Julio López
está desaparecido
hace 6428 días
versión para imprimir - envía este articulo por e-mail

Paraphysique du préjugé et de l'idée reçue
Por Patrice Faubert - Thursday, Jan. 26, 2017 at 3:35 AM

Toute idée est une idée reçue...

Inhibition de l'action
Attente en tension
Réaction organique à l'agression
C'est la société dans laquelle nous vivons
Où nous aimons
Ceux et celles qui nous battent
Ceux et celles qui nous méprisent
Ceux et celles qui nous humilient
Dés l'école, au bureau, à l'usine, dans la famille
C'est comme un jeu de quilles
C'est ainsi
Que nous aimons nos tyrans
Que nous aimons nos déments
Nos enseignants, nos parents, nos enfants
Toujours le même vote
Toujours les mêmes litotes
C'est ainsi
Car, croyons-nous, qui ne le ferait pas
Ne nous aimerait pas
C'est un monde à l'envers
C'est le monde des pervers
De ces hommes
Les femmes raffolent
De ces femmes
Avec, les hommes batifolent
Et les enfants, de ces cabrioles
Ont la mentalité qui devient folle !
Au même titre
Que la richesse
Recevoir des coups est une ivresse
Qui se cache derrière des vitres
C'est ainsi
Que le gauchiste
N'entend et ne voit
Que ce qui l'arrange
Et jamais, ainsi, rien ne change
C'est ainsi
Que le fasciste
N'entend et ne voit
Que ce qui l'arrange
Et jamais, ainsi, rien ne change
C'est ainsi
Que le capitaliste
N'entend et ne voit
Que ce qui l'arrange
Et jamais, ainsi, rien ne change
C'est ainsi
Que l'anarchiste
N'entend et ne voit
Que ce qui l'arrange
Et jamais, ainsi, rien ne change
Eux, moi, lui, toi, elles
N'entendent et ne voient
Que ce qui les arrange
Et jamais, ainsi, rien ne change
Nos cerveaux sont codés et programmés
Pour accepter, pour refuser, pour nier
Pour critiquer, pour trier, toutes les informations diffusées
Mais nous n'entendrons
Mais nous ne verrons
Que ce qui, à ces codages, correspond
A notre programmation neuronale
De notre système nerveux central
A ce qui renforce notre équilibre biologique
Pour éviter la déstabilisation psychologique
Tout le reste est une langue étrangère
Qui provoque notre hilarité mégère
Pas de mot de passe, rien à faire !
Cela ne rentre pas dans notre signifiant
Du balai, vilain garnement !
Toute idée est reçue
Toute idée est un préjugé
Sans aucune idée reçue
Pas le moindre préjugé
Et absolument, toute idée est reçue
A l'école, par les livres, par les autres, par la société
Toutes nos idées sont des préjugés
Le préjugé de l'odeur
Le préjugé du goût
Le préjugé du toucher
Le préjugé de l'idée
Qui est l'idée du préjugé
Sans aucun préjugé
D'odeur, de goût, de toucher, ou de l'idée
Nous aimerions tout, et tout le monde
Nous ferions l'amour à tout le monde
Plus aucune classe
Plus aucune race
Plus aucune trace
De la sérénité, sur toutes les faces
Là où plus rien ne se casse
C'est l'idée du tabou
Qui fait le tabou de l'idée
Comme le pénis
Qui n'est qu'un pénis
Comme le vagin
Qui n'est qu'un vagin
C'est l'idée que l'on s'en fait
Qui en irradie des effets
Toutes nos idées sont reçues
Comme un coup de poing dans la gueule
Toutes les idées sont reçues
Tous les jours, elles nous dégueulent !
Sans aucun préjugé
De goût, de toucher, ou d'odeur
Les hommes et les femmes
Auraient le sexe comme des fleurs
Toutes les stases sexuelles
Toutes les inhibitions sexuelles
Se transforment en des fantasmes
Cuirasses caractérielles qui en sont les miasmes
Riches ou pauvres, tout est refoulé
Par le préjugé du goût, de l'odeur, du toucher, de l'idée
L'odeur du préjugé
Le goût du préjugé
L'idée du préjugé
Sont l'antre de l'intellectualité
Sont l'antre de la pensée séparée
Dans notre société du séparé
Celui ou celle qui pensent comme nous
Sont une rivalité
Celui ou celle qui ne pensent pas comme nous
Sont une inimitié
Je vais encore nous horripiler
Moi, ce qui m'horripile, ce sont nos préjugés
Mes préjugés, vos préjugés, nos préjugés
La révolution véritable n'a aucun préjugé
L'anarchie véritable n'a aucun préjugé
Elles offrent leurs sexes à tous et toutes
Elles sont des idées sans aucune route
Tout préjugé est une idée reçue
Une idée reçue du préjugé
Ne pas aimer ou aimer
C'est toujours un préjugé
Toute l'humanité est engrammée
Là où tout est tarifé
Là où tout n'est pas gratuité
Comme dans la sexualité mondaine
Des préjugés, c'est la graine
L'amour, l'amitié, c'est de la haine
Partout, en tout, c'est de la relation humaine !
C'est la représentation de l'argent
Dans ce cas, que l'on aime !
Tous les préjugés nous sèment
Toutes les idées reçues nous aiment
Nos corps sont des idées reçues
Nos cerveaux sont des préjugés, toujours déçus !
L'insurrection des préjugés, des idées reçues
Ne viendra jamais
Tant qu'il y aura des préjugés
Tant qu'il y aura des idées reçues
Le sport du dopage
Dopage du sport
La prétention de l'art
Qui n'est que l'art de la prétention
L'exemple de la science
La science de l'exemple
C'est ainsi
Colossus et éniac, des années 1940
Premiers calculateurs ordinateurs géants
Machines de feu ( 1897-1984 ) Max Newman et feu ( 1912-1954 ) Alan Turing
Et autres pilotes dring dring
Sont à l'humanité, zopilotes, sur son ring
Les premiers ordinateurs géants
C'était même assez moche
En 2013, cela tient dans une poche
Même feu Alan Turing, son principal concepteur
Mathématicien, informaticien, fameux cryptologue à toute heure
N'aurait pu prévoir toutes ses possibilités
De plus, il fut condamné pour son homosexualité
Et avec une pomme au cyanure, il finit par se suicider
Après avoir accepté
Un traitement chimique pour le castrer
Tout finit par toujours nous échapper, de l'infiniment grand à l'infiniment petit
Comme le calculateur ordinateur, tout grand, puis tout petit
Tout être humain est changé par la technologie
Plus sûrement que par n'importe quelle religion ou idéologie
Pas besoin d'être ferré en physique ou en chimie
En histoire des sciences ou des technologies
Tout être humain est la vie de sa technologie
Dans ses veines circule sa chimie
L'être humain n'est plus, c'est déjà fini !
De sa science, de sa technologie
Qui sont en permanente expansion
La femme et l'homme, l'enfant, ne sont que les produits
Et ce, jusqu'à sa disparition
Certes
C'est un ignorant, un pauvre, qui le dit, qui l'écrit, qui le crie
Mais sachez cependant
Que de bien plus savants
Que lui, l'ont dit aussi !

Patrice Faubert ( 2013 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "


Inhibición de la acción
Espera en tensión
Reacción orgánica a la agresión
Es la sociedad en la cual vivimos
Dónde gustamos
Los y aquéllas que nos pegan
Los y aquéllas que nos desprecian
Los y aquéllas que nos humillan
Dados la escuela, a la oficina, a la fábrica, en la familia
Es como un juego de bolos
Es así
Que nos gustan a nuestros tiranos
Que nos gusta nuestro lunáticos
Nuestros profesores, nuestros padres, nuestros niños
Siempre el mismo voto
Siempre las mismas subestimaciones
Es así
Ya que, creen, que no lo haría
No nos gustaría
Es un mundo inversamente
Es el mundo del perversos
De estos hombres
Las mujeres raffolent
De estas mujeres
Con, los hombres retozan
Y los niños, de estas cabriolas
¡Tienen la mentalidad que se vuelve loca!
Al mismo título
Que la riqueza
Recibir golpes es una embriaguez
Quién se oculta detrás de los cristales
Es así
Que el izquierdista
No oye y no ve
Que lo que lo arregla
Y nunca, así, no cambia nada
Es así
Que el fascista
No oye y no ve
Que lo que lo arregla
Y nunca, así, no cambia nada
Es así
Que el capitalista
No oye y no ve
Que lo que lo arregla
Y nunca, así, no cambia nada
Es así
Que el anarquista
No oye y no ve
Que lo que lo arregla
Y nunca, así, no cambia nada
Ellos, mí, él, ti, ellas
No oyen y no ven
Que lo que los arregla
Y nunca, así, no cambia nada
Se programan nuestros cerebros se cifran y
Para aceptar, para negar, para negar
Para criticar, para clasificar, toda la información difundida
Pero no oiremos
Pero no veremos
Que lo que, a estas codificaciones, corresponde
A nuestra programación neuronal
De nuestro sistema nervioso central
A lo que refuerza nuestro equilibrio biológico
Para evitar la desestabilización psicológica
Todo el resto es una lengua extranjera
Quién causa nuestra hilaridad harpía
¡Pas de contraseña, nada a hacer!
Eso no vuelve a entrar en nuestro que significa
¡De la escoba, desagradable diablillo!
Se recibe toda idea
Toda idea es un prejuicio
Sin ningún prejuicio
Pas le menor prejuicio
Y absolutamente se recibe toda idea
A la escuela, por las libras, por otros, por la sociedad
Todas nuestras ideas son prejuicios
El prejuicio del olor
El prejuicio del gusto
El prejuicio del tacto
El prejuicio de la idea
Quién es la idea del prejuicio
Sin ningún prejuicio
Por olor, de gusto, de afectar, o de la idea
Nos gustaría todo, y todo el mundo
Haríamos el amor a todo el mundo
Más ninguna clase
Más ninguna raza
Más ningún rastro
De la serenidad, sobre todas las caras
Allí donde más no se rompe nada
Es la idea del tabú
Quién hace el tabú de la idea
Como el pene
Quién no es más que un pene
Como la vagina
Quién no es más que una vagina
Es la idea que se en realidad
Quién irradia de los efectos
Se reciben todas nuestras ideas
Como un puñetazo en la boca
Se reciben todas las ideas
¡Todos los días, nos vomitan!
Sin ningún prejuicio
Por gusto, de afectar, o de olor
Los hombres y las mujeres
Tendrían el sexo como flores
Los todos stases sexuales
Todas las inhibiciones sexuales
Se transforman en fantasmas
Blindajes caracteriales que son los miasmas
Ricos o pobres se rechaza todo
Por el prejuicio del gusto, el olor, el tacto, de la idea
El olor del prejuicio
El gusto del prejuicio
La idea del prejuicio
Son la cueva de la intelectualidad
Son la cueva del pensamiento separado
En nuestra sociedad del separado
Aquél o aquélla que piensa como nosotros
Son una rivalidad
Aquél o aquélla que no piensa como nosotros
Son una enemistad
Voy aún a horripilarnos
Mí, lo que me horripila, son nuestros prejuicios
Mis prejuicios, sus prejuicios, nuestros prejuicios
La revolución verdadera no tiene ningún prejuicio
La anarquía verdadera no tiene ningún prejuicio
Ofrecen sus sexos a todos y todas
Son ideas sin ninguna carretera
Todo prejuicio es un prejuicio
Un prejuicio del prejuicio
No gustar o gustar
Es un prejuicio todavía
Toda la humanidad engrammée
Allí donde se tarifa todo
Allí donde todo no es gratuidad
Como en la sexualidad mundana
Prejuicios, es la semilla
El amor, la amistad, es odio
¡Por todas partes, en todo, es de la relación humana!
Es la representación del dinero
¡En ese caso, que se gusta!
Todos los prejuicios nos siiembran
Todos los prejuicios les nos gusta
Nuestros cuerpos son prejuicios
¡Nuestros cerebros son prejuicios, siempre decepcionados!
La insurrección de los prejuicios, de los prejuicios
No vendrá nunca
Mientras habrá prejuicios
Mientras habrá prejuicios
El deporte del dopaje
Dopaje del deporte
La pretensión del arte
Quién no es más que el arte de la pretensión
El ejemplo de la ciencia
La ciencia del ejemplo
Es así
Colossus y éniac, de los años cuarenta
Primeros calculadores ordenadores gigantes
Máquinas de fuego (1897-1984) Max Newman y fuego (1912-1954) Alan Turing
Y otros pilotos dring dring
Están a la humanidad, zopilotes, sobre su cuadrilátero
Los primeros ordenadores gigantes
Era incluso bastante feo
En 2013, eso tiene en un bolsillo
Incluso fuego Alan Turing, su principal diseñador
Matemático, informático, famoso cryptologue en cualquier momento
No habría podido prever todas sus posibilidades
Además, se condenó para su homosexualidad
Y con una manzana al cianuro, termina por suicidarse
Después de haber aceptado
Un tratamiento químico para castrarlo
Todo termina por nosotros escaparse siempre, del infinitamente grande al infinitamente pequeño
Como el calculador grande ordenador, muy, luego muy pequeño
Todo ser humano es cambiado por la tecnología
Más seguramente que por cualquier religión o ideología
No necesidad de ser férreo en la física o en química
En historia de las ciencias o tecnologías
Todo ser humano es la vida de su tecnología
En sus venas circula su química
¡El ser humano no es ya, ya se termina!
Por su ciencia, de su tecnología
Quiénes están en permanente extensión
La mujer y el hombre, el niño, no son más que los productos
Y ello, hasta su desaparición
Ciertamente
Es un ignorante, un pobre, que el dicho, que lo escribe, que lo grita
Pero sabe sin embargo
Que de bien más sabios
¡Que, se lo dijeron también!

Patrice Faubert (2013) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway.fr”

agrega un comentario