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Paraphysique de vicariance gravimétricienne
Por Patrice Faubert - Thursday, Nov. 17, 2016 at 4:08 AM

Mort partout, vie nulle part...

Les désolations interconnectées
Facebook, et autres réseaux aliénés
De toute une fausse intersectionnalité
Tout confondre, tout mélanger, tout noyer
Quand tout est divisé
Tout est ainsi séparé
De même pour la petite propriété
De même pour la grande propriété
C'est toujours de la propriété
Le capital a de quoi s'amuser
Mon, ton, son, ma, ta, sa
Tout le monde propriétaire, voilà
Tout y est donc classifié
Tout y est donc archivé
Aucune réelle unité, aucune réelle solidarité
Ou seulement dans l'isolé, dans le séparé
Femmes, hommes, enfants, ouvrières, ouvriers
Employés, cadres, pauvres, riches, intérêts opposés
Et même pour se chauffer
C'est encore pour les privilégiés
Ainsi, en France, alors que l'hiver va arriver
18 réacteurs nucléaires sont à l'arrêt
Sur 54, et des gens croient que cela n'est pas vrai
Forcément, car toutes nos façons de faire
Sont dépourvues de toute sensibilité
Mais nous nommons cela la sensibilité
La sensibilité de l'insensibilité !
C'est là le monde marchand
C'est là le monde de l'argent
De la compétition ou émulation, dans la monstruosité
De la compétition ou émulation, dans l'aberré
Une drôle de sensibilité
Qui à la sensibilité est une ineptie
Ou alors c'est de la sensiblerie
Toujours vouloir tout catégoriser
Toute une sociologie du policier
Nom, prénom, âge, profession, rien à déclarer ?
Quelle est votre nationalité ?
Si personne ne connaissait son âge
Ce qui serait le plus sage
Nous serions bien embêtés
Pour avec exactitude, pouvoir le deviner !
Car dans une société de réelle humanité
Et comme seule vérité
Nom, aucune importance
Prénom, aucune importance
Adresse, aucune importance
Profession, aucune importance
Leur en donner est pure démence
C'est bien de le dire qui est totale impertinence
Seule l'attraction affinitaire devrait compter
Selon les envies, les compétences, tout ce qui peut nous motiver !
Car, plus que faire
En vérité, tout est à défaire
Sinon
C'est de la survie généralisée
Certes, nous y sommes conditionnés
Programmés, engrammés, et surtout résignés
Moi, toi, eux, ils, elles
Avec un colossal gâchis sans pareil
Toute maladie peut-y être associée
L'inhibition de l'action trop rarement évitée
Comme pour les AVC, chaque année
Quand chaque minute peut compter
2 millions de neurones perdus à chaque minute
Pour 15 millions de personnes, zut
Dans le monde, personne ne s'en étonne
L'AVC, quand seulement l'urgence est bonne
Sinon, c'est le handicap, la mort, l'oubliance
La mort, comme pour feu Philippe Coutant
Fondateur avec Guy Cariou de la CNT de Nantes
Deux figures de la mouvance militante
Finalement
S'il fallait une résultante
Elle serait simple, une constante
Pour tous et toutes, une vie décente
La bourgeoisie c'est avant tout dans la tête
Au banquet de la vie, plus aucune étiquette
Abolition des classes, du prolétariat, des bourgeoisies, pour la fête !
Mais tout est dictature
Et ce tout dictature est dans notre tête, l'ordure
Dictature du bruit, dictature de la vitesse
De la technologie, des écrans, du zapping, tout ce qui nous presse
La dictature des encodages du capital
Surtout pour les laissés pour compte, c'est fatal
2,6 millions d'illettrés en France
Comme une inévitable évidence
Du déterminisme multifactoriel
Du déterminisme multivectoriel
Mais c'est là l'orthographe du capital
Toute une orthographe lexicale
Toute une orthographe grammaticale
Les télécommunications en font partie
En France, Bouygues, Richard, Niel, Drahi
Des capitaines d'industrie
Et tant d'autres aussi
Cela humilie, cela aliène, cela licencie
Nouveaux tueurs en série
Toute une technologie à leur service
Et tout un personnel que l'on visse
Avec bientôt l'ordinateur quantique
Au service du totalitarisme démocratique et du fric
Le capitalisme a son idée de simplexification
Qui rime avec isolation, qui rime avec oppression
Mort partout, vie nulle part
L'on peut considérer cela comme un faire-part !
En fait
Il faut avoir l'esprit de troupeau
Paraître, ne pas être, faire la belle, faire le beau
Se marier, avoir des enfants
Sinon l'on vous rentre dedans
C'est un homme homosexuel
C'est une femme homosexuelle
Les préjugés comme c'est vilain
Pétain reviens, tu as oublié tes chiens
Moi, je n'ai jamais voulu d'enfants
Une folie dans un monde dément
J'aime le sexe de la femme, pourtant
Mais pour beaucoup de crétines et de crétins
L'homme qui a des copains
Est un uraniste, un inverti, un homosexuel
La femme qui a des copines
Est une saphiste, une lesbienne, une gouine
La bêtise humaine est vraiment extraordinaire
La bêtise est toujours réactionnaire
Et toutes choses étant liées
C'est en tout un même procédé
Jugements de valeur, préjugés, lieux communs
Et à propos des enfants, qui meurent, c'est effrayant
Chaque année dans le monde, 200.000 enfants
Elle commence la résistance aux antibiotiques
L'organisation spectaculaire marchande est maléfique !
Sans compter tous les réfugiés
Mineurs isolés à l'étranger
C'est la guerre qu'il faut fuir
Une autre langue à apprendre, pour le dire
Et des réseaux d'esclavage
Et des réseaux de prostitution
Le test osseux qu'il faut subir
Une idiotie qui fait frémir
Tous les pays à traverser, tous les dangers
Avec l'espoir incertain, de migrer
Une succession d'images fixes, secret du cinéma
Mais là, une horrible réalité, voilà
Peuples des galaxies
Je vous le dis, je vous en prie
Ne nous laissez pas seuls/seules avec les gens d'ici
Et maintenant ces gens vont dans l'espace
Une espèce si primitive qu'elle croit aux notions de races
Vite, vite, il faut qu'on se casse
Mais pour cela aucun passe !
La fuite dans l'imaginaire
La fuite du monde réactionnaire
Mort partout, vie nulle part
Et tout un fascisme pluriel
Dans les syndicats, dans les partis
Dans les organisations, dans les pays
Mais donc et surtout dans les esprits
Moi, toi, elles, eux, elles, lui
Et un petit, tout petit, reste de République
Toute dominance s'installant en politique
Avec toute une vicariance
Qui sait apprendre toutes les danses
Pourtant, sans les combats d'hier
La vie serait encore plus amère !

Patrice Faubert ( 2016 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "


Las desolaciones interconectadas
Facebook, y otras redes enajenadas
De todo un falso intersectionnalité
Confundirlo todo, mezclárselo todo, todo nogal
Cuando se divide todo
Todo así se separa
Así mismo para la pequeña propiedad
Así mismo para la gran propiedad
Es todavía de la propiedad
El capital tiene de que divertirse
Mi, tu, su, mi, tu, su
Todo el mundo propietario, aquí
Pues clasificarse allí
Pues archivarse allí
Ninguna verdadera unidad, ninguna verdadera solidaridad
_o solamente en aislar, en separado
Mujeres, hombres, niños, obreras, obreros
Empleados, cuadros, pobres, ricos, intereses opuestos
E incluso para calentarse
Es aún para los privilegiados
Así pues, en Francia, mientras que el invierno va a llegar
18 reactores nucleares están al paro
Sobre 54, y gente cree que eso no es verdadero
Inevitablemente, ya que de hacerlo todas nuestras maneras
Son desprovistas de toda sensibilidad
Pero nombramos eso la sensibilidad
¡La sensibilidad de la insensibilidad!
Es allí el mundo comercial
Es allí el mundo del dinero
De la competición o emulación, en la monstruosidad
De la competición o emulación, en el aberrado
Un divertido de sensibilidad
Quién a la sensibilidad es una inepcia
O entonces es de la sensiblería
Siempre querer categorizarlo todo
Toda una sociología del policía
¿Nombre, nombre, edad, profesión, nada a declarar?
¿Cuál es su nacionalidad?
Si nadie conocía su edad
Lo que sería el más sabio
Se nos molestaría bien
¡Para con exactitud, poder para conjeturarlo!
Ya que en una sociedad de verdadera humanidad
Y como sola verdad
Nombre, ninguna importancia
Nombre, ninguna importancia
Dirección, ninguna importancia
Profesión, ninguna importancia
Su dar es puro demencia
Es bien decirlo que es totales impertinencia
Sólo la atracción affinitaire debería contar
¡Según los deseos, las competencias, justificarnos todo lo que puede!
Ya que, más que hacer
En verdad, deshacérselo todo debe
Si no
Es de la supervivencia generalizada
Ciertamente, se nos condiciona allí
Programados, engrammés, y sobre todo renunciados
Mí, ti, ellos, ellos, ellas
Con un colosal gasto sin similar
Toda enfermedad puede asociarse allí
La inhibición de la acción demasiado raramente evitada
Como por los AVC, cada año
Cuando cada minutos pueden contar
2 millones de neuronas perdidas a cada minutos
Para 15 millones de personas, ¡jolín!
En el mundo, nadie se asombra
El AVC, cuando solamente la urgencia es buena
Si no, es la desventaja, la muerte, el oubliance
La muerte, como para fuego Philippe Coutant
Fundador con Guy Cariou del CNT de Nantes
Dos figuras de la esfera de influencia militante
Finalmente
Si era necesario un resultado
Sería simple, un constante
Para todos y todas, una vida decente
La burguesía es sobre todo en la cabeza
Al banquete de la vida, más ninguna etiqueta
¡Abolición de las clases, del proletariado, de las burguesías, para la fiesta!
Pero todo es dictadura
Y esto toda dictadura está en nuestra cabeza, la basura
Dictadura del ruido, dictadura de la velocidad
Tecnología, pantallas, zapping, todo lo que nos presiona
La dictadura de las codificaciones del capital
_sobre todo para dejar para cuenta, esto ser inevitable
2,6 millones de analfabetos en Francia
Como una inevitable evidencia
Del determinismo multifactorial
Del determinismo multivectoriel
Pero es allí la ortografía del capital
Toda una ortografía léxica
Toda una ortografía gramatical
Las telecomunicaciones forman parte
En Francia, Bouygues, Richard, Niel, Drahi
Capitanes de industria
Y tanto de otros también
Eso humilla, eso enajena, eso despide
Nuevos asesinos en serie
Toda una tecnología a su servicio
Y todo un personal quien se atornilla
Con pronto el ordenador cuántico
Al servicio de totalitarismo democrático y pasta
El capitalismo tiene su idea de simplexification
Quién rima con aislamiento, que rima con opresión
Muerto por todas partes, vida en ninguna parte
¡Se puede considerar eso como una participación!
En realidad
Es necesario tener el espíritu de manada
Parecer, no ser, hacer lo bonita, hacer la belleza
Casarse, tener niños
Si no ustedes se vuelve a entrar dentro
Es un hombre homosexual
Es una mujer homosexual
Los prejuicios como es desagradable
Pétain vuelve de nuevo, olvidaste a tus perros
Mí, nunca he querido a niños
Una locura en un mundo lunático
Me gusta el sexo de la mujer, sin embargo
Pero para mucho cretinos y de cretinos
El hombre que tiene amigos
Es un uranista, uno invertido, un homosexual
La mujer que tiene amigas
Es un saphiste, una lesbiana, una tortillera
La idiotez humana es de verdad extraordinaria
La idiotez es siempre reaccionaria
Y todas cosas que son vinculadas
Es en todo un mismo método
Juicios de valor, prejuicios, tópicos
Y con respecto a los niños, que se mueren, es espantoso
Cada año en el mundo, 200.000 niños
Comienza la resistencia a los antibióticos
¡La organización espectacular comercial es maléfica!
Sin contar a todos los refugiados
Mineros aislados en el extranjero
Es la guerra de que es necesario huir
Otra lengua que debe aprenderse, para decirlo
Y de las redes de esclavitud
Y de las redes de prostitución
La prueba ósea que es necesario sufrir
Una idiotez que hace estremecer
Todos los países que deben cruzarse, todos los peligros
Con la esperanza dudosa, de emigrar
Una sucesión de imágenes fijas, secreto del cine
Pero allí, una horrible realidad, aquí
Pueblo de las galaxias
Le lo digo, le ruego
No nos dejan solos/solos con la gente de aquí a
Y manteniendo a esta gente van en el espacio
Una especie tan primitiva que cree a los conceptos de razas
Rápidamente, rápidamente, es necesario que se rompe
¡Pero para eso ningún pasa!
La fuga en el imaginario
La fuga del mundo reaccionario
Muerto por todas partes, vida en ninguna parte
Y todo un fascismo plural
En los sindicatos, en los partidos
En las organizaciones, en los países
Pero pues y sobre todo en los espíritus
Mí, ti, ellas, ellos, ellas, él
Y un pequeño, muy pequeño, permanece de República
Todo predominio que se instala en política
Con toda una sustitución
Quién sabe enterarse de todas las danzas
Con todo, sin los combates de ayer
¡La vida sería aún más amarga!

Patrice Faubert (2016) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway.fr”

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