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Eschatologie stochastique
Por Patrice Faubert - Thursday, Apr. 13, 2017 at 5:43 AM

Du profit et de l'exploitation...

Tout ce gaspillage d'argent
Le scandale des médicaments
Du Plavix, 37,11 euros, en France
18,23 euros en Italie, ô insolence
Et pour tant d'autres, l'administration ose
Car c'est souvent la même chose
Le plus odieux
C'est le Lucentis à 895 euros
Alors que l'Avastin à 25 euros
Contre la DMLA est aussi efficace
La pièce aux deux mêmes faces
Ce qui est un coût de 380 millions d'euros
Pour la sécurité sociale en France
Et tant d'autres outrecuidances
Ce qui fait des milliards d'euros
Tout cela
Pourrait être distribué
A toutes les pauvretés
Tout cela
Pourrait servir à embaucher
Du personnel formé et bien payé
Mais le capitalisme
Ne sait faire que dans l'illogisme
Ne sait plus gérer son capitalisme
Qui aboutit à son inéluctable logique
Gangstérisme du profit, cynique
Comme un tueur en série, pas empathique
Et toujours le fascisme
Dans les cervelles vides
Facile à comprendre, impavide
Et toujours le même cataclysme
De la jalousie, de la mesquinerie
De l'inculture, de la haine qui vomit
Et pourtant, la vie sur Terre
Un coup de chance cosmique
De la loterie astrophysique
Tant et tant de probabilités, pour le faire !
Mars pas la bonne taille
Peu de choses, pour que la vie s'en aille
Vénus trop chaude, si près du soleil
Et la vie a fait sans elle
Notre Terre orbite autour du soleil
A 100.000 km/heure, ce sont nos ailes
Personne n'est donc dans l'immobilité
C'est là le paradoxe de l'équanimité
Et 200 milliards d'étoiles dans notre voie lactée
Et pourtant, peut-être pas la vie
Voilà le charme de la spectrométrie
Tout dépend de la zone habitable
Ni trop proche, ni trop loin, fréquentable
Alpha du centaure et ses deux corps
Deux planètes Terre, c'est trop fort
Et si en zone habitable
Et si cela n'est pas une fable
De toutes façons
Si l'énergie sombre
Continue son accélération
Cette infatigable expansion
L'univers finira en évaporation
Après sa déchirure, après sa dislocation
La matière noire
Sans plus aucune cohésion
Plus de colle, plus de gravitation
Tant que ces deux phénomènes
Se tiennent la main
Tout va très bien
Mais arrive la discorde, le déséquilibre
C'est la fin, plus rien ne vibre
Dans cinquante milliards d'années
Heureusement c'est très éloigné
Et puis au fond
Ce ne sont que des spéculations
Qui au fil des années, subissent de singulières variations !
Mort thermique, l'univers glacé
Mort toute évaporée de même absurdité
Et pourtant notre Saturne
Dont la lumière met une heure
Pour nous parvenir, ainsi qu'à notre petite lune
En jours, en années, en heures
Tout naît et tout meurt
Comme la lumière émise par Andromède
2,3 millions d'années lumière pour nous parvenir
Le passé qui ne cesse de finir
Nous ne savons que dalle
La vie, la mort, peau de balle !
De l'infime bidule, tous les machins
Comme les 30.000 espèces d'acariens
Cela n'est pas rien
Aux étoiles de l'au-delà
Face à tout cela
Il faudrait profiter de la vie
Avec le plus grand fracas
Justement, ne jamais baisser les bras
Puisqu'il en est ainsi !
Et ne pas dire que cela va
Quand le moral est à l'agonie
Mais qui veut entendre cela ?
Personne, et c'est ainsi
Ainsi se fabrique l'automatisme, ça va, ça va, ça va
Personne n'allant vraiment bien
A qui se confier ? et personne ne dit rien
Cela va, ça va, ça va, ça va, ça va
Comme l'aurait dit feu ( 1944 - 1986 ) Michel Colucci
Finalement, bouffon, pas si greluche !
Cela ne va pas, c'est interdit
Pas de place, c'est fini
En ce domaine, c'est le même rififi
Et au fond c'est de la stochastique
En tous domaines, logique de l'illogique
Paradoxe de la société informationnelle
Qui produit du choc en retour, du déficit informationnel
Je sais ceci, tu ne sais pas cela
Tu ne sais pas ceci, je sais cela
Et nous faisons les fiers- à- bras !
Quoi que nous fassions
Des jalousies nous créons
Avec nos manies acquises de la comparaison
Toutes les rivalités, toutes les détestations
A ceux et celles
Q'un identique pacte scelle
Dans la détestation de mes textes
Mon indifférence est experte
Nous ne sommes pas sur la même route
Cela ne fait aucun doute !
Les scientistes
Sont des religieux
Pour eux, pour elles, la science c'est dieu
Refroidir le climat
La technologie y pourvoira
Nos trains de vie ne sont pas négociables
Pour un capitalisme fréquentable !
Formater Mars, plutôt la Terre
L'urgence des gaz à l'effet de serre
Bientôt, quatre degrés de plus, il faudra le faire !
Et qui va gérer le climat ?
De l'anthropocène en si mauvais état
Je donne ma langue au chat
Mais certainement, une dictature démocratique, pour cela
A l'avance programmée, on en discute déjà !
Voilà la géo-ingénierie pour que rien ne soit fini
Et toujours le football, soupape de sécurité
L'Italie fasciste qui sut remporter
En 1934 et 1938, deux coupes du monde
Sa griffe avait déjà su imposer !
L'espèce humaine est une anhédonie
L'espèce humaine éructe de la tragédie
De toute vie sur Terre, elle fait le gâchis
Baleines, cachalots, plancton
Tout massacrer, tout faire disparaître
Les crétins et crétines, ainsi font, font, font
Faire du profit, partout l'exploitation
Les diverses bourgeoisies
N'aiment pas mes textes
Elles les trouvent infects
Tant mieux !
Jeunes ou vieux
De moi vous n'aurez rien
Mon but est atteint
Si médiocre est notre époque
Tout s'achète, tout se vend, tout est du toc
Toujours baisser son froc
Pour pouvoir faire du troc
Il n'y a qu'un seul espoir
L'anarchie, pour tout revoir !

Patrice Faubert ( 2013 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "


Todo este derroche de dinero
El escándalo de los medicamentos
Del Plavix, 37,11 euros, en Francia
18,23 euros en Italia, ô insolencia
Y para tanto otros, la administración se atreve
Ya que es la misma cosa a menudo
El más odioso
Es el Lucentis a 895 euros
Mientras que el Avastin a 25 euros
Contra el DMLA es tan eficaz
La parte a las dos mismas caras
Lo que es un coste de 380 millones de euros
Para la seguridad social en Francia
Y tanto de otras impertinencias
Lo que hace miles millones de euros
Todo eso
Podría distribuirse
A todas las pobrezas
Todo eso
Podría servir para contratar
Del personal formado y bien pagado
Pero el capitalismo
No sabe hacer que en la falta de lógica
No sabe administrar más su capitalismo
Quién consigue su ineludible lógica
Gangsterismo del beneficio, cínico
Como un asesino en serie, no empathique
Y siempre el fascismo
En los cerebros vacíos
Fácil a incluir, impavide
Y siempre el mismo cataclismo
De los celos, de la mezquindad
De la incultura, de odio que vomita
Y con todo, la vida sobre Tierra
Un golpe de suerte cósmico
De la lotería astrofísica
¡Tanto y tanto probabilidades, para hacerlo!
Marzo no hay el buen tamaño
Las pocas cosas, para que la vida se vaya
Venus demasiado caliente, si cerca del sol
Y la vida hizo sin ella
Nuestra Tierra estuvo en órbita en torno al sol
A 100.000 km/heure, son nuestras alas
Nadie está pues en la inmovilidad
Es allí la paradoja del équanimité
Y 200 mil millones de estrellas en nuestra vía láctea
Y con todo, quizá no hay la vida
He aquí el encanto de la espectrometría
Todo depende de la zona habitable
Ni demasiado cerca, ni demasiado lejos, recomendable
ALFA del centauro y sus dos cuerpos
Dos planetas Tierra, es demasiado fuerte
Y si en zona habitable
Y si eso no es una fábula
De todas formas
Si la energía hunde
Sigue su aceleración
Esta infatigable extensión
El universo terminará en evaporación
Tras su rasgón, después de su dislocación
La materia negra
Sin más ninguna cohesión
Más pegamento, más gravitación
Mientras estos dos fenómenos
Se tienen la mano
Todo va bien muy
Pero llega la discordia, el desequilibrio
Es el final, más nada no vibra
En cincuenta mil millones de años
Afortunadamente es muy distante
Y luego básicamente
Sólo especulaciones
¡Quiénes a lo largo de los años, sufren singulares variaciones!
Muerte térmica, el universo congelado
Muerto toda evaporada así mismo absurdidad
Y con todo nuestra Saturno
La que luz pone una hora
Para llegarnos, así como a nuestra pequeña luna
En días, en años, en horas
Todo nace y todo meurt
Como la luz emitida por Andromède
2,3 millones de años luz para llegarnos
El pasado que no deja de terminar
Sólo sabemos losa
¡La vida, la muerte, piel de bola!
Insignificante del chisme, todas las cosas
Como las 30.000 especies de acáridos
Eso no es nada
A las estrellas de más allá
Frente a todo eso
Sería necesario aprovecharse de la vida
Con el mayor estropicio
Precisamente, nunca bajar los brazos
¡Puesto que esto sucede!
Y no decir que eso va
Cuando el moral está a la agonía
¿Pero que quiere oír eso?
Persona, y es así
Así se fabrica el automatismo, eso va, eso va, eso va
Nadie que no va de verdad bien
¿A quién confiarse? y nadie dice nada
Eso va, eso va, eso va, eso va, eso va
Como lo habría dicho fuego (1944 - 1986) Michel Colucci
¡Por último, bufón, no si greluche!
Eso no va, está prohibido
Pas de coloca, se termina esto
En este ámbito, es el mismo jaleo
Y básicamente es el estocástico
En todos los ámbitos, lógica del ilógico
Paradoja de la sociedad informativa
Quién produce del choque a cambio, del déficit informativo
Sé esto, no sabes eso
No sabes esto, sé eso
¡Y hacemos los fierabrases!
Qué que hagamos
Celos creamos
Con nuestras manías adquiridas de la comparación
Todas las rivalidades, todos los odios
A los y aquéllas
Q' un idéntico pacto sella
En el odio de mis textos
Mi indiferencia es experta
No estamos sobre la misma carretera
¡Eso no deja lugar a duda!
Los cientifistas
Son religiosos
Para ellos, para ellas, la ciencia es dios
Enfriar el clima
Habrá
Nuestros trenes de vida no son negociables
¡Para un capitalismo recomendable!
Formatear Marzo, más bien la Tierra
La urgencia de los gases al efecto invernadero
¡Pronto, cuatro grados además, será necesario hacerlo!
¿Y que va a administrar el clima?
Del anthropocène en tan malo estado
Doy mi lengua al gato
Pero ciertamente, una dictadura democrática, para eso
¡De antemano programada, ya se discute!
He aquí la geoingeniería para que no se termine nada
Y siempre el fútbol, válvula de seguridad
La Italia fascista que supo adquirir
En 1934 y 1938, dos copas del mundo
¡Su garra ya había sabido imponer!
La raza humana es un anhédonie
La raza humana eructa de la tragedia
De toda vida sobre Tierra, hace el gasto
Ballenas, cachalotes, plancton
Destrozarlo todo, hacerlo todo desaparecer
Los cretinos y cretinas, así hacen, hacen, hacen
Hacer el beneficio, por todas partes la explotación
Las distintas burguesías
No gustan mis textos
Los encuentran repugnantes
¡Mejor!
Jóvenes o viejos
Mi no le tendrán nada
Se alcanza mi objetivo
Si mediocre es nuestro tiempo
Todo se compra, todo se vende, todo está del portador
Siempre bajar su hábito
Para poder hacer el trueque
Sólo hay una única esperanza
¡La anarquía, para revisarlo todo!

Patrice Faubert (2013) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway.fr”

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