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Coquecigrues politiciennes
Por Patrice Faubert - Saturday, Apr. 01, 2017 at 4:50 AM

Du fait fossile dévoyé...

L'anarchie
C'est la fin du salariat
L'anarchie
C'est la fin du patronat
L'anarchie
C'est la fin du prolétariat
C'est donc la fin du travail aliéné
Toute activité étant de même utilité
L'anarchie
C'est la fin de toute notion hiérarchisée
Seul important un bien-être généralisé
L'anarchie
C'est la fin de la propriété privée
Tout étant socialisé, tout étant partagé
Beaucoup de gens à rééduquer
Beaucoup de gens à reprogrammer
Le faisant d'eux-mêmes, d'ailleurs, pour pouvoir s'intégrer
L'anarchie
N'a pas besoin de police
L'anarchie voit disparaître tous les vices
Le contraire, c'est être comme complice
L'anarchie
N'a pas besoin d'armée
L'anarchie
N'a pas besoin de patrie
L'anarchie
N'a pas besoin de pays !
En anarchie
Tous les transports sont gratuits
En anarchie
Plus aucun dépit, plus aucun conflit
En anarchie
Il n'y a plus aucune autorité
En anarchie
Toutes les mentalités sont transformées
Et c'est vraiment la liberté
Et c'est vraiment l'égalité
Et c'est vraiment la fraternité
En anarchie
Plus aucune souffrance animale
Manger des fruits et des légumes, c'est banal
En 1001
Des Vikings découvrirent l'Amérique
Mais le seul monde pourtant idyllique
Qui reste encore à découvrir, c'est l'anarchie
Assouvissant toutes les envies
Rendant tout le monde gentil
Le seul monde vivable vraiment possible
Que l'on s'accorde à dire impossible
L'anarchie devra pourtant s'imposer
Sinon, ce sera la fin de l'humanité
Permanence des guerres, des famines, des massacres, des divisions
Dont le capital est toujours le larron !
Les gens ne font que répéter
Ce qu'ils lisent dans la presse muselée
Les gens ne font que répéter
Toute la propagande de publicité, de radio et de télé
Ainsi, en France
Comme un truisme, comme une évidence
Sept hommes d'affaires
Au service d'une information réactionnaire
Possèdent et donc contrôlent la presse, ô répugnance
Et c'est encore canal plus, qui finance
Pour cinquante pour cent le cinéma français
Avec son " Contre le cinéma " feu Debord était dans le vrai
Tout un cinéma de pacotille
Avec ou sans les nichons des filles
Car il s'agit là de conforter le monde
Le Capital donc tout capital, du mensonge permanent
Avec tout son personnel qui ment
Ainsi
La place du Trocadéro à Paris
Ne peut contenir que 40.000 personnes
L'organisateur lui, annonce 200.000 personnes
Ainsi
La place de la République à Paris
Il n'y a même plus de République, c'est là qu'on rit
Ne peut contenir que 60.000 personnes
L'organisateur lui, annonce 200.000 personnes !
Et au fond
C'est quoi le paradis ?
Et oui, c'est l'anarchie !
Quand plus rien n'est séparé
Quand tout est unifié
Quand même disparaît toute idée
De mort lente, plus personne de sacrifiée
Juin 1848, France, le peuple martyrisé
Environ 3000 morts, des milliers de blessés
C'était le Paris de la révolte et du pavé
Et la réaction contre les ouvriers, la réaction déchaînée
Et à la baïonnette, au canon
Contre les barricadiers, contre des hommes bons
De la Garde nationale
Et il referait la même chose, le " Front national "
Et donc, avec les troupes du répugnant feu le général Cavaignac
Chaque temps avec son éthique patraque
Baudelaire, Flaubert
Furent neutres sans être pourtant des réactionnaires
Comme d'ailleurs, en 1871, donc plus tard
Zola applaudira au massacre des communards
Il ne fut pas le seul
Tant d'autres furent aussi veules
Comme quoi, surtout, de toute célébrité
De tous lieux, de tous temps, il faut se méfier
Certes, tant de vies, parfois, en une seule vie
C'est justement cela l'anarchie
Femmes, enfants, hommes, des vies dans l'infini !

Patrice Faubert ( 2017 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "

La anarquía
Es el final del asalariado
La anarquía
Es el final del patronato
La anarquía
Es el final del proletariado
Es pues el final del trabajo enajenado
Toda actividad que es así mismo utilidad
La anarquía
Es el final de todo concepto jerarquizado
Solo importando un bienestar generalizado
La anarquía
Es el final de la propiedad privada
Todo socializar, todo compártese
Mucha gente que debe rehabilitarse
Mucha gente que debe programarse de nuevo
El haciendo de ellos mismos, por otra parte, para poder integrarse
La anarquía
No tiene necesidad de policía
La anarquía ve desaparecer todos los defectos
El contrario, es estar como cómplice
La anarquía
No tiene necesidad de ejército
La anarquía
No tiene necesidad de patria
La anarquía
¡No tiene necesidad de país!
En anarquía
Todos los transportes son gratuitos
En anarquía
Más ningún despecho, más ningún conflicto
En anarquía
No hay ya ninguna autoridad
En anarquía
Se transforman todas las mentalidades
Y es de verdad la libertad
Y es de verdad la igualdad
Y es de verdad la fraternidad
En anarquía
Más ningún sufrimiento animal
Comer frutas y hortalizas, es banal
En 1001
Vikingos descubrieron América
Pero el único mundo con todo idílico
Quién queda aún por descubrir, es la anarquía
Apaciguando todos los deseos
Volviendo todo el mundo agradable
El único mundo vivible de verdad posible
Que se concede a declaración imposible
La anarquía deberá con todo imponerse
Si no, será el final de la humanidad
Permanencia de las guerras, de las hambres, de las masacres, de las divisiones
¡El que capital es el ladrón todavía!
La gente no hace más que repetir
Lo que leen en la prensa amordazada
La gente no hace más que repetir
Toda la propaganda de publicidad, de radio y de tele
Así pues, en Francia
Como un truismo, como una evidencia
Siete hombres de negocios
Al servicio de una información reaccionaria
Poseen y en consecuencia controlan la prensa, ô repugnancia
Y es aún canal más, que financia
Para cincuenta para - cientos el cine francés
Con su “contra el cine” fuego Desbordamiento era en la verdad
Todo un cine de pacotilla
Con o sin los anidan de las muchachas
Ya que se trata consolidar el mundo
El Capital pues todo capital, de la mentira permanente
Con todo su personal que miente
Así
El lugar del Trocadéro en París
No puede contener que a 40.000 personas
El organizador, le anuncia a 200.000 personas
Así
El lugar de la República en París
Ni siquiera hay más de República, allí él se ree
No puede contener que a 60.000 personas
¡El organizador, le anuncia a 200.000 personas!
Y básicamente
¿Es que el paraíso?
¡Y sí, es la anarquía!
Cuando más nada no es separado
Cuando se unifica todo
Aunque desaparece toda idea
De muerte lenta, más persona de sacrificada
En junio de 1848, Francia, el pueblo martirizado
Alrededor de 3000 muertes, millares de heridos
Era París de la rebelión y el adoquín
Y la reacción contra los obreros, la reacción desencadenada
Y a la bayoneta, al cañón
Contra los barricadiers, contra hombres buenos
Del Guardia nacional
Y reharía la misma cosa, el “Frente nacional”
Y en consecuencia, con las tropas de repugnando fuego el general Cavaignac
Cada tiempo con su ética pachucha
Baudelaire, Flaubert
Fueron neutros sin ser con todo reaccionarios
Como por otra parte, en 1871, por lo tanto más tarde
Zola aplaudirá a la masacre communards
No estuvo el solo
Tanto otros fueron tan débiles
Como qué, sobre todo, de toda celebridad
Por todos los lugares, en todas las épocas, es necesario desconfiarse
Ciertamente, tanto vidas, a veces, en una única vida
Es precisamente eso la anarquía
¡Mujeres, niños, hombres, de las vidas en el infinito!

Patrice Faubert (2017) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway.fr”

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