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Paraphysique du cyberespace
Por Patrice Faubert - Tuesday, Dec. 06, 2016 at 3:30 AM

Brûler tous les papiers...

Cybermonde de la malveillance
C'est partout le règne de la finance
Cybersurveillance de masse
Toute vie est en ligne
Les services secrets en sont l'indigne
Et des réseaux officiels de délinquance
Dans tous les logiciels du capital, cela passe
Les données de l'identité
L'identité de toutes les données
Tout y est enregistré
Tout y est archivé
Tout y est analysé
Comme une sorte de bétail
Qu'il faut dresser vaille que vaille
Toute une surveillance numérique
Qui génère son propre trafic
Avec tous les virus informatiques
Des amateurs, des professionnels, toute une pratique
Toute une prison numérique
Tout est suspecté
Par le maton électronique
Traçabilité, accessibilité
Contrôle du moi numérique
Ombres digitales du petit clic
NSA, CIA, autres officines, y font leurs courses
C'est un peu comme à la Bourse !
Toutes les données, pendant au moins cinq ans
Sont comme par Google, des données conservées
Sans la garantie qu'elles puissent être effacées
Une sorte de techno-totalitarisme
Le monde prédictif dans l'absolutisme
Cela n'est peut-être qu'un début
Pour ne pas se déliter
Le capital fait sa mue
Sachant s'adapter, sachant se faire aimer
Une révolution libertaire et sociale, seule possibilité pour l'entamer
Le capital Empire
L'Empire du capital
De 1299 à 1923, pendant 624 ans
Ce fut l'Empire ottoman, défiant les ans
Déjà, toujours
Les guerres balkaniques, encore un tour
Les guerres territoriales, encore un tour
Mais parfois comme un revers
1821, l'indépendance de la Grèce
Certes, tout nationalisme est réactionnaire
Encore la guerre, encore la messe
Et en n'importe quel temps
Ainsi amputé de toute autre possibilité
Du seul temps de vie
Sans aucune hiérarchie
Sans aucune nationalité, sans aucun pays !
Et finalement, l'ennui devient du profit
C'est le profit de l'ennui
Par exemple, le secteur du jeu vidéo
Tous les jours, des centaines de jeux vidéos
Empêcher la vraie réflexion, rendre l'individu sot
Gestion du flux
Gestion du reflux
Du contre comme du pour
Et toutes les grandes crises
Forcément, le capital c'est la crise
Il n'est d'ailleurs que la crise
C'est bien là sa seule prise
La crise de la prise
La prise de la crise
Ainsi, en 1936, aux Etats-Unis
Une personne sur six fut privée d'emploi
Ainsi, en 1932
12 millions de gens en chômage
Pour la place forte du capitalisme, ce fut l'outrage
Car, dans le même mouvement
1934, 18 millions de postes de radio, c'est marrant
Comme le béton, qui était déjà utilisé, il y a 2000 ans
Chez les romains, jamais de rien vraiment étonnant
Tout suit son chemin, simplement !
Tout est une question d'échelle
Elle n'est ni laide ni belle
Ainsi
Pas de gravité à très petite échelle
De la gravité à grande échelle
Des grilles de lecture
Des grilles s'étalant comme de la confiture
Dans l'horizon des évènements
Du plus petit au plus grand
L'Univers serait peut-être un trou noir
Les évènements de l'horizon
Le trou noir de l'Univers
Les trous noirs du Multivers
Comme le drapeau de l'anarchie
L'anarchie comme unique paradis
La seule possibilité épanouie de la vie
Et même si c'est petit à petit
La fin de toute guerre
La fin de tout conflit
Plus de pays, plus de patrie
Un seul peuple, le peuple de la planète Terre
Comme il y a quelques millénaires
Avec la société matrilinéaire
Qui est oubliée du dictionnaire
Cela dérange trop l'éducastration réactionnaire
La faculté d'oubli
Le capital y fait son lit
Comme le Sahara, jadis peuplé
Et ce pendant des milliers d'années
Un berceau de l'élevage et de l'agriculture
Quand elle était encore si belle la nature
Un squelette sans chair
Car tout vient à s'inverser, et tout devient son contraire !
Mais le Sahara
C'est quand même deux fois et demie la France, voilà
Où rien ne vaut le dromadaire
Chaque boucherie avec son coin de terre
Tout un déterminisme climatique
Où tout vêtement est sa mimique
Le froid conditionne nos vies
Le chaud conditionne nos vies
Comme les autres catégories
En tous domaines, des hiérarchies
Du genre humain, un mauvais esprit
Comme en somme, la même mise
Dans toutes les entreprises
Ainsi
Air France, avec trois catégories
1 : Pilotes
2 : Hôtesses, stewards
3 : Personnel sol
Déjà, trois mondes parallèles
Toute catégorie coupe les ailes
Le monde du travail
Le travail du monde
De la catégorisation
De la hiérarchisation
De la séparation
De la hiérarchie de pouvoir plus que de fonction !
Aucune place pour l'imprévu
Déjà, tout archivé, déjà, tout lu
Des rencontres la plupart du temps, échouées
Séparées qu'elles sont, par la classe sociale, par le métier
Et selon ce que vous gagnez
Et selon ce que vous possédez
Il n'y a donc aucune spontanéité
Vendre son soi, vendre sa viande, comme une possédée, comme un possédé
Se confondant et se mêlant
Avec les prétendues cinq dimensions de la personnalité
S'appauvrissant au fil des années
C'est désolant, c'est consternant
Agréabilité, extraversion
Conscience, névrosisme, ouverture
La psychologie récupérant un peu de caractérologie
Via même la physiognomonie
Mais toujours des catégories
Dont raffolent les diverses bourgeoisies
Un monde donc sans vraie rencontre
Sinon des hommes horloges, des femmes montres
Et nos routines qui nous bouquinent
Des autres, nous sommes les étrangers
Encore plus parfois, d'une même nationalité
Et à propos des étrangers
400.000 étrangers
Vivent en France sans aucun papier
Sans carte de séjour, sans permis de travail
Chiffre stable depuis trente ans
Un esclavage s'éternisant
Il faut travailler sous un faux nom
Malgré tout, payer des cotisations
Et finir souvent en centre administratif de rétention
Jusqu'à 45 jours avant une expulsion
51000 en 2012, triste constatation
Et 30.000 étrangers qui chaque année
De gré ou de force, qui la France, doivent quitter
Il est donc plus que temps
Oui, il est plus que temps
D'abolir toute nationalité
De brûler tous les papiers
Donc, des autres nous somme comme des étrangers
Parfois encore plus de même nationalité
Et pour les étrangers encore donc plus étrangers
C'est la France et la Tchéquie
Qui accueillent le moins d'étrangers
0,33 pour cent de leur population, c'est ainsi
Dans le monde, des millions de réfugiés
Alors que finalement, nous sommes tous et toutes des immigrés
Alors que finalement, nous sommes tous et toutes des réfugiés !

Patrice Faubert ( 2016 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "


Cybermonde de la malevolencia
Es por todas partes el reino de las finanzas
Cybersurveillance de masa
Toda vida es en línea
Los servicios secretos son el indignos
Y de las redes oficiales de delincuencia
En todos los programas informáticos del capital, eso pasa
Los datos de la identidad
La identidad de todos los datos
Registrarse allí
Archivarse allí
Analizarse allí
Como una clase de ganado
Que es necesario elaborar valga que valga
Toda una vigilancia numérica
Quién genera su propio tráfico
Con todos los virus informáticos
Aficionados, profesionales, toda una práctica
Toda una prisión numérica
Todo se sospecha
Por el matón electrónico
Rastreabilidad, accesibilidad
Control mi numérico
Sombras digitales del pequeño chasquido
NSA, CIA, otros dispensarios hay sus cursos
¡Es un poco como a la Bolsa!
Todos los datos, durante al menos cinco años
Son como por Google, de los datos conservados
Sin la garantía que puedan borrarles
Una clase tecnototalitarismo
El mundo profético en el absolutismo
Eso no es quizá más que un principio
Para no desconcharse
El capital hace su muda
Sabiendo adaptarse, sabiendo hacerse gustar
Una revolución libertaria y social, sola posibilidad para empezarlo
El capital Imperio
El Imperio del capital
De 1299 a 1923, durante 624 años
Fue el Imperio otomano, desafiando los años
Ya, siempre
Las guerras balcánicas, aún una vuelta
Las guerras territoriales, aún una vuelta
Pero a veces como un revés
1821, la independencia de Grecia
Ciertamente, todo nacionalismo es reaccionario
Aún la guerra, aún la misa
Y en cualquier tiempo
Así cortado de cualquier otra posibilidad
El único tiempo de vida
Sin ninguna jerarquía
¡Sin ninguna nacionalidad, sin ningún país!
Y finalmente, el problema pasa a ser del beneficio
Es el beneficio del problema
Por ejemplo, el sector del videojuego
Todos los días, cientos de videojuegos
Impedir la verdadera reflexión, volver el individuo tonto
Gestión del flujo
Gestión del reflujo
De contra como de para
Y todas las grandes crisis
Inevitablemente, el capital es la crisis
No es por otra parte más que la crisis
Es bien allí su sola toma
La crisis de la toma
La toma de la crisis
Así pues, en 1936, en los Estados Unidos
Se vio privada a una persona sobre seis de empleo
Así pues, en 1932
12 millones de gente en paro
Para la plaza fuerte del capitalismo, fue la ofensa
Ya que, en el mismo movimiento
1934,18 millones de puestos de radio, es divertido
Como el hormigón, que ya se utilizaba, hace 2000 años
En los romanos, nunca de nada de verdad asombroso
¡Todo sigue su camino, simplemente!
Todo es una cuestión de escala
No es ni fea ni bonita
Así
Pas de gravedad muy a pequeña escala
De la gravedad a gran escala
Rejillas de lectura
Rejillas que se extienden como mermelada
En el horizonte de los acontecimientos
Del el más pequeño el a lo sumo grande
El Universo sería un agujero quizá negro
Los acontecimientos del horizonte
El agujero negro del Universo
Los agujeros negros del Multivers
Como la bandera de la anarquía
La anarquía como único paraíso
La única posibilidad abierta de la vida
Y aunque es poco a poco
El final de toda guerra
El final de todo conflicto
Más países, más patria
Un único pueblo, el pueblo del planeta Tierra
Como hay algunos milenios
Con la sociedad matrilinéaire
Quién se olvida del diccionario
Eso molesta demasiado el éducastration reaccionario
La facultad de olvido
Hay su cama
Como el Sahara, antes poblado
Y esto durante millares de años
Una cuna de la ganadería y la agricultura
Cuando era aún tan bonita la naturaleza
Un esqueleto sin carne
¡Ya que a invertírselo todo viene a, y todo se convierte en su contrario!
Pero el Sahara
Es a pesar de todo y medio dos veces Francia, aquí
Dónde nada vale al dromedario
Cada carnicería con su esquina de tierra
Todo un determinismo climático
Dónde toda prenda de vestir es su mímico
El frío condiciona nuestras vidas
El calor condiciona nuestras vidas
Como las otras categorías
En todos los ámbitos, de las jerarquías
Del género humano, un mal espíritu
Como en resumen, la misma puesta
En todas las empresas
Así
Air France, con tres categorías
1: Pilotos
2: Azafatas, azafatos
3: Personal suelo
Ya, tres mundos paralelos
Toda categoría corta las alas
El mundo del trabajo
El trabajo del mundo
De la clasificación
De la jerarquización
De la separación
¡De la jerarquía de poder más que de función!
Ningún lugar para el imprevisto
Ya, muy archivado, ya, muy leído
Encuentros la mayor parte del tiempo, fallados
Separadas que están, por la clase social, por el oficio
Y según lo que gana
Y según lo que posee
No hay pues ninguna espontaneidad
Lovender su lo, vender su carne, como uno poseída, como uno poseído
Confundiéndose y mezclándose
Con las pretendidas cinco dimensiones de la personalidad
Empobreciéndose a lo largo de los años
Es que aflige, esto es consternando
Agréabilité, extraversión
Conciencia, névrosisme, apertura
La psicología que recupera un poco de caracterología
Mediante mismo la fisionomonía
Pero siempre de las categorías
Que raffolent las distintas burguesías
Un mundo pues sin verdadero encuentro
Si no de los hombres relojes, de las mujeres relojes
Y nuestras rutinas que nos leen
Otros, somos los extranjeros
Aún más a veces, de una misma nacionalidad
Y con respecto a los extranjeros
400.000 extranjeros
Viven en Francia sin ningún papel
Sin permiso de residencia, sin permiso de trabajo
Cifra estable desde hace treinta años
Una esclavitud que se perpetúa
Es necesario trabajar bajo un falso nombre
A pesar de todo, pagar cotizaciones
Y terminar a menudo centra administrativo de retención
Hasta 45 días antes de una expulsión
51000 en 2012, triste comprobación
Y 30.000 extranjeros quienes cada año
Voluntad o fuerza, que Francia, deben dejar
Está más pues que tiempo
Sí, está más que tiempo
Suprimir toda nacionalidad
Quemar todos los papeles
Pues, otros nos suma como extranjeros
A veces aún más así mismo nacionalidad
Y para los extranjeros aún pues más extranjeros
Es Francia y República Checa
Quiénes acogen menos de extranjeros
0,33 para - cientos de su población, es así
En el mundo, de los millones de refugiados
Mientras que finalmente, somos todos y muy de los inmigrantes
¡Mientras que finalmente, somos todos y muy de los refugiados!

Patrice Faubert (2016) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway.fr”

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