Julio López
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Paraphysique de proxémie
Por Patrice Faubert - Friday, Jan. 06, 2017 at 3:47 AM

Amnésie de l'Histoire, l'Histoire de l'amnésie...

" Le gouvernement n'est rien d'autre que le gendarme du capital, l'épouvantable être qui garde les coffres-forts, des vautours des banques, du commerce et de l'industrie. Pour le capital, il a du respect et lui est entièrement soumis, pour le peuple, il a les prisons, les casernes et le gibet. "

Ricardo Flores MAGON ( 1873 - 1922 )

Il y a deux fois
Plus d'illettrés en 2013
En France, qu'en 1913
Car autrefois
Les journaux comme le livre, étaient rois
Et même et surtout dans les tranchées
De 1914 - 1918, quand la vie, à tout instant, pouvait vous quitter
Tout est en régression
Avec une médiocrité institutionnalisée
De génération en génération
L'indifférence et la bêtise, toujours plus accentuées
L'amitié n'est déjà plus
L'amour n'est déjà plus
Tout y est cocu
La jeunesse est pleine de mémoire
Pour toutes les insanités, croire
Mais sur le monde qui la programme
Elle n'a aucune intelligence, aucune âme
C'est une proxémie culturelle
C'est une proxémie intellectuelle
Chaque pays a sa proxémie
Chaque culture a sa proxémie
Chaque époque a sa proxémie
La façon de se serrer la main
La distance à prendre avec son voisin
Dans la rue ou au quotidien
Comme jadis, le doigt d'honneur des archers anglais
Quand le majeur n'était pas amputé, et que tuer, il pouvait
C'était pendant la guerre de cent ans
Toute proxémie n'est qu'un conditionnement
Que tout notre corps prend
Tant de mots qui disent la même chose
Pour désigner la même rose
Comme aussi
Le cerium, le terbium
Le samarium, le gaddinium
Ces terres rares, tous ces métaux
Qui à la longue auront nos peaux
Car pour les missiles, écrans, il en faut
Pour les billets de banque, les téléphones
A la Terre, la politique n'est pas bonne
Il y a même une proxémie musicale
Une sorcellerie contre le mal
Comme feu ( 1939 - 2006 ) Ali Farka Touré
Avec même des allumettes; fameux musicien
Chauffeur, paysan, maire, malien
Un élu avec cent pour cent des voix
Sans tricherie, en son village, c'était un roi
Certes, pour comprendre ce que j'écris
Il faut avoir le code, je le médis
80.000 prostituées
Sous l'ère Victorienne, Londres du passé
Où même le meuble était corseté
Quant apercevoir un mollet
Choquait le noble anglais
L'Angleterre d'alors avait sa burqa
Et des vierges d'une seule fois
Le fondamentalisme religieux
De tous les pays, ces fous de dieu
En nos jours, ont pris le relais
Après l'Angleterre, d'autres niais
Comme une marée au loin
Elle part mais toujours elle revient
La même hypocrisie répugnante
D'une même cervelle démente
La pensée conditionnée est bête
La même erreur, elle répète
D'une époque l'autre, elle ressuscite
Et de la vocation elle suscite
L'action que l'on imite
Et le cerveau humain rétrécit
Au fil des avancées de la technologie
Des heures devant la télévision
Des heures devant son ordinateur
La télévision est notre communication
L'ordinateur est notre confesseur
La télévision nous regarde la regarder
L'ordinateur sait nous virtualiser
Tout se reproduit
Si cela n'a pas été compris
La fin du commencement
Est le commencement de la fin
Qui est alors sans commencement
Qui est alors sans fin
Ce ne sont
Pas seulement les femmes qui sont violées
Ainsi actuellement, en Amérique, et ailleurs, dans les prisons
140.000 détenus sont violés, et ce chaque année
Les femmes font des crises cardiaques
C'est leur première cause de mortalité
Les hommes font de l'ostéoporose, du tac au tac
Nos cerveaux sont remplis de clichés
Et au-delà le crime en direct et filmé
Comme celui ( né en 1968 ) de Troy Kell, en 1994, commis en prison
Avec Eric Daniels, son sanguinaire larron
Pour saigner comme un porc, un noir, c'est pas un canular
Des dizaines de coups de couteau, jamais marre
Des caméras de surveillance
Filmèrent cette pure horreur, avec indolence
Un crime raciste, un film d'épouvante
A s'effacer, sa trace est lente !
C'est presque un document d'histoire
Sur la proxémie de notre histoire
Il faut le voir
Pour vraiment le croire !
Rien d'étonnant
Puisque maintenant
Ce sont les tyrans
Qui ont le prix Nobel de la paix
Qui leurs sont attribués par leurs laquais
Tout a été effectivement domestiqué
Pour maintenir le système, tout le monde veut conspirer
Déjà, il y a une cinquantaine d'années
A Paris, fut enterrée la liberté d'expression
Dans une visionnaire manifestation
J'y étais, de pire en pire, je le savais !
Des générations sans aucune mémoire
Des générations qui tout peuvent croire
Des générations qui peuvent tout accepter
Qui peuvent tout boire et tout manger !
La technologie
N'est pas au service de l'être humain
Quand c'est l'être humain
Qui est au service de la technologie
Ceci est dit
En rapport au courant nazi
Qui se proclame contre la technologie
Souvent primitiviste
Avec ses idéologues activistes
Dans la folie des mots pervertis
Tout se piège, tout se manipule, tout est un travesti !
A la vie
L'humanité devient la lie
Les animaux pas humains sont finalement plus gentils
A l'un d'eux, fut consacré un écrit
Feu Bébert ( 1935 - 1952 ) le chat de Louis - Ferdinand Céline
A lui et Lucette Almanzor, toujours fidèle, à l'humeur parfois câline
Toute l'humanité est en déficit informationnel
Sur sa vraie histoire, totalement oubliée
C'est un autre nom de la mémoire
Toujours amnésique dans son intentionnalité
Chaque mémoire gouape à l'histoire
Selon son intérêt, son grimoire
N'entendant
Ne voyant
Que ce qui l'arrange
Et niant tout ce qui la dérange
Ou l'interprétant pour que cela se mange !
De la sorte, plus rien n'est signifiant
Tout est détraqué, tout est affligeant
La vérité est enfermée, noyée, déformée
Par les actionnaires de tous les marchés
Par les actionnaires de toutes les idées
Par les actionnaires de toutes les propriétés
Comme les syndicats
Complices de toutes les polices
Complices de toutes les exploitations
Indispensables associés de tous les patrons
De toutes les patronnes, de tous les poltrons
C'est l'histoire de l'amnésie
L'amnésie de l'histoire
Le déficit informationnel qui fait tout croire
De la perte de mémoire, c'est la grande foire !
Le déficit informationnel
Qui nous fait répéter des bêtises
La mémoire défaillante
L'affirmation arrogante
Moi, toi, lui, elles, eux
Les jeunes et les vieux
Le déficit informationnel
Qui fige dans l'éternel
Et l'erreur toujours répétée
Et la terreur toujours renouvelée

Patrice Faubert ( 2013 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "

" El Gobierno sólo es nada de otro el gendarme del capital, lo horrible ser que guarda las cajas fuertes, de los buitres de los bancos, del comercio y la industria. Para el capital, se le somete tiene del respeto y enteramente, para el pueblo, él tiene las prisiones, los cuarteles y la horca. ”

Ricardo Flores MAGON (1873 - 1922)

Hay dos veces
Más de analfabeto en 2013
En Francia, que en 1913
Ya que antes
Los Diarios como el libro, eran reyes
E incluso y sobre todo en las trincheras
De 1914 - 1918, cuando la vida, continuamente, podía dejarle
Todo está en regresión
Con una mediocridad institucionalizada
De generación en generación
La indiferencia y la idiotez, cada vez más acentuada
La amistad ya no es ya
El amor ya no es ya
Es cornudo
Juventud es llena de memoria
Para todas las locuras, creer
Pero sobre el mundo que lo programa
No tiene ninguna inteligencia, ningún alma
Es un proxémie cultural
Es un proxémie intelectual
Cada país tiene su proxémie
Cada cultura tiene su proxémie
Cada tiempo tiene su proxémie
La manera de apretarse la mano
La distancia que debe tomarse con su vecino
En la calle o al diario
Como antes, el dedo de honor de los arqueros inglés
Cuando no se cortaba al mayor de edad, y que matar, podía
Era durante la guerra de ciento años
Todo proxémie no es más que un acondicionamiento
Que todo nuestro cuerpo toma
Tanto palabras que dicen la misma cosa
Para designar la misma rosa
Como también
El cerio, el terbio
El samario, el gaddinium
Estas tierras raras, todos estos metales
Quiénes pieles a la larga tendrán nuestras
Ya que para los misiles, pantallas, es necesario
Para los billetes de banco, los teléfonos
A la Tierra, la política no es buena
Hay incluso un proxémie musical
Una brujería contra el mal
Como fuego (1939 - 2006) Ali Farka Touré
Con misma de los fósforos; famoso músico
Conductor, campesino, alcalde, maliense
Un cargo electo con cientos para - cientos con las voces
Sin marrullería, en su pueblo, era un rey
Ciertamente, para incluir lo que escribo
Es necesario tener el código, lo hablo mal
80.000 prostitutas
Bajo la era Victorienne, Londres del pasado
Dónde incluso el mueble corseté
Tan percibir una pantorrilla
Chocaba el noble inglés
Inglaterra de entonces tenía su burqa
Y del vírgenes de una única vez
El fundamentalismo religioso
De todos los países, estos locos de dios
En nuestros días, tomaron el relevo
Tras Inglaterra, otros negaban
Como una marea a lejos
Va pero siempre vuelve de nuevo
La misma hipocresía que repugna
De un mismo cerebro lunático
El pensamiento condicionado es estúpido
El mismo error, repite
De un tiempo otro, resucita
Y de la vocación suscita
La acción que se imita
Y el cerebro humano estrecha
Al compás de las proyecciones de la tecnología
Horas ante la televisión
Horas delante su ordenador
La televisión es nuestra comunicación
El ordenador es nuestro confesor
La televisión nos observa observarlo
El ordenador nos sabe nos virtualiser
Todo se reproduce
Si no se incluyó eso
El final del principio
Es el principio del final
Quién está entonces sin principio
Quién está entonces sin final
No son
No solamente las mujeres se viola que
Así actualmente, en América, y a otra parte, en las prisiones
140.000 presos se violan, y esto cada año
Las mujeres hacen crisis cardíacas
Es su primera causa de mortalidad
Los hombres hacen la osteoporosis, del TAC al TAC
Nuestros cerebros se llenan con tópicos
Y más allá el crimen en directo y rodado
Como el (nacido en 1968) de Troy Kell, en 1994, cometido en prisión
Con Eric Daniels, su sanguinario ladrón
Para sangrar como un cerdo, un negro, no es una broma
Decenas de golpes de cuchillo, nunca desternillan
Cámaras de vigilancia
Rodaron este puro horror, con indolencia
Un crimen racista, una película de terror
¡A borrarse, su rastro es lenta!
Es un documento casi de historia
Sobre el proxémie de nuestra historia
Es necesario verlo
¡De verdad para creerlo!
Nada de asombroso
Puesto que ahora
Son los tiranos
Quiénes tienen el Premio Nobel de la paz
Quiénes suyo son asignados por sus esmaltaban
Se domesticó efectivamente todo
Para mantener el sistema, todo el mundo quiere conspirar
Ya, hay una cincuentena de años
En París, se enterró la libertad de expresión
En una visionaria manifestación
¡Había, de peor en peor, yo lo sabía!
Generaciones sin ninguna memoria
Generaciones que creerlo todo pueden
Generaciones que pueden aceptarlo todo
¡Quiénes pueden beberlo todo y comerlo todo!
La tecnología
No está al servicio del ser humano
Cuando es el ser humano
Quién está al servicio de la tecnología
Se dice esto
En informe a la corriente nazi
Quién se declara contra la tecnología
A menudo primitiviste
Con sus ideólogos activistas
En la locura de las palabras pervertidas
¡Todo se atrapa, todo se dirige, todo es un travestido!
A la vida
La humanidad se convierte en la hez
Los animales no humanos son finalmente más agradables
A uno ellos, se consagró un escrito
Fuego Bébert (1935 - 1952) el gato de Louis - Ferdinand Céline
A él y Lucette Almanzor, siempre fieles, al humor a veces mimoso
Toda la humanidad está en déficit informativo
Sobre su verdadera historia, completamente olvidada
Es otro nombre de la memoria
Siempre amnésico en su intencionalidad
Cada memoria golfo a la historia
Según su interés, su galimatías
Persona que oye
No viendo
Que lo que lo arregla
Y negando todo lo que lo molesta
¡O interpretándolo para que eso se coma!
De este modo, más no es nada significando
Todo se arruina, todo es afligiendo
La verdad se encierra, ahogada, deformada
Por los accionistas de todos los mercados
Por los accionistas de todas las ideas
Por los accionistas de todas las propiedades
Como los sindicatos
Cómplices de todas las policías
Cómplices de todas las explotaciones
Indispensables asociados de todos los dueños
Por todas las jefas, de todos los cobardes
Es la historia de la amnesia
La amnesia de la historia
El déficit informativo que hace creerlo todo
¡De la pérdida de memoria, es la gran feria!
El déficit informativo
Quién nos hace repetir idioteces
La memoria defectuosa
La afirmación arrogante
Mí, ti, él, ellas, ellos
Los jóvenes y los viejos
El déficit informativo
Quién solidifica en el eterno
Y el error siempre repetido
Y el terror siempre renovado

Patrice Faubert (2013) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway.fr”

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