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Thaumaturgie mondialiste
Por Patrice Faubert - Tuesday, Mar. 14, 2017 at 4:37 AM

Mondialisme dogmatique...

Certes, je suis un paraphysique
Certes, je suis un nonsensique
Comme à Reykjavik
Cela devient pathologique
La surveillance policière
Est devenue une surveillance populaire
Où via des caméras, tout le monde
Peut se voir à la télévision
Cela devient même une source d'information
Où tout le monde
Observe sa voisine, son voisin
Et presque tout le monde
Trouve cela bien !
A l'origine, une chaîne télévision, de la police
De la population, fait les délices
Même pour draguer, y jouer un rôle
Se parler, y faire sa publicité
Puisque tout ou presque est filmé
Là où la liberté s'immole
Feu (1829-1884) Alfred Brehm
Un des pères de l'éthologie
Jamais, ne l'aurait imaginé
Même dans son anthropocentrisme décalé !
L'être humain
Sait produire des armes chimiques
Sait produire des armes bactériologiques
Sait produire l'arme nucléaire
Pour détruire l'être humain
Le cafard
Lui, ne produit rien de tout cela
Mais du temps, n'est pas avare
Sur la Terre depuis 300 à 400 millions d'années
Pour la présence, il est notre aîné
Et à notre échelle de taille, en vitesse de course
Avec 87 km/heure, il nous surpasserait
Et de son aspect, il nous ficherait la frousse !
L'être humain est bien petit
De se croire méchant ou gentil
De l'évolution, il n'est que le produit
Nos codes comportementaux en font partie
Dans le train, une femme vous dit
Voulez-vous des bonbons ?
Vous lui répondez que non
A cause de vos dents, c'est dit
Le code est cassé
Si vous espériez la tirlipoter
Il fallait répondre oui
Et ainsi peut-être entrer dans son intimité
Et petit à petit, pouvoir s'infiltrer
Tous les codes sont aliénés
Assujettis à toutes sortes de préjugés
Ils fabriquent des rencontres avortées
Car tout code social est une ambiguïté
Tout code social est une hypocrisie sociale
Cela produit du conformisme
Dont chaque code est un catéchisme
Dans le train ou ailleurs
Quand le sexe est en chaleur
La bonne question serait
Voulez-vous faire ma connaissance ?
Ce qui ne serait pas de l'indécence
Au contraire, de la grande pudeur
Et tout de suite, au fait !
Mais les riches avec les riches
Mais les pauvres avec les pauvres
Mais les ceci avec les ceci
Mais les cela avec les cela
Aucun code social n'est jamais gratuit
De quelque chose, tout est le produit
Nous vendons, nous achetons, nous échangeons
Codes sociaux dans lesquels nous nous perdons
De toutes nos vies possibles
Nous ratons le coche
En bicyclette ou en Porsche
La vie, jamais, n'a de possible
C'est pourquoi l'art
C'est pourquoi la croyance
C'est pourquoi la science
C'est pourquoi le cinéma
C'est pourquoi l'idéologie
C'est pourquoi la poésie
C'est pourquoi la télévision
C'est pourquoi la religion
C'est le pourquoi du pourquoi
Il faut bien tuer l'ennui
Avec ou sans vernis
Là où n'est pas la vie
Là où sera demain, une planète sans vie
La vie se désespère de nous
Nous lui avons tordu le cou
Nos mots la rétrécissent
Nos mots l'avilissent
Toutes nos actions la trahissent
Nos discours logiques la tissent
Pour la vie, encore un effort, ho hisse !
50 millions de déchets électroniques
Dans le monde, chaque année, l'impact écologique
En décharge, incinérés, ou en Afrique
A la recherche des métaux rares
Cette récupération devient un art
Nos ordinateurs, nos télévisions
Nous téléphonons, nous polluons
25 kg de déchets électroménagers
Par personne, en France, chaque année, c'est dément !
Oui quoi que l'on fasse
Et même à cela, la grimace
De gauche ou de droite
Du centre, de rien, et aussi de Mars
La technologie est une garce
Jupe plissée et porte-jarretelles
Elle sait s'y prendre, elle !
Avec elle, l'innocence est une farce
Personne ne peut-être ailleurs
Du système, nous sommes la chaleur !
La technologie de l'immatérialité est un leurre
Oui quoi que l'on fasse
De gauche ou de droite
Du centre, de rien, et aussi de Mars
La technologie est une garce
L'innocence est une farce
Comme le concentré de tomate
Cabanon, cela fait français, et nous mate
Mais c'est cent pour cent chinois
Comme deux asperges sur trois
C'est encore bien chinois
Est-ce ma faute à moi
Si les industriels n'ont aucune foi
Le fric, le profit, voilà leur seule loi !
Nos supermarchés sont chinois
Surgelés, plats préparés, le mensonge est roi
L'on se fiche de nous, de toi, de moi
Du renard, du rat, et voilà de l'agneau
La mondialisation c'est très rigolo !
Inde, Chine, Turquie
De l'industrie agroalimentaire, ô thaumaturgie
Nous ne prêchons
Qu'à des convaincus
Les staliniens
N'entendent et ne comprennent que le stalinien
Les fascistes
N'entendent et ne comprennent que le fasciste
Les gauchistes
N'entendent et ne comprennent que le gauchiste
Les capitalistes
N'entendent et ne comprennent que le capitaliste
Les ceci
N'entendent et ne comprennent que le ceci
Les cela
N'entendent et ne comprennent que le cela
Chaque langage de la séparation
Est la séparation du langage
Chaque religion est une langue
Chaque idéologie est une langue
Chaque croyance est une langue
Avec des sites informatiques
Mais cela n'est que de l'électronique
Le piège d'un petit clic
Insultes et louanges électroniques
Du vent, pure illusioCertes, je suis un paraphysique
Certes, je suis un nonsensique
Comme à Reykjavik
Cela devient pathologique
La surveillance policière
Est devenue une surveillance populaire
Où via des caméras, tout le monde
Peut se voir à la télévision
Cela devient même une source d'information
Où tout le monde
Observe sa voisine, son voisin
Et presque tout le monde
Trouve cela bien !
A l'origine, une chaîne télévision, de la police
De la population, fait les délices
Même pour draguer, y jouer un rôle
Se parler, y faire sa publicité
Puisque tout ou presque est filmé
Là où la liberté s'immole
Feu (1829-1884) Alfred Brehm
Un des pères de l'éthologie
Jamais, ne l'aurait imaginé
Même dans son anthropocentrisme décalé !
L'être humain
Sait produire des armes chimiques
Sait produire des armes bactériologiques
Sait produire l'arme nucléaire
Pour détruire l'être humain
Le cafard
Lui, ne produit rien de tout cela
Mais du temps, n'est pas avare
Sur la Terre depuis 300 à 400 millions d'années
Pour la présence, il est notre aîné
Et à notre échelle de taille, en vitesse de course
Avec 87 km/heure, il nous surpasserait
Et de son aspect, il nous ficherait la frousse !
L'être humain est bien petit
De se croire méchant ou gentil
De l'évolution, il n'est que le produit
Nos codes comportementaux en font partie
Dans le train, une femme vous dit
Voulez-vous des bonbons ?
Vous lui répondez que non
A cause de vos dents, c'est dit
Le code est cassé
Si vous espériez la tirlipoter
Il fallait répondre oui
Et ainsi peut-être entrer dans son intimité
Et petit à petit, pouvoir s'infiltrer
Tous les codes sont aliénés
Assujettis à toutes sortes de préjugés
Ils fabriquent des rencontres avortées
Car tout code social est une ambiguïté
Tout code social est une hypocrisie sociale
Cela produit du conformisme
Dont chaque code est un catéchisme
Dans le train ou ailleurs
Quand le sexe est en chaleur
La bonne question serait
Voulez-vous faire ma connaissance ?
Ce qui ne serait pas de l'indécence
Au contraire, de la grande pudeur
Et tout de suite, au fait !
Mais les riches avec les riches
Mais les pauvres avec les pauvres
Mais les ceci avec les ceci
Mais les cela avec les cela
Aucun code social n'est jamais gratuit
De quelque chose, tout est le produit
Nous vendons, nous achetons, nous échangeons
Codes sociaux dans lesquels nous nous perdons
De toutes nos vies possibles
Nous ratons le coche
En bicyclette ou en Porsche
La vie, jamais, n'a de possible
C'est pourquoi l'art
C'est pourquoi la croyance
C'est pourquoi la science
C'est pourquoi le cinéma
C'est pourquoi l'idéologie
C'est pourquoi la poésie
C'est pourquoi la télévision
C'est pourquoi la religion
C'est le pourquoi du pourquoi
Il faut bien tuer l'ennui
Avec ou sans vernis
Là où n'est pas la vie
Là où sera demain, une planète sans vie
La vie se désespère de nous
Nous lui avons tordu le cou
Nos mots la rétrécissent
Nos mots l'avilissent
Toutes nos actions la trahissent
Nos discours logiques la tissent
Pour la vie, encore un effort, ho hisse !
50 millions de déchets électroniques
Dans le monde, chaque année, l'impact écologique
En décharge, incinérés, ou en Afrique
A la recherche des métaux rares
Cette récupération devient un art
Nos ordinateurs, nos télévisions
Nous téléphonons, nous polluons
25 kg de déchets électroménagers
Par personne, en France, chaque année, c'est dément !
Oui quoi que l'on fasse
Et même à cela, la grimace
De gauche ou de droite
Du centre, de rien, et aussi de Mars
La technologie est une garce
Jupe plissée et porte-jarretelles
Elle sait s'y prendre, elle !
Avec elle, l'innocence est une farce
Personne ne peut-être ailleurs
Du système, nous sommes la chaleur !
La technologie de l'immatérialité est un leurre
Oui quoi que l'on fasse
De gauche ou de droite
Du centre, de rien, et aussi de Mars
La technologie est une garce
L'innocence est une farce
Comme le concentré de tomate
Cabanon, cela fait français, et nous mate
Mais c'est cent pour cent chinois
Comme deux asperges sur trois
C'est encore bien chinois
Est-ce ma faute à moi
Si les industriels n'ont aucune foi
Le fric, le profit, voilà leur seule loi !
Nos supermarchés sont chinois
Surgelés, plats préparés, le mensonge est roi
L'on se fiche de nous, de toi, de moi
Du renard, du rat, et voilà de l'agneau
La mondialisation c'est très rigolo !
Inde, Chine, Turquie
De l'industrie agroalimentaire, ô thaumaturgie
Nous ne prêchons
Qu'à des convaincus
Les staliniens
N'entendent et ne comprennent que le stalinien
Les fascistes
N'entendent et ne comprennent que le fasciste
Les gauchistes
N'entendent et ne comprennent que le gauchiste
Les capitalistes
N'entendent et ne comprennent que le capitaliste
Les ceci
N'entendent et ne comprennent que le ceci
Les cela
N'entendent et ne comprennent que le cela
Chaque langage de la séparation
Est la séparation du langage
Chaque religion est une langue
Chaque idéologie est une langue
Chaque croyance est une langue
Avec des sites informatiques
Mais cela n'est que de l'électronique
Le piège d'un petit clic
Insultes et louanges électroniques
Du vent, pure illusion égocentrique
Certes, je suis un paraphysique
Certes, je suis un nonsensique !

Patrice Faubert ( 2013 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ Pat dit l'invité sur " hiway.fr "


Ciertamente, soy un paraphysique
Ciertamente, soy un nonsensique
Como en Reikiavik
Eso se vuelve patológico
La vigilancia policial
Pasó a ser una vigilancia popular
Dónde mediante cámaras, todo el mundo
Puede verse a la televisión
Eso se convierte en una fuente incluso de información
Dónde todo el mundo
Observa su vecino, su vecino
Y casi todo el mundo
¡Encuentra bien eso!
Al origen, una cadena televisión, de la policía
De la población, hace las delicias
Incluso para dragar, allí desempeñar un papel
Hablarse, allí hacer su publicidad
Puesto que se rueda todo o casi
Allí donde la libertad se inmola
Fuego (1829-1884) Alfred Brehm
Uno de los padres de la etología
Nunca, no se lo habría imaginado
¡Incluso en su anthropocentrisme desplazado!
El ser humano
Sabe producir armas químicas
Sabe producir armas bacteriológicas
Sabe producir el arma nuclear
Para destruir el ser humano
La cucaracha
, No le produce nada de todo eso
Pero del tiempo, no es avaro
Sobre la Tierra desde 300 a 400 millones de años
Para la presencia, es nuestro mayor
Y a nuestra escala de importancia, en velocidad de curso
Con 87 km/heure, nos excedería
¡Y de su aspecto, nos fijaría el canguelo!
El ser humano es bien pequeño
Creerse malévolo o agradable
De la evolución, no es más que el producto
Nuestros códigos comportamentales forman parte
En el tren, una mujer le dice
¿Quiere caramelos?
Le responde que no
Debido a sus dientes se dice esto
El código es roto
Si espere el tirlipoter
Era necesario responder sí
Y así quizá entrar en su intimidad
Y poco a poco, poder infiltrarse
Se enajenan todos los códigos
Sometidos a toda clase de prejuicios
Fabrican encuentros abortados
Ya que todo código social es una ambigüedad
Todo código social es una hipocresía social
Eso produce el conformismo
Que cada código es un catecismo
En el tren o a otra parte
Cuando el sexo está en calor
La buena cuestión sería
¿Quiere hacer mi conocimiento?
Lo que no estaría de la indecencia
Al contrario, del gran pudor
¡E inmediatamente, al hecho!
Pero el ricos con los ricos
Pero los pobres con los pobres
Pero los esto con esto
Pero los eso con eso
Ningún código social es nunca gratuito
Por algo, todo es el producto
Vendemos, compramos, nosotros intercambiamos
Códigos sociales en los cuales nos perdemos
De todas nuestras vidas posibles
Nosotros ratoncillos lo hacen muescas en
En bicicleta o en Porsche
La vida, nunca, no tiene posible
Esta es la razón por la que el arte
Esta es la razón por la que la creencia
Esta es la razón por la que la ciencia
Esta es la razón por la que el cine
Esta es la razón por la que la ideología
Esta es la razón por la que la poesía
Esta es la razón por la que la televisión
Esta es la razón por la que la religión
Es el porqué el porqué
Es necesario matar bien el problema
Con o sin barniz
Allí donde no es la vida
Allí donde será mañana, un planeta sin vida
La vida se desespera nosotros
Le torcimos el cuello
Nuestras palabras lo estrechan
Nuestras palabras lo degradan
Todas nuestras acciones lo traicionan
Nuestros discursos lógicos lo tejen
¡Para la vida, aún un esfuerzo, Ho alza!
50 millones de residuos electrónicos
En el mundo, cada año, el impacto ecológico
En descarga, incinerados, o en África
En busca de los metales raros
Esta recuperación se convierte en un arte
Nuestros ordenadores, nuestras televisiones
Llamamos por teléfono, contaminamos
25 kg de residuos electrodomésticos
¡Por persona, en Francia, cada año, es lunático!
Sí que se haga
E incluso a eso, la mueca
Izquierda o derecha
Del centro, de nada, y también de Marzo
La tecnología es una guarra
Falda plisada y liguero
¡Sabe tomarse, ella!
Con ella, la inocencia es una broma
Nadie quizá a otra parte
¡Del sistema, somos el calor!
La tecnología de la inmaterialidad es un señuelo
Sí que se haga
Izquierda o derecha
Del centro, de nada, y también de Marzo
La tecnología es una guarra
La inocencia es una broma
Como el concentrado de tomate
Cabañita, eso hace francés, y nos sometieron
Pero es cientos para - ciento chinos
Como dos de cada tres espárragos
Es aún bien chino
Es mi falta mi
Si los industriales no tienen ninguna fe
¡La pasta, el beneficio, he aquí su sola ley!
Nuestros supermercados son chinos
Congelados, planos preparados, la mentira es rey
Se se fija nosotros, ti, mi
Del zorro, de la rata, y aquí del cordero
¡La universalización es muy cachondo!
La India, China, Turquía
La industria agroalimentaria, ô taumaturgia
No predicamos
Que a convencidos
Los estalinistas
No oyen y no incluyen que el estalinista
Los fascistas
No oyen y no incluyen que el fascista
Los izquierdistas
No oyen y no incluyen que el izquierdista
Los capitalistas
No oyen y no incluyen que el capitalista
Los esto
No oyen y no incluyen que esto
Los eso
No oyen y no incluyen que eso
Cada lengua de la separación
Es la separación de la lengua
Cada religión es una lengua
Cada ideología es una lengua
Cada creencia es una lengua
Con sitios informáticos
Pero sólo de la electrónica
La trampa de un pequeño chasquido
Insultos y alabanzas electrónicos
Del viento, puro illusioCertes, soy un paraphysique
Ciertamente, soy un nonsensique
Como en Reikiavik
Eso se vuelve patológico
La vigilancia policial
Pasó a ser una vigilancia popular
Dónde mediante cámaras, todo el mundo
Puede verse a la televisión
Eso se convierte en una fuente incluso de información
Dónde todo el mundo
Observa su vecino, su vecino
Y casi todo el mundo
¡Encuentra bien eso!
Al origen, una cadena televisión, de la policía
De la población, hace las delicias
Incluso para dragar, allí desempeñar un papel
Hablarse, allí hacer su publicidad
Puesto que se rueda todo o casi
Allí donde la libertad se inmola
Fuego (1829-1884) Alfred Brehm
Uno de los padres de la etología
Nunca, no se lo habría imaginado
¡Incluso en su anthropocentrisme desplazado!
El ser humano
Sabe producir armas químicas
Sabe producir armas bacteriológicas
Sabe producir el arma nuclear
Para destruir el ser humano
La cucaracha
, No le produce nada de todo eso
Pero del tiempo, no es avaro
Sobre la Tierra desde 300 a 400 millones de años
Para la presencia, es nuestro mayor
Y a nuestra escala de importancia, en velocidad de curso
Con 87 km/heure, nos excedería
¡Y de su aspecto, nos fijaría el canguelo!
El ser humano es bien pequeño
Creerse malévolo o agradable
De la evolución, no es más que el producto
Nuestros códigos comportamentales forman parte
En el tren, una mujer le dice
¿Quiere caramelos?
Le responde que no
Debido a sus dientes se dice esto
El código es roto
Si espere el tirlipoter
Era necesario responder sí
Y así quizá entrar en su intimidad
Y poco a poco, poder infiltrarse
Se enajenan todos los códigos
Sometidos a toda clase de prejuicios
Fabrican encuentros abortados
Ya que todo código social es una ambigüedad
Todo código social es una hipocresía social
Eso produce el conformismo
Que cada código es un catecismo
En el tren o a otra parte
Cuando el sexo está en calor
La buena cuestión sería
¿Quiere hacer mi conocimiento?
Lo que no estaría de la indecencia
Al contrario, del gran pudor
¡E inmediatamente, al hecho!
Pero el ricos con los ricos
Pero los pobres con los pobres
Pero los esto con esto
Pero los eso con eso
Ningún código social es nunca gratuito
Por algo, todo es el producto
Vendemos, compramos, nosotros intercambiamos
Códigos sociales en los cuales nos perdemos
De todas nuestras vidas posibles
Nosotros ratoncillos lo hacen muescas en
En bicicleta o en Porsche
La vida, nunca, no tiene posible
Esta es la razón por la que el arte
Esta es la razón por la que la creencia
Esta es la razón por la que la ciencia
Esta es la razón por la que el cine
Esta es la razón por la que la ideología
Esta es la razón por la que la poesía
Esta es la razón por la que la televisión
Esta es la razón por la que la religión
Es el porqué el porqué
Es necesario matar bien el problema
Con o sin barniz
Allí donde no es la vida
Allí donde será mañana, un planeta sin vida
La vida se desespera nosotros
Le torcimos el cuello
Nuestras palabras lo estrechan
Nuestras palabras lo degradan
Todas nuestras acciones lo traicionan
Nuestros discursos lógicos lo tejen
¡Para la vida, aún un esfuerzo, Ho alza!
50 millones de residuos electrónicos
En el mundo, cada año, el impacto ecológico
En descarga, incinerados, o en África
En busca de los metales raros
Esta recuperación se convierte en un arte
Nuestros ordenadores, nuestras televisiones
Llamamos por teléfono, contaminamos
25 kg de residuos electrodomésticos
¡Por persona, en Francia, cada año, es lunático!
Sí que se haga
E incluso a eso, la mueca
Izquierda o derecha
Del centro, de nada, y también de Marzo
La tecnología es una guarra
Falda plisada y liguero
¡Sabe tomarse, ella!
Con ella, la inocencia es una broma
Nadie quizá a otra parte
¡Del sistema, somos el calor!
La tecnología de la inmaterialidad es un señuelo
Sí que se haga
Izquierda o derecha
Del centro, de nada, y también de Marzo
La tecnología es una guarra
La inocencia es una broma
Como el concentrado de tomate
Cabañita, eso hace francés, y nos sometieron
Pero es cientos para - ciento chinos
Como dos de cada tres espárragos
Es aún bien chino
Es mi falta mi
Si los industriales no tienen ninguna fe
¡La pasta, el beneficio, he aquí su sola ley!
Nuestros supermercados son chinos
Congelados, planos preparados, la mentira es rey
Se se fija nosotros, ti, mi
Del zorro, de la rata, y aquí del cordero
¡La universalización es muy cachondo!
La India, China, Turquía
La industria agroalimentaria, ô taumaturgia
No predicamos
Que a convencidos
Los estalinistas
No oyen y no incluyen que el estalinista
Los fascistas
No oyen y no incluyen que el fascista
Los izquierdistas
No oyen y no incluyen que el izquierdista
Los capitalistas
No oyen y no incluyen que el capitalista
Los esto
No oyen y no incluyen que esto
Los eso
No oyen y no incluyen que eso
Cada lengua de la separación
Es la separación de la lengua
Cada religión es una lengua
Cada ideología es una lengua
Cada creencia es una lengua
Con sitios informáticos
Pero sólo de la electrónica
La trampa de un pequeño chasquido
Insultos y alabanzas electrónicos
Del viento, pura ilusión egocéntrica
Ciertamente, soy un paraphysique
¡Ciertamente, soy un nonsensique!

Patrice Faubert (2013) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/ Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway.fr”

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