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Intellectuels d'élevage, intellectuels de batterie, intellectuels industriels
Por Patrice Faubert - Saturday, Jan. 14, 2017 at 12:52 PM

Pour en finir avec l'intellectualisme d'Etat...

Certes, j'écris toujours en quatrième vitesse
Tant ma révolte est en détresse
Comme l'Histoire qui oublie ses enfants
Deux inclassables, deux marginaux
De la même région, c'est rigolo
Feu l'anarchiste ( 1825 - 1862 ) Ernest Coeurderoy
Feu le chevalier d'Eon ( 1728 - 1810 ) agent secret du roi
Et ce qui ne coule
Dans aucun moule
Cela dérange, cela chamboule
C'est ce que je disais à une dame érudite
Qui à Tonnerre, et d'une façon inédite
Organise des expositions de peinture
Dans l'hôtel Coeurderoy au fur et à mesure
Comme celle sur la veuve de feu Ernest Coeurderoy
Peintresse trop peu connue, ma foi
Marie-Justine Rampont
Et qui se souvient d'elle, ou de Coeurderoy, ou d'Eon ?
Même à Tonnerre
Pas étonnant en notre ère
Deux inclassables
Dont ne veut aucun cartable
Coeurderoy théoricien de l'anarchie
Aux oubliettes est son esprit
Les libertaires l'ignorent, c'est dit
Sa mère, hélas, brûla sa correspondance, c'est regrettable !
C'est de lui, dont je me sens le plus proche
Mais dépressif, il se trancha les veines, sa fin fut moche
Comme moi, il voulait faire table rase
De tout un monde complètement naze
Pas étonnant
Si je suis domicilié à côté de cet anar
De sa maison de famille, il n'y a pas de hasard
Moi aussi, j'erre d'une ville l'autre
Jadis, d'un pays l'autre
Mais lui était fils de médecin
Lui-même aussi médecin
Moi un fils de prolétaire
Mais un rien, pas même prolétaire
Donc, par la pensée, je l'ai rencontré, et néanmoins
Je sens son fantôme, qui n'est pas loin
Cela aurait été, c'est un copain
Chez moi viens prendre un verre
Pour une causerie vraiment révolutionnaire
Pendant des heures
Je pourrais en parler, sans passer pour un crâneur
De Coeurderoy, d'Eon
Mais de Sade aussi, d'autres, alors, cessons
De nos neurones sociaux
La construction à partir des autres, c'est beau !
Mais le problème
L'éternel et horrible dilemme
Sous le nazisme, on fait comment ?
Sous le capitalisme, on fait comment ?
Ou alors au Mirail
Quartier cité gigantesque à Toulouse
Dès la naissance le manque de flouze
Dès la naissance, la stigmatisation comme seul rail
Certes
De la petite délinquance, des délits mineurs
Quand la misère vous fait voleur
Car les grands délinquants
Sont, c'est évident, dans tous les gouvernements
Au rendez-vous des vrais voleurs
Escrocs, ordures, truands, menteurs
Et donc dans cette cité des enfants perdus
Dont la bonne conscience ne veut plus
Il y a donc l'Islam comme source d'apaisement
Une Pax Romana, on l'oublie trop souvent
Une barrière de sécurité à tous les débordements
Malgré les provocations policières, c'est édifiant
Ce que l'on oublie de dire
Dans les journaux du capital, on ne peut donc le lire
Pour apaiser toutes les frustrations
Pour apaise toutes les privations
Tout gouvernement a besoin des religions
Pour fabriquer de la soumission
Et pour empêcher toute vraie révolution !
Car
Il n'y a pas de gestes naturels
Mais la société marchande nous injecte son fiel
Il n'y a que les automatismes de l'environnement
Le déterminisme socioculturel de la famille, des parents
Vraiment, je n'aime pas les intellectuels d'élevage
Avec sans cesse de nouveaux arrivages
Mon poing dans la gueule
Toute une vermine si veule
Les Onfray, les Michéa, et d'autres comme les Houellebecq
C'est que du blanc-bec
Comme feu d'Eon, je vous provoque en duel
Voilà prose qui est belle
C'est quand vous voulez
Mais pas là où vous voulez
Je m'attends à être censuré
Par tous les amis du système aliéné
De l'extrême gauche du capital
Jusqu'à l'extrême droite du capital
La crainte de Dieu, la crainte d'Allah
La crainte de ceci ou de cela
La crainte de tous les ceci ou de tous les cela
Tout une soumission, tout ce qui musèle les consciences
Ce qui au capital est comme une confidence
Un monde entier en pleine démence !

Patrice Faubert ( 2017 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "


Por supuesto, siempre que escribo en la cuarta marcha
Como mi revuelta está en peligro
A medida que la historia se olvida de sus hijos
Dos inclasificable, dos marginales
En la misma región, que es divertido
Fuego anarquista (1825 - 1862) Ernest Coeurderoy
Disparar el Chevalier d'Eon (1728 - 1810) agente secreto del Rey
Y lo que fluye
En ningún molde
Se molesta, se mete
Eso es lo que dije en una dama aprendido
¿Quién en Tonnerre, y de una manera nueva
Organiza exposiciones de pintura
En el hotel en Coeurderoy Como
Al igual que la viuda de Ernest Coeurderoy
Peintresse poco conocida, la fe
Marie-Justine Rampont
Y que ella, o Coeurderoy, o Eon recuerda?
Incluso en Tonnerre
No es extraño que en nuestra época
dos inclasificable
Lo cual no hace mochila
Coeurderoy teórico de la anarquía
Olvidado su espíritu
Los libertarios no saben, se dice
Su madre, por desgracia, quemado su correspondencia, es lamentable!
A partir de él, yo soy el significado más cercano
Pero la depresión, se cortó las venas, su fin era feo
Al igual que yo, que quería hacer tabla rasa
Todo un mundo por completo chupa
no es de extrañar
Si mi domicilio se encuentra al lado de este anarquista
Su casa de la familia, no hay ninguna posibilidad
Yo, también, va de una ciudad a otra
Anteriormente un país distinto
Pero él era el hijo de un médico
A sí mismo como médico
Mi hijo proletaria
Pero nada, ni siquiera proletaria
Por lo tanto, por el pensamiento, me encontré con él, sin embargo,
Siento su fantasma, que no está lejos
Habría sido, es un compañero
Mi casa para tomar una copa
Para una charla verdaderamente revolucionario
Durante horas
Podría hablar sin tener que ir a una Swank
De Coeurderoy, Eon
Pero como de Sade, otra y luego se detiene
Nuestras neuronas sociales
El edificio de la otra, es hermoso!
Pero el problema
El eterno dilema y horrible
Bajo el nazismo, es ¿cómo?
Bajo el capitalismo, es ¿cómo?
O Mirail
gigantesco barrio de la ciudad de Toulouse
Desde el nacimiento de la falta de flouze
Desde el nacimiento, el estigma como el único ferrocarril
Es cierto
Los delitos menores, delitos menores
Cuando la miseria se hace ladrón
Para los infractores graves
Son, obviamente, en todos los gobiernos
El nombramiento de los verdaderos ladrones
Crooks, basura, ladrones, mentirosos
Y así, en esta ciudad de los niños perdidos
Cuya conciencia no quiere
Es por lo tanto el Islam como fuente de apaciguamiento
Pax Romana, nosotros también muchas veces olvidamos
Una barrera de seguridad en todos los desbordamientos
A pesar de las provocaciones de la policía, es edificante
Lo que uno se olvida de decir
En los periódicos de la capital, por lo que no puede leer
Para disipar cualquier frustraciones
Para calmar todas las privaciones
Todo gobierno necesita de las religiones
Para hacer la presentación
Y para evitar cualquier revolución de verdad!
coche
No hay gestos naturales
Pero la sociedad de mercado que inyecta su veneno
Sólo el entorno de automatización
El determinismo socio-culturales de la familia, los padres
Realmente no me gusta intelectuales agrícolas
Cada vez con nuevas llegadas
Mi puño en la boca
Cualquier sabandijas así sin espinas
El Onfray, el Michéa, y otros como Houellebecq
Es que el novato
Como Eon fuego, Te reto a un duelo
Que la prosa es hermoso
Esto es cuando se quiere
Pero no en la que desea
Espero ser censurado
Para todos los amigos de sistema alienado
Desde la extrema izquierda del capital
A la derecha de la capital
El temor de Dios, el temor de Allah
El temor de tal o cual
El temor de todo esto o todo lo que
Toda oferta que, todo lo que amordaza conciencias
Este capital es como un secreto
Un mundo lleno de la demencia!

Patrice Faubert (2017) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat dice el invitado en "hiway.fr"

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