora
Cada clase con su levantamiento
Anidemos provocadores en la blusa
Querría todos mamarlos, no soy un sabio
Pero, atención a la feminista
Guardiana de moralidad, sexista y fascista
Que no me fijo mal
Con una sospecha de paradójico
Como marca de fábrica del capital
La pobreza espejo de la obesidad
Fabricación pobre, donde se contamina todo
La esbeltez espejo de la riqueza
Fabricación rica, que hace a la princesa
Mala bufo o bueno come
¡De la desdicha de nuestro mundo, se pouffe!

Patrice Faubert (2016) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway.fr”

agrega un comentario