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Biomimétisme techno-industriel
Por Patrice Faubert - Monday, Apr. 03, 2017 at 3:09 AM

Meriens et meriennes, un nouvel habitat...

" Les pouvoirs publics encouragent cette nouvelle activité, ils aident les fonds d'investissement à maximiser leur plus-value en leur permettant de déduire de leurs impôts, les intérêts des emprunts qu'ils ont contracté "

La voix des marchés

Meriens et meriennes
Des villages flottants et des villes flottantes de demain
Immeubles entiers, maisons individuelles
Mais la vie pas forcément plus belle
Avec la montée des eaux, des mers et des océans
Mais tout ne sera pas forcément plus beau
D'autres ou les mêmes problèmes, mais sur les eaux
Et les lois du capital toujours là, le capital est finaud
Certes
Tout un recyclage des matières plastiques
Avec tous les déchets, rien de vraiment chimérique
Avec même des plantations sous l'eau
Avec des jardins potagers, au début, plus rigolo
De l'autonomie pour quelques populations
De l'autonomie pour quelques individus
Déjà le cas en Hollande, un peu en Angleterre
Un jour, peut-être, il faudra vivre sur la mer
Nous utiliserons des vers marins
Comme présentement, l'arénicole, mention très bien
Pour les greffons
Pour les transplantations
Ce sang de ver marin
Que le sang humain est bien plus malin
Pouvant, lui, se conserver
Sous forme de poudre, plusieurs années
Du biomimétisme
De la nature, nous avons tout copié !
Donc
Ailerons des baleines à bosse
Et voilà les pâles des éoliennes
Donc
Le bec du martin-pêcheur
Les plumes du hibou
Et voilà le train très rapide
Donc
Contre le choc anaphylactique
Le secret du venin d'une méduse
La nature mieux que le docteur Mabuse
Je sais, la paraphysique poétique, toujours, abuse
Donc
En ce qui concerne la phagocytose
Et oui, encore je l'ose
Car l'on doit dire merci à l'étoile de mer
Donc
Sur la transmission de l'influx nerveux
Sans le calamar, l'on serait toujours morveux
Donc
La chitine, c'est pas le panier de crabes
Pour la fibre optique, l'éponge est plus qu'éponge
Et tout est comme cela
Mais nous l'ignorons, voilà
Comme l'infiniment petit
Qui des récifs, pourtant, construit
Comme sur l'île de Noirmoutier, Barbâtre
Où j'ai parfois marché, sans en être l'idolâtre !
Et c'est aussi tout le Krill
Petite crevette rose, couleur culturelle de la fille
Masse de ces crevettes, j'en décille
Environ cinq cent millions de tonnes
C'est environ aussi, la masse de la population humaine
Moi, cela m'étonne
Car pour se protéger de l'espèce inhumaine
Tant bien que mal, la nature se démène
De plus, avec le réchauffement climatique
Disparition du Krill, pour les baleines, c'est dramatique
Car partout présent
Dans les mers et les océans
Euphausia superba
Jusqu'à 3000 mètres de profondeur
Mais farine de Krill, huile de Krill, cela écoeure
Car se joue là, déjà, notre ailleurs
Comme un organisme vivant
Des centaines de kilomètres de long par banc
Mais aussi, pendant cette unité de temps
60.000 cargos qui naviguent, c'est dément
Du transport maritime à bas prix
Pantalons, vêtements, boutons, tous les produits
C'est bien cela, du marché, du capital, l'économie
Marchandises ayant transitées partout
Des milliers de kilomètres par produit, c'est fou
Du gaz, du pétrole, de l'opacité surtout, du minerai
Fruits, légumes, voitures, meubles, hifi, céréales, tout y est !
Du personnel sous-payé
Surtout des philippins, et du fric réinjecté
Dans leur pays, le capitalisme est malin
Mers et océans, sur les eaux, tout ce que nous consommons
90 pour cent de la machine globale, tout ce que nous épousons
Conteneurs discrets, c'est l'arme fatale
Si bien dans l'opacité, joker du capital
Avec toute une pollution sonore
Et tous les cétacés et baleines que l'activité inhumaine, déshonore
Du dégazage, par des bateaux de 400 mètres de long
18000 conteneurs par bateau
Parfois, 800 millions de bananes par bateau
Les oxydes de soufre comme 50 millions de voitures
Particules fines, nous avons l'oreille dure
Et ainsi, chaque jour, sont déversés
Cinq mille tonnes de produits toxiques
Dans les océans et les mers, déjà un seuil critique
La marchandise de l'énergie
L'énergie de la marchandise
Des océans, des mers, des terres
Rien ne sera plus habitable
Quand vivre dans une poubelle
Ne sera plus pour personne, souhaitable
L'humanité inhumanité aura produit l'insoutenable
L'on ne pourra plus y mettre une table
Et ce tabou des tabous, la bombe surpopulation
Qui enfante toutes les pollutions !

Patrice Faubert ( 2017 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "


"Las autoridades fomentan esta nueva actividad, que ayudan a los fondos de inversión para maximizar su valor añadido por lo que les permite deducir de los impuestos, los intereses de los préstamos que han contratado"

El mercado de voz

Meria y meriennes
Flotante pueblos y ciudades flotantes del mañana
edificios enteros, casas individuales
Pero la vida no necesariamente más hermosa
Con el aumento de agua, mares y océanos
Pero no todo es necesariamente más hermosa
Otros problemas o similares, pero en el agua
Y las leyes del capital sigue ahí, el capital es astuta
Es cierto
Mientras que el reciclaje de plásticos
Con todos los residuos, nada realmente quimérica
Incluso con plantaciones bajo el agua
Con jardines, en un primer momento, más diversión
Autonomía para algunas poblaciones
Autonomía para algunos individuos
Ya el caso en Holanda, algunos en Inglaterra
Un día, tal vez, tendrá que vivir en el mar
Vamos a utilizar gusanos marinos
Como ahora, el arénicole, honores
para injertos
para los trasplantes
Este bloodworm marina
Que la sangre humana es más inteligente
Puede, guardará
En forma de polvo, varios años
biomimética
De la naturaleza, copiamos todo!
Entonces
Las aletas de las ballenas jorobadas
Y que el viento pálido
Entonces
El pico del martín pescador
Las plumas de la lechuza
Y ese es el tren muy rápido
Entonces
Contra el choque anafiláctico
El secreto del veneno de una medusa
La naturaleza mejor que el Dr. Mabuse
Lo sé, parafísica poéticas, siempre abusan
Entonces
En cuanto a la fagocitosis
Y sí, incluso me atrevo
Porque hay que decir gracias a la estrella de mar
Entonces
En la transmisión de los impulsos nerviosos
Sin calamar, que seguiría siendo estirado
Entonces
La quitina no es la caja de los truenos
Para la fibra óptica, la esponja es más que compensado
Y todo es tan
Pero no sabemos, eso es
Como lo infinitesimal
Quién arrecifes, sin embargo, construido
Como en la isla de Noirmoutier, Barbâtre
Donde a veces mercado sin ser idólatra!
Y es todo el krill
Camarones pequeños, de color cultural de la niña
Masa del camarón, que sin pestañas
Unos quinientos millones de toneladas
Se trata también de la masa de la población humana
Me, Me sorprende
En cuanto a la protección de las especies inhumanas
De alguna manera, las luchas de la naturaleza
Y con el calentamiento global
Krill no oficial de ballenas es dramática
Por todo esto
En los mares y océanos
Euphausia superba
Hasta 3000 metros de profundidad
Sin embargo, la harina de krill, aceite de krill, se pone enfermo
Coche se juega ya, de lo contrario nuestra
Como un organismo vivo
Cientos de kilómetros de largo por banco
Pero también durante esta unidad de tiempo
60.000 buques de carga de navegación se le niega
Del envío barato
Pantalones, ropa, botones, todos los productos
Así es, el mercado, el capital, la economía
Las mercancías habiendo viajado por todas partes
Miles de kilómetros de un producto, que es una locura
El gas, el petróleo, especialmente la opacidad, el mineral
Frutas, verduras, automóviles, muebles, hola, cereales, todo lo que hay!
El personal mal pagado
Especialmente filipina, y el dinero se reinyecta
En su país, el capitalismo es el mal
Mares y océanos, en el agua, todo lo que consumen
90 por ciento de la máquina en general todo nos casamos
Contenedores discreta, es el arma letal
A pesar de la opacidad, el comodín de capital
Con un ruido
Y todos los cetáceos y ballenas que deshonra actividad inhumanas
Desgasificación, por buques de 400 metros de largo
18000 Barco de contenedores
A veces el barco de 800 millones de plátano
Los óxidos de azufre como 50 millones de automóviles
Las partículas finas, que tienen problemas de audición
Y así se vierten cada día
Cinco mil toneladas de productos tóxicos
En los océanos y mares, ya un umbral crítico
La energía mercancía
La energía de la mercancía
Océanos, mares, la tierra
Nada será más habitable
Cuando se vive en un cubo de basura
no será para nadie, deseable
La humanidad ha producido inhumanidad insostenible
No se puede poner una mesa
Y el tabú de los tabúes, bomba hacinamiento
Travail toda la contaminación!

Patrice Faubert (2017) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat dice el invitado en "hiway.fr"

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