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Paraphysique du pamphlet
Por Patrice Faubert - Sunday, Feb. 05, 2017 at 5:49 AM

Nouvelles de l'im-monde...

" Les hommes ont autant de prise sur leur destin qu'un cochon pendu par les pieds dans un camion frigorifique roulant vers les abattoirs de Chicago. "

Dwight Macdonald (1906-1982) " Une tragédie sans héros " (1938-1957) Editions de l'encyclopédie des nuisances

L'église, de par son droit canon
Parler de la pédophilie, interdiction
Pourtant en vogue, dès sa fondation
Et puis, depuis 1929, grâce à feu ( 1883-1945) Benito Mussolini
Le Vatican est un Etat, qui des lois, fait fi
Qu'ainsi, Mussolini, de son soutien, remercie
Le pape et son droit canon
Le dénoncer, et c'est l'excommunication
Tout doit rester secret
Ne parler que des bienfaits
La pédophilie des prêtres
L'homosexualité des prêtres
Les crimes sexuels des évêques
Et le pape son garant, ce sale mec !
Les Dolan, Murphy, Solano, Maciel
Ce feu (1920-2008) Marcial Maciel
Champion des crimes sexuels
La légion du Christ perverti
Fascistes, capitalistes, nazis
Toujours le grand inquisiteur
Du catholicisme qui répand la terreur
Jamais vraiment inquiété, jamais dans l'erreur
Ou alors, à la toute dernière heure !
Hélas pour l'église, pour elle
L'église a un sexe, un estomac
Elle aime la jeunesse et les demoiselles
Il faut faire pipi, il faut faire caca
Lutter contre les pulsions sexuelles
Pour toutes les religions, pas seulement la catholique
Le sexe c'est mal, c'est contre la foi
Sauf en soutane, où rien n'était pathologique
Tout le reste était délire sexologique
Certes
Tout irait mieux
Si son sexe, l'on pouvait moucher
Aussi souvent que son nez
Mais sans violer qui que ce soit
Quand le respect de l'autre est roi
Les sexualités ont leur heure
Qui ne font pas toujours peur
Selon les époques et les coutumes
L'histoire en dissémine l'écume
Comme juifs, musulmans, chrétiens
Qui un temps, eurent des intérêts communs
Les conflits étaient surtout tribaux
Et pouvaient se régler, en payant un impôt
Mais au fil des siècles qui passaient
Les chrétiens, par la force, s'imposaient
Les juifs et les musulmans, ils les chassaient
Les juifs et les musulmans, ils les tuaient
Par exemple, contre feu (1451-1504) Isabelle 1re de Castille, si hiératique
Cette Isabelle la catholique
Juifs et musulmans s'associaient
Tout ce qui n'était pas chrétien étant hérétique
Et l'inquisition, et l'intolérance, s'imposaient
Et ce sont les musulmans qui accueillaient les juifs
Que les chrétiens persécutaient
De ce temps, les chrétiens furent les fanatiques
Avec l'alibi de la parole évangélique
Les temps ont changé
En manifeste ou en subtilité
Les alliés d'hier
Deviennent les ennemis d'aujourd'hui
Le polythéisme des arabes, c'est fini
Le dieu unique, c'est le père, c'est donc la guerre
Torah, Bible, Coran, des conflits infinis
Qui sont devenus politiques
Qui sont devenus géographiques
Qui avaient toujours été politiques
Qui avaient toujours été géographiques
Présentement
Juifs et musulmans se détestent
Chrétiens et juifs se tolèrent
Vraiment, les religions déblatèrent
Oui, les religions, il faut s'en défaire !
L'art aussi
Est contre-révolutionnaire
Il est conservateur, il est réactionnaire
Toutes les bourgeoisies, il justifie
La preuve, c'est l'absence de vie !
Tous les intellectuels
Toutes les intellectuelles
Sont les aliments de la réaction
Qui n'ont pour seule fonction
Que d'empêcher une vraie révolution
De tout cela, il faut se libérer
Les bourgeoisies aiment nous aliéner
Au pilori
Les artistes, les intellectuels, les patries
Les bureaucrates, les technocrates, les partis
Car c'est cela l'anarchie
Sans aucun de ces pipis
Plus aucune célébrité
Plus rien de spectacularisé
Personne ne représentant personne
Plus aucune heure qui sonne
Tout individu mâle ou femelle
Doit devenir ingouvernable, inimitable
A toute autorité chercher querelle
Pour qu'enfin la vie devienne belle !
Il en faudrait des guerres civiles
Pour que l'humanité ne soit plus servile
Mais sans cesse, cela recommence
La chorée de Huntington mène la danse
Tout cela sent le rance
Déjà, ne plus voter
Déjà, ne plus admirer
Déjà, ne plus obéir
Finalement
Le stalinisme a triomphé
La pensée critique est atrophiée
La critique sociale, dans un placard, rangée
Tout le monde est complice
Chacun et chacune en est le vice
Tout est devenu répugnant
Tous les gouvernements en sont le chant
L'être humain est ainsi
A l'être humain, son propre ennemi
Divisé, fragmenté, représenté, figé, séparé
Pourtant
Il n'y a pas d'inférieurs
Pourtant
Il n'y a pas de supérieurs
Que des crétins et des crétines
Qui gâchent leurs vies, heure après heure
Nos idées sont de la même cantine
Nos soumissions sont toutes nos peurs
Moi, toi, eux, elles, lui, c'est une identique pâleur
Il faut un nouveau pacte
Pour la grève de l'acte
En faire le moins possible
Que tout pouvoir soit notre cible
Ah ! pouvoir donner des claques
A ces menteurs de la pensée radiotélévisée
Les Onfray, Glucksmann, Finkielkraut, Bernard-Henri Lévy
Fausse intellectualité, mais authentique imbécillité
La référence des bourgeoisies
Qui colportent tous leurs dégueulis
De dire des inepties, ils ont le permis
Des gens les croient, et cela fait des petits
Ah ! une balle, une rafale
De la médiocrité, tous ces morfales
Les rencontrer
Pour à leurs visages, cracher
Ah ! pouvoir leur donner des claques
Toute cette vermine, immonde cloaque
Cette bande des quatre
Pour falsifier, tronquer, récupérer, opiniâtres
Pour le bonheur de l'humanité
Eux et leurs semblables, il faudra s'en débarrasser
Même pas la peine de les tuer
Il suffira de ne plus les écouter
Eux et leurs semblables, les ignorer !
Vraiment
Ce monde pue la haine et la mort
Vraiment
Ce monde a tous les torts
Quand on sait
Que chaque année en France, il naît
850.000 bébés, à l'heure, arrivés
Et dans le monde, seize millions de prématurés
C'est le tabac, le stress, les transports en commun
Dans le ventre, et déjà pas bien !
Sans en avoir l'air
La femme et la jument, sont jumelles placentaires
Pamphlet paraphysique
Humour noir paraphysique
Se débarrasser de sa monstruosité
En l'écrivant, en la distribuant
Un portrait à la Dorian Gray
Qui a vraiment des effets
Pour que les autres, il vienne hanter
Une façon de le jeter, en le tuant
Il ne vous appartient plus
Il est sorti de votre cul
Après, vous le voyez de loin
Pour vous, il n'est plus rien !
De haut, tout regarder
Comme feu (1754-1785) Pilâtre de Rozier
Le premier homme de l'espace, en 1783, de l'air, fut le héros
Rien de mal, rien de beau
Sur Terre
Chacun et chacune, tour à tour
Gentil et méchant, héros et salaud
Et de ces coups, la vie, qui nous bourre
De mes écritures qui font un four

Patrice Faubert (2013) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr “


“Los hombres tienen tanta toma sobre su destino que un cerdo colgado por los pies en un camión frigorífico móvil hacia los mataderos de Chicago. ”

Dwight Macdonald (1906-1982) “una tragedia sin héroe” (1938-1957) Ediciones de la enciclopedia de las molestias

La iglesia, debido su canónico
Hablar de la pederastia, prohibición
Con todo en fama, a partir de su fundación
Y luego, desde 1929, gracias a fuego (1883-1945) Benito Mussolini
El Vaticano es un Estado, que leyes, hacen FI
Que así, Mussolini, de su apoyo, agradece
El papa y su canónico
Denunciarlo, y es la excomunión
Seguirlo siendo todo debe secreto
No hablar más que de los beneficios
La pederastia de los sacerdotes
La homosexualidad de los sacerdotes
Los crímenes sexuales de los obispos
¡Y el papa su garante, esta sucia MET!
Les Dolan, Murphy, Solano, Maciel
Este fuego (1920-2008) Marcial Maciel
Campeón de los crímenes sexuales
La legión del Cristo pervertido
Fascistas, capitalistas, nazis
Siempre el gran inquisiteur
Del catolicismo que extiende el terror
Nunca de verdad preocupado, nunca en el error
¡O entonces, muy a la última hora!
Desgraciadamente para la iglesia, para ella
La iglesia tiene un sexo, un estómago
Le gustan a juventud y a las señoritas
Es necesario hacer pipí, es necesario hacer caca
Luchar contra los impulsos sexuales
Para todas las religiones, no solamente el católico
El sexo está mal, es contra la fe
Excepto en sotana, donde nada no era patológico
Todo el resto era delirio sexológico
Ciertamente
Todo iría mejor
Si su sexo, se podía sonar
Tan a menudo como su nariz
Pero sin violar quienquiera
Cuando el respeto de otro es rey
Las sexualidades tienen su hora
Quiénes no dan siempre miedo
Según los tiempos y los hábitos
La historia difunde la espuma
Como judíos, musulmanes, cristianos
Quiénes un tiempo, tuvieron intereses comunes
Los conflictos eran sobre todo tribales
Y podían regularse, pagando un impuesto
Pero al compás de los siglos que pasaban
Los cristianos, por la fuerza, se imponían
Los judíos y los musulmanes, los expulsaban
Los judíos y los musulmanes, los mataban
Por ejemplo, contra fuego (1451-1504) Isabelle 1re de Castilla, tan hierático
Esta Isabelle el católico
Judíos y musulmanes se asociaban
Todo lo que no era cristiano siendo herético
Y la investigación, y la intolerancia, se imponían
Y son los musulmanes que acogían a los judíos
Que los cristianos perseguían
Por este tiempo, los cristianos fueron los fanáticos
Con la coartada de la palabra evangélica
El tiempo cambió
En manifiesto o en sutileza
Los aliados de ayer
Pasan a ser los enemigos de hoy
Se terminan el politeísmo de los árabes esto
El único dios, es el padre, es pues la guerra
Torah, Biblia, Corán, de los conflictos infinitos
Quiénes se volvieron políticos
Quiénes se volvieron geográficos
Quién todavía había sido política
Quién todavía había sido geográfica
Actualmente
Judíos y musulmanes se odian
Cristianos y judíos se toleran
De verdad, las religiones despotrican
¡Sí, las religiones, es necesario deshacerse!
El arte también
Este contrarevolucionario
Es conservador, es reaccionario
Todas las burguesías, justifica
¡La prueba, es la ausencia de vida!
Todos los intelectuales
Las todo intelectuales
Son los alimentos de la reacción
Quiénes no tienen por sola función
Que de impedir una verdadera revolución
Por todo eso, es necesario liberarse
A las burguesías les gusta enajenarnos
A la picota
Los artistas, los intelectuales, las patrias
Los burócratas, los tecnócratas, los partidos
Ya que es eso la anarquía
Sin ningunos de estos pipíes
Más ninguna celebridad
Más nada de spectacularisé
Nadie que no representa nadie
Más ninguna hora que suena
Todo individuo masculino o femenino
Debe convertirse en ingobernable, inimitable
A toda autoridad buscar pelea
¡Para que por fin la vida se vuelve bonita!
Sería necesario guerras civiles
Para que la humanidad no sea ya servil
Pero sin cesar, eso se reinicia
El chorée de Huntington lleva la danza
Todo eso siente el rancio
Ya, ya no votar
Ya, ya no admirar
Ya, ya no obedecer
Finalmente
El estalinismo triunfó
Se atrofía el pensamiento crítico
La crítica social, en un armario, guardada
Todo el mundo es cómplice
Cada uno y cada una es el defecto
Todo pasó a ser repugnando
Todos los Gobiernos son el canto
El ser humano es así
Al ser humano, su propio enemigo
Dividido, dividido, representado, solidificado, separado
Con todo
No hay inferiores
Con todo
No hay superiores
Que cretinos y cretinos
Quiénes pierden sus vidas, hora después de hora
Nuestras ideas están de la misma cantina
Nuestras ofertas son todas nuestros miedos
Mí, ti, ellos, ellas, le es una idéntica palidez
Es necesario un nuevo pacto
Para la huelga del acto
Hacer lo menos posible
Que todo poder sea nuestro objetivo
¡Oh! poder dar guantadas
A estos mentirosos del pensamiento radiotelevisado
Les Onfray, Glucksmann, Finkielkraut, Bernard-Henri Lévy
Falsa intelectualidad, pero auténtica imbecilidad
La referencia de las burguesías
Quiénes divulgan todos los suyo dégueulis
Decir inepcias, tienen el permiso
Gente los cree, y eso hace pequeños
¡Oh! una bola, una ráfaga
De la mediocridad, todo este morfales
Encontrarlos
Para a sus caras, escupir
¡Oh! poder darles guantadas
Todos estos bichos, inmunda cloaca
Esta banda del cuatro
Para falsificar, truncar, recuperarse, obstinados
Para la felicidad de la humanidad
Ellos y su similares, será necesario quitarse
Incluso no hay el dolor de matarlos
Bastará ya no con escucharlos
¡Ellos y su similares, ignorarlos!
De verdad
Este mundo apesta el odio y la muerte
De verdad
Este mundo tiene todas las culpas
Cuando se sabe
Que cada año en Francia, nace
850.000 bebés, a la hora, llegados
Y en el mundo, dieciséis millones de prematuros
Es el tabaco, la tensión, los transportes públicos
¡En el vientre, y ya no bien!
Sin tener el aire
La mujer y la yegua, son gemela placentarias
Sátira virulenta paraphysique
Humor negro paraphysique
Deshacerse de su monstruosidad
Escribiéndolo, el distribuyendo
Un retrato a Dorian Gray
Quién tiene de verdad de los efectos
Para que los otros, viene a atormentar
Una manera de lanzarlo, el matando
Ustedes no pertenece ya
Salió de su parte inferior
Después de, lo ve con mucho
¡Para ustedes, no es ya nada!
De cumbre, observarlo todo
Como fuego (1754-1785) Pilâtre de Rozier
El primer hombre del espacio, en 1783, del aire, fue el héroe
Nada de mal, nada de belleza
Sobre Tierra
Cada uno y cada una, a su vez
Agradable y malévolo, héroe y cabrón
Y de estos golpes, la vida, que nosotros borra
De mis escrituras que hacen un horno

Patrice Faubert (2013) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway.fr “

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