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Eschatologie ou Pendez-les haut et court
Por Patrice Faubert - Sunday, Nov. 20, 2016 at 6:37 AM

Du passé devenu présent...

" Sortir en conditionnelle six mois avant la fin d'une période de 18 ans n'a aucun sens. Dans
un marathon, tu ne t'arrêtes pas 500 mètres avant la ligne pour refaire tes lacets. "

Xavier ? ( Centre pénitentiaire de Laon, le 2 juin 2013 )

En tant qu'ancien ultramarathonien
Quand je pratiquais la marche de vitesse et de fond
Deuxième du championnat de France des 100 km marche
En 1985 avec le temps de 9h 26 minutes
Troisième du championnat de France des 200 km marche
En 1995 avec le temps de 22h 44 minutes
Je ne puis que le confirmer
A 500 mètres de la ligne d'arrivée
C'est comme très proche et comme une éternité
La propriété de la prison
Est la prison de la propriété
Pas de propriété privée
Et pas de prison
Car avec une autre mentalité
Chaussures à nos pieds
Tous et toutes nous trouverions
Tout se ferait dans la galanterie
Tout se ferait sans aucune forfanterie
Selon les besoins et les envies
Pour le travail, pour l'habitat, pour la sexualité
L'être humain
Doit être rééduqué
L'être humain
Doit être réengrammé
L'être humain
Doit être reprogrammé
Si nous voulons
Une autre société
Où l'égalité
Soit vraiment l'égalité
Où la fraternité
Soit vraiment la fraternité
Où la liberté
Soit vraiment la liberté
Toujours
Au jeu mortel de la guerre civile
Toujours
Ne gagnent que les imbéciles
Toujours mieux armés
Toujours mieux conditionnés
Toujours imperturbablement bornés
Et les diverses bourgeoisies, de leur côté !
Comme par exemple
Lorsque les bourgeoisies évoquent
Mai 1968, à la télévision, elles se moquent
Et le travestissement à l'expertise ample
Toujours le travers qui les arrange
Jamais le côté qui les dérange
Et c'est toujours le renégat qui y apparait
Ou l'étudiant futur patron, sans attrait
Jamais l'ancien barricadier qui ne s'est jamais renié
Ou la communauté qui a su et pu durer
C'est ainsi sur Arte
Sur n'importe quelle chaine de télévision, les mêmes cartes
Il faut invalider
Ce qui aurait pu être
Mettre la défaite, dans toutes les têtes
Le capitalisme
Est la défaite de la pensée
Le capitalisme
Est la défaite de l'humanité
C'est une torture permanente
C'est une gifle cinglante
Une démission offensante
Une société pour les sadiques
Une société pour les masochistes
La société capitaliste
Est criminelle de guerre
Chaque être humain en est le tortionnaire
Vivre y est une aspiration vaine
Sous respirateur artificiel
Toutes les actions y sont vilaines
Sous le masque à oxygène
Comme en prison
Les riches peuvent cantiner
Louer des corps de femmes
Pervertir toutes les âmes
Et avec tout, tricher
Mais avec leurs cerveaux pourris
En eux, la vie, c'est fini
Ils et elles dégagent une infâme puanteur
Dans leurs yeux éteints, aucune lueur
Et s'il y avait une ferveur
Et s'il y avait une fureur
Un seul cri
La pousserait hors du lit
Contre les politiciennes et politiciens
De tous les bords politiques
Et de toutes leurs cliques
Et quoi qu'il advienne
" Pendez-les haut et court "
Et tout aussi bien
Contre les milliardaires voleurs
Et tout ce qui tourne autour
" Pendez-les haut et court "
Et tout aussi bien
Contre les milices patronales
Contre les milices syndicales
Contre les milices policières
Contre les milices militaires
" Pendez-les haut et court "
Cela serait un grand massacre
Partout une gigantesque traque
Une nouvelle terreur pleine d'erreurs
Et un nouveau Napoléon à l'horizon
L'éternelle histoire du dictateur
Qui sait attendre son heure
Et hop, c'est reparti
Pas encore pour cette fois, l'anarchie
Déjà
Si la femme pouvait
Vraiment, avorter quand elle le souhaite
Déjà
Si la femme pouvait
Vraiment, faire l'amour quand elle le souhaite
Contraception, avortement, stérilisation, le corps en fête
Mais comme tout est régit
Par les lois de l'économie
C'est l'économie de la vie
Qui est la vie de l'économie
La vie y est confisquée
Dans un placard y est enfermée
L'économie nous marie
L'économie nous divorce
L'économie nous sépare, nous trie
L'économie renie la vie
Tout
Nous est imposé par l'économie
Mariages, divorces, séparations
Rencontres, loisirs, conventions
Et même si cela nous déplaît
Rien à faire, ce sont des faits !
Chacun et chacune à sa place
Chacun et chacune dans sa classe
Et pas le moyen d'y échapper
Dès la naissance, c'est organisé
Femmes pour les riches
Femmes pour les pauvres
Voitures pour les riches
Voitures pour les pauvres
Maisons pour les riches
Maisons pour les pauvres
Vacances pour les riches
Vacances pour les pauvres
Vêtements pour les riches
Vêtements pour les pauvres
Drogues pour les riches
Drogues pour les pauvres
Et la même bêtise
Pour tous et toutes
Car nous sommes sur la même route
Même si cela nous défrise !
Et aussi la prison pour les riches
Et la prison pour les pauvres
Bref, c'est un monde d'abomination
Tout ce que nous faisons
Tout ce que nous savons
Est soit inutile ou soit faux
L'argent
Rend tout le monde sot
Mais la violence
Contre la violence
C'est encore du fascisme
C'est encore du stalinisme
C'est encore du capitalisme
Partout est le fascisme
Un fascisme d'extrême gauche
Un fascisme de gauche
Un fascisme de droite
Un fascisme d'extrême droite
Tous les mots y participent
Toutes les séparations les anticipent
Chômeur, travailleur, retraité, nationalité
Bonheur, malheur, prospérité, compétitivité
Jeune, vieux, nouveau-né
Les classifications
Sont les vecteurs de l'inhumanité

Patrice Faubert ( 2013 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "

" Sortir en conditionnelle six mois avant la fin d'une période de 18 ans n'a aucun sens. Dans
un marathon, tu ne t'arrêtes pas 500 mètres avant la ligne pour refaire tes lacets. "

Xavier ? ( Centre pénitentiaire de Laon, le 2 juin 2013 )

En tant qu'ancien ultramarathonien
Quand je pratiquais la marche de vitesse et de fond
Deuxième du championnat de France des 100 km marche
En 1985 avec le temps de 9h 26 minutes
Troisième du championnat de France des 200 km marche
En 1995 avec le temps de 22h 44 minutes
Je ne puis que le confirmer
A 500 mètres de la ligne d'arrivée
C'est comme très proche et comme une éternité
La propriété de la prison
Est la prison de la propriété
Pas de propriété privée
Et pas de prison
Car avec une autre mentalité
Chaussures à nos pieds
Tous et toutes nous trouverions
Tout se ferait dans la galanterie
Tout se ferait sans aucune forfanterie
Selon les besoins et les envies
Pour le travail, pour l'habitat, pour la sexualité
L'être humain
Doit être rééduqué
L'être humain
Doit être réengrammé
L'être humain
Doit être reprogrammé
Si nous voulons
Une autre société
Où l'égalité
Soit vraiment l'égalité
Où la fraternité
Soit vraiment la fraternité
Où la liberté
Soit vraiment la liberté
Toujours
Au jeu mortel de la guerre civile
Toujours
Ne gagnent que les imbéciles
Toujours mieux armés
Toujours mieux conditionnés
Toujours imperturbablement bornés
Et les diverses bourgeoisies, de leur côté !
Comme par exemple
Lorsque les bourgeoisies évoquent
Mai 1968, à la télévision, elles se moquent
Et le travestissement à l'expertise ample
Toujours le travers qui les arrange
Jamais le côté qui les dérange
Et c'est toujours le renégat qui y apparait
Ou l'étudiant futur patron, sans attrait
Jamais l'ancien barricadier qui ne s'est jamais renié
Ou la communauté qui a su et pu durer
C'est ainsi sur Arte
Sur n'importe quelle chaine de télévision, les mêmes cartes
Il faut invalider
Ce qui aurait pu être
Mettre la défaite, dans toutes les têtes
Le capitalisme
Est la défaite de la pensée
Le capitalisme
Est la défaite de l'humanité
C'est une torture permanente
C'est une gifle cinglante
Une démission offensante
Une société pour les sadiques
Une société pour les masochistes
La société capitaliste
Est criminelle de guerre
Chaque être humain en est le tortionnaire
Vivre y est une aspiration vaine
Sous respirateur artificiel
Toutes les actions y sont vilaines
Sous le masque à oxygène
Comme en prison
Les riches peuvent cantiner
Louer des corps de femmes
Pervertir toutes les âmes
Et avec tout, tricher
Mais avec leurs cerveaux pourris
En eux, la vie, c'est fini
Ils et elles dégagent une infâme puanteur
Dans leurs yeux éteints, aucune lueur
Et s'il y avait une ferveur
Et s'il y avait une fureur
Un seul cri
La pousserait hors du lit
Contre les politiciennes et politiciens
De tous les bords politiques
Et de toutes leurs cliques
Et quoi qu'il advienne
" Pendez-les haut et court "
Et tout aussi bien
Contre les milliardaires voleurs
Et tout ce qui tourne autour
" Pendez-les haut et court "
Et tout aussi bien
Contre les milices patronales
Contre les milices syndicales
Contre les milices policières
Contre les milices militaires
" Pendez-les haut et court "
Cela serait un grand massacre
Partout une gigantesque traque
Une nouvelle terreur pleine d'erreurs
Et un nouveau Napoléon à l'horizon
L'éternelle histoire du dictateur
Qui sait attendre son heure
Et hop, c'est reparti
Pas encore pour cette fois, l'anarchie
Déjà
Si la femme pouvait
Vraiment, avorter quand elle le souhaite
Déjà
Si la femme pouvait
Vraiment, faire l'amour quand elle le souhaite
Contraception, avortement, stérilisation, le corps en fête
Mais comme tout est régit
Par les lois de l'économie
C'est l'économie de la vie
Qui est la vie de l'économie
La vie y est confisquée
Dans un placard y est enfermée
L'économie nous marie
L'économie nous divorce
L'économie nous sépare, nous trie
L'économie renie la vie
Tout
Nous est imposé par l'économie
Mariages, divorces, séparations
Rencontres, loisirs, conventions
Et même si cela nous déplaît
Rien à faire, ce sont des faits !
Chacun et chacune à sa place
Chacun et chacune dans sa classe
Et pas le moyen d'y échapper
Dès la naissance, c'est organisé
Femmes pour les riches
Femmes pour les pauvres
Voitures pour les riches
Voitures pour les pauvres
Maisons pour les riches
Maisons pour les pauvres
Vacances pour les riches
Vacances pour les pauvres
Vêtements pour les riches
Vêtements pour les pauvres
Drogues pour les riches
Drogues pour les pauvres
Et la même bêtise
Pour tous et toutes
Car nous sommes sur la même route
Même si cela nous défrise !
Et aussi la prison pour les riches
Et la prison pour les pauvres
Bref, c'est un monde d'abomination
Tout ce que nous faisons
Tout ce que nous savons
Est soit inutile ou soit faux
L'argent
Rend tout le monde sot
Mais la violence
Contre la violence
C'est encore du fascisme
C'est encore du stalinisme
C'est encore du capitalisme
Partout est le fascisme
Un fascisme d'extrême gauche
Un fascisme de gauche
Un fascisme de droite
Un fascisme d'extrême droite
Tous les mots y participent
Toutes les séparations les anticipent
Chômeur, travailleur, retraité, nationalité
Bonheur, malheur, prospérité, compétitivité
Jeune, vieux, nouveau-né
Les classifications
Sont les vecteurs de l'inhumanité

Patrice Faubert ( 2013 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "


“Salir en condicional seis meses antes del final de un período de 18 años no tiene ningún sentido. En
un maratón, ti ti detenido no 500 metros antes de la línea para rehacer tus cordones. “

¿Xavier? (Centro penitenciario de Laon, el 2 de junio de 2013)

Como antiguo ultramarathonien
Cuando practicaba la marcha de velocidad y fondo
Segundo del campeonato de Francia de los 100 km va
En 1985 con el tiempo de 9:26 minutos
Tercero del campeonato de Francia de los 200 km va
En 1995 con el tiempo de 22:44 minutos
No puedo sino confirmarlo
A 500 metros de la meta
Es como muy cercano y como una eternidad
La propiedad de la prisión
Es la prisión de la propiedad
Pas de propiedad privada
Y no hay prisión
Ya que con otra mentalidad
Zapatos a nuestros pies
Todos y todas encontraríamos
Todo se haría en la galantería
Todo se haría sin ninguna fanfarronada
Según las necesidades y los deseos
Para el trabajo, para el hábitat, para la sexualidad
El ser humano
Debe rehabilitarse
El ser humano
Debe réengrammé
El ser humano
Debe programarse de nuevo
Si queremos
Otra sociedad
Dónde la igualdad
O de verdad la igualdad
Dónde la fraternidad
O de verdad la fraternidad
Dónde la libertad
O de verdad la libertad
Siempre
Al juego mortal de la guerra civil
Siempre
Sólo ganan los imbéciles
Siempre mejor armados
Siempre mejor condicionados
Siempre imperturbablemente limitados
¡Y las distintas burguesías, por su parte!
Como, por ejemplo,
Cuando las burguesías mencionan
En mayo de 1968, a la televisión, se burlan
Y el disfraz al peritaje amplio
Siempre él a través de que los arregla
Nunca el lado que los molesta
Y es el renegado todavía hay
O el estudiante futuro dueño, sin atractivo
Nunca el antiguo barricadier que nunca no se ha rechazado
O la comunidad que supo y pudo durar
Es así sobre Arte
Sobre cualquier cadena de televisión, las mismas tarjetas
Es necesario invalidar
Lo que habría podido ser
Poner la derrota, en todas las cabezas
El capitalismo
Es la derrota del pensamiento
El capitalismo
Es la derrota de la humanidad
Es una tortura permanente
Es una bofetada que singla
Una dimisión ofensiva
Una sociedad para los sádicos
Una sociedad para los masoquistas
La sociedad capitalista
Es criminal de guerra
Cada ser humano es el de tortura
Hay una aspiración inútil
Bajo respirador artificial
Todas las es desagradables
Bajo la máscara a oxígeno
Como en prisión
Los ricos pueden cantiner
Alquilar cuerpos de mujeres
Pervertir todos los almas
Y con engañarlo todo,
Pero con sus cerebros descompuestos
En ellos, se terminan la vida esto
Ellos y logran una infame hediondez
En sus ojos apagados, ningún atisbo
Y si hubiera un entusiasmo
Y si hubiera una furia
Un único grito
Lo empujaría fuera de la cama
Contra las políticos y políticos
De todos los bordes políticos
Y de todas suyo pulsadas
Y que ocurra
“Cuelgan -les arriba y brevemente”
Y también
Contra los multimillonarios ladrones
Y todo lo que vuelve alrededor
“Cuelgan -les arriba y brevemente”
Y también
Contra las milicias patronales
Contra las milicias sindicales
Contra las milicias policiales
Contra las milicias militares
“Cuelgan -les arriba y brevemente”
Eso sería una gran masacre
Por todas partes una gigantesca sigue
Un nuevo terror pleno de errores
Y un nuevo Napoleón en el horizonte
La eterna historia del dictador
Quién sabe esperar su hora
Y ¡aúpa!, volvió a salir
No aún por esta vez, la anarquía
Ya
Si la mujer podía
De verdad, abortar cuando el desea
Ya
Si la mujer podía
De verdad, hacer el amor cuando el desea
Contracepción, fracaso, esterilización, el cuerpo en fiesta
Pero como todo es regula
Por las leyes de la economía
Es la economía de la vida
Quién es la vida de la economía
Se confisca la vida
En un armario se encierra allí
La economía nos casa
La economía nosotros se divorcia
La economía nos separa, nos clasifica
La economía rechaza la vida
Todo
Se nos impone por la economía
Matrimonios, divorcios, separaciones
Encuentros, ocios, convenios
Y aunque eso nos desagrada
¡Nada a hacer, son hechos!
Cada uno y cada una a su lugar
Cada uno y cada una en su clase
Y no hay el medio de escaparse
A partir del nacimiento se organiza esto
Mujeres para los ricos
Mujeres para los pobres
Coches para los ricos
Coches para los pobres
Casas para los ricos
Casas para los pobres
Vacaciones para los ricos
Vacaciones para los pobres
Prendas de vestir para los ricos
Prendas de vestir para los pobres
Drogas para los ricos
Drogas para los pobres
Y la misma idiotez
Para todos y todas
Ya que estamos sobre la misma carretera
¡Aunque eso nos estira!
Y también la prisión para los ricos
Y la prisión para los pobres
Resumidamente, es un mundo de abominación
Todo lo que hacemos
Todo lo que sabemos
Es o inútil u o falso
El dinero
Vuelve todo el mundo tonto
Pero la violencia
Contra la violencia
Es aún del fascismo
Es aún del estalinismo
Es aún del capitalismo
Por todas partes es el fascismo
Un fascismo de extrema izquierda
Un fascismo de izquierda
Un fascismo de derecha
Un fascismo de extrema derecha
Todas las hay
Todas las separaciones los anticipan
Parado, trabajador, pensionista, nacionalidad
Felicidad, desdicha, prosperidad, competitividad
Joven, viejo, recién nacido
Las clasificaciones
Son los vectores de la inhumanidad

Patrice Faubert (2013) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway.fr”

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