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Paraphysique de l'anomie
Por Patrice Faubert - Thursday, May. 11, 2017 at 10:22 AM

Tout mot est mercenaire du capital...

Toute époque
Et ce sans équivoque
A son propre langage
A ses propres outrages
Tous les mots nous façonnent
Le langage nous maçonne
Aucun mot n'est innocent
Aucun mot jamais ne ment
Il est toujours à sa place
Il n'est d'aucune race
Les mots s'amusent avec nous
Aux idées, ils tordent le cou
Les mots sont ceux du capital
En bien ou en mal
Les mots de toutes les bourgeoisies
La procrastination de toutes les ignominies
Le mot meilleur
Nous indique la compétition, la comparaison, la séparation
Le mot voleur
Nous indique la notion de propriété
Les mots nous trahissent
Les mots nous sévissent
Les mots nous ravissent
Toutes les religions
Toutes les idéologies
Toutes les croyances
Se servent des mêmes mots
Et sont dans le faux
Le mot meilleur disparaîtra
Quand il ne voudra plus rien dire
Le mot voleur disparaîtra
Quand il ne voudra plus rien dire
Le mot premier disparaîtra
Quand il ne voudra plus rien dire
Le mot dernier disparaîtra
Quand il ne voudra plus rien dire
Le mot hiérarchie disparaîtra
Quand il ne voudra plus rien dire
Comme les mots, compétition, propriété, gouvernement
Et tous les mots de séparation, de nos cerveaux déments
Pour une nouvelle civilisation
Qui des mots et donc des comportements
Aura su faire une révolution !
L'anarchiste qui utilise le mot meilleur
Ou le mot voleur
De ses idées
Est déjà totalement exproprié
Et l'exemple peut se généraliser !
Ou le fasciste
Qui emploie le mot de tolérance
De ses idées
Est déjà totalement expulsé
Et l'exemple peut se généraliser !
Un fait pas si contraire
Du mathématicien ( né en 1966 ) Grigori Perelman
Qui sur l'internet, résolut la conjecture de Poincaré
Le reclus de Saint-Pétesbourg, cet enfermé
Qui vit chez sa mère, sans syndrome d'Asperger
Mais, scandaleusement, il refusa tous les prix
Dont un million de dollars, ô hérésie !
Il y a là un petit quelque chose
De ce dont je vous cause
A vous de trouver
Ce qui peut s'y rattacher !
Dans la société spectaculaire marchande techno-industrielle
Aucun mot n'est en dehors d'elle
Tout mot est son ciment
Toute phrase est son amant
Artistes, intellectuels, ouvriers, savants
Techniciens, employés, ingénieurs, artisans
Femmes, hommes, jeunes, vieux, enfants
En sont les briques, en sont le fondement
Chaque corporation a ses mots
Qui sont l'histoire de la corporation
Mais toujours dans la compétition
Et donc toujours dans la séparation
Nous nous servons des mêmes mots
Une langue ou six mille langues
Peu importe, c'est le même radeau
Les mots veulent nos peaux
Tout mot est colonisé
Par ses colons, administré
Comme un pays, comme une région
Le mot comme du café, du tabac, du coton
L'espèce humaine
Fut intelligente avec la loi matrilinéaire
L'espèce humaine
Devint inintelligente avec la loi du père
Se faire
Tout le temps la guerre
Est un signal de profonde inintelligence
Pour toutes sortes de diverses raisons
Toujours les idéologies, croyances, religions
Les jalousies, les rivalités, les compétitions
Tous nos apprentissages, toutes nos aberrations
A cela
La télévision nous conditionne
La radio nous conditionne
Le cinéma nous conditionne
Les journaux nous conditionnent
Toutes nos lectures nous conditionnent
A 36000 vérités
Qui se concurrencent dans la fausseté !
Voilà aussi pourquoi
Nous pratiquons l'expérimentation animale
Pour la recherche médicale
Mais, voilà aussi pourquoi
Tous les êtres humains sont des cobayes humains
Avec la publicité subliminale
Et tous les médicaments
Que les laboratoires expérimentent sur des gens
Contre de l'argent, pour déculpabiliser ce mal !
La vie est apparue
Un premier janvier
Le 31 décembre
Est apparu le chimpanzé
Au tard de l'après-midi
Et à ce moment précis
C'était la planète des singes
Du cinéma à la réalité, rien ne fait fi !
Comme feu ( 1918-2013 ) Nelson Mandela
Beaucoup de blabla pour les hommes d'Etat
Blancs, jaunes, noirs, c'est toujours du caca
Et puis en 1995 déjà
Fut organisée et truquée
La coupe du monde de rugby
L'Afrique du Sud de Mandela devait l'emporter
Les bourgeoisies noires et blanches le voulurent ainsi !
Comme tous les militants
Comme toutes les militantes
Qui doivent fourguer leur fourbi
Leur religion et leur idéologie
Pour nous empêcher de vivre
Nous les contre tout
Nous les pour rien
Nous ne tendons pas l'autre joue !
Les mafias, les escrocs, les criminels, les méchants, les névropathes, les salauds
Les voleurs, les falsificateurs, les menteurs, les psychopathes, les bourreaux
Sont dans tous les gouvernements
Mais aussi dans toutes les sectes
Sur la route, au stade, au travail, chez soi, tout devient infect !
La représentation de la vie
Est la vie de la représentation
La vie non vécue
Est toujours représentée
Par le sport, l'art, la science, la religion
Notre cinéma, notre théâtre, notre télévision
La vie vécue
Aurait autre chose à faire
Que le déjà fait, le déjà vu
Faire l'amour avec sa voisine
Se promener avec son voisin
Être en même temps, enfant, adulte, jeune, libertaire
Vieux, en famille, célibataire
Femme, homme, tout et rien
Toujours en forme, toujours bonne mine
Et plus aucune maladie
La vraie harmonie la congédie !
C'est seulement cela la vie
C'est seulement cela l'anarchie
Tout le reste est de la bureaucratie !
Il suffirait de le vouloir
Pour simplement le pouvoir
Ainsi, les cellules humaines en culture
Les organoïdes qui usurpent la nature
Peuvent remplacer l'expérimentation animale
Mais cela n'est pas de la philanthropie
Demain, pour les riches qui se pavanent
De nouveaux organes
Mais une vie toujours aussi morne
Qu'un manque d'humanité borne !
Je le dis
Je le redis
Nous sommes programmés
Par ce que nous entendons
Par ce que nous lisons
Par ce que nous voyons
Par toutes nos conversations
Par toutes nos activités
Par toutes nos contrariétés
Et non pas par nos gènes
Qui ne font que s'adapter
Qui ne font que configurer
Des corps, et encore des corps
En fonction du climat, du temps
L'esprit de l'environnement
Est l'environnement de l'esprit
De son temps, l'esprit est le produit
L'esprit produit de la technologie
La technologie produit de l'esprit
La pensée du divertissement
Qui n'est pas le divertissement de la pensée
Est le produit de l'ennui
Il lui faut une culture
Pour imposer cette imposture
Pour cela, le décrochage du sens moral
De la cruauté, de la méchanceté, permettent la cavale
Films, livres, cinéma, télévision
Et toutes sortes d'inventions
Le conformisme de toutes les opinions
Le poids du groupe est une belle croupe !
Pour qu'ainsi tout se vive par procuration
Pour qu'ainsi soit reine l'anomie
Qui est le contraire, justement, de l'anarchie !

Patrice Faubert ( 2013 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "


Todo tiempo
Y esto inequívoco
A su propia lengua
A sus propias ofensas
Todas las palabras nos trabajan
La lengua nos construye
Ninguna palabra es inocente
Ninguna palabra nunca miente
Es todavía a su lugar
No es de ninguna raza
Las palabras se divierten con nosotros
A las ideas, tuercen el cuello
Las palabras son los del capital
En bien o en mal
Las palabras de todas las burguesías
La dilación de todas las ignominias
La mejor palabra
Nos indica la competición, la comparación, la separación
La palabra ladrón
Nos indica el concepto de propiedad
Las palabras nos traicionan
Las palabras nosotros prevalecen
Las palabras nos quitan
Todas las religiones
Todas las ideologías
Todas las creencias
Se sirven de las mismas palabras
Y están en la guadaña
La mejor palabra desaparecerá
Cuando no querrá ya decir nada
La palabra ladrón desaparecerá
Cuando no querrá ya decir nada
La primero palabra desaparecerá
Cuando no querrá ya decir nada
La último palabra desaparecerá
Cuando no querrá ya decir nada
La palabra jerarquía desaparecerá
Cuando no querrá ya decir nada
Como las palabras, competición, propiedad, Gobierno
Y todas las palabras de separación, de nuestros cerebros lunáticos
Para una nueva civilización
Quién de las palabras y en consecuencia de los comportamientos
¡Habrá sabido hacer una revolución!
El anarquista que utiliza la mejor palabra
O la palabra ladrón
De sus ideas
Ya completamente se expropia
¡Y el ejemplo puede generalizarse!
O el fascista
Quién emplea la palabra de tolerancia
De sus ideas
Ya completamente se expulsa
¡Y el ejemplo puede generalizarse!
Un hecho no tan contrario
Del matemático (nacido en 1966) Grigori Perelman
Quién en Internet, solucionó la conjetura de Poincaré
El recluido de Saint-Pétesbourg, este encerrado
Quién vive en su madre, sin síndrome de regar
Pero, escandalosamente, rechazó todos los precios
¡El que millón dólares, ô herejía!
Hay allí pequeño algo
De esto cuyos le causo
A de encontrarle
¡Lo que puede estar vinculado!
En la sociedad espectacular comercial tecnoindustrial
Ninguna palabra está fuera ella
Toda palabra es su cemento
Toda frase es su amante
Artistas, intelectuales, obreros, científicos
Técnicos, empleados, ingenieros, artesanos
Mujeres, hombres, jóvenes, viejos, niños
Son los ladrillos, son el fundamento
Cada sociedad tiene sus palabras
Quiénes son la historia de la sociedad
Pero siempre en la competición
Y en consecuencia siempre en la separación
Nos servimos de las mismas palabras
Una lengua o seis mil de lenguas
Qué más da, es la misma balsa
Las palabras quieren nuestras pieles
Se coloniza toda palabra
Por sus colonos, administrado
Como un país, como una región
La palabra como café, tabaco, algodón
La raza humana
Fue inteligente con la ley matrilinéaire
La raza humana
Pasó a ser inintelligente con la ley del padre
Hacerse
Todo el tiempo la guerra
Es una señal de profunda estupidez
Por toda clase de distintas razones
Siempre las ideologías, creencias, religiones
Los celos, las rivalidades, las competiciones
Todos nuestros aprendizajes, todas nuestras aberraciones
A eso
La televisión nos condiciona
La radio nos condiciona
El cine nos condiciona
Los Diarios nos condicionan
Todas nuestras lecturas nos condicionan
A 36000 verdades
¡Quiénes se compiten con en la falsedad!
Aquí también porqué
Practicamos la experimentación animal
Para la investigación médica
Pero, aquí también porqué
Todos los seres humanos son cobayas humanos
Con la publicidad subconsciente
Y todos los medicamentos
Que los laboratorios experimentan sobre gente
¡Contra dinero, para desculpabilizar este mal!
La vida apareció
El 1 de enero
El 31 de diciembre
Apareció el chimpancé
A tarde de la tarde
Y en ese momento preciso
Era el planeta de los monos
¡Del cine a la realidad, nada hace FI!
Como fuego (1918-2013) Nelson Mandela
Mucho bla bla bla para los estadistas
Blancos, yemas de huevo, negros, es todavía de la caca
Y luego en 1995 ya
Se organizó y se amanó
La copa del mundo de rugby
Sudáfrica de Mandela debía triunfar
¡Las burguesías blancas y negras lo quisieron así!
Al igual que los militantes
Al igual que las militantes
Quiénes deben losvender los preparado
Su religión y su ideología
Para impedirnos que viviera
Nos los contradice todo
Nosotros los para nada
¡No tendemos la otra mejilla!
Las mafias, los estafadores, los criminales, los malévolos, los névropathes, los cabrones
Los ladrones, los falsificadores, los mentirosos, los psicópatas, los verdugos
Están en todos los Gobiernos
Pero también en todas las sectas
¡Sobre la carretera, a la fase, en el trabajo, en sí, todo se vuelve repugnante!
La representación de la vida
Es la vida de la representación
La vida no vivida
Siempre está representado
Por el deporte, el arte, la ciencia, la religión
Nuestro cine, nuestro teatro, nuestra televisión
La vida vivida
Tendría otra cosa que hacer
Que el ya hecho, el ya en vista de
Hacer el amor con su vecino
Pasear con su vecino
Ser al mismo tiempo, niño, adulto, joven, libertario
Viejo, en familia, soltero
Mujer, hombre, todo y nada
Siempre en forma, siempre buena mina
Y más ninguna enfermedad
¡La verdadera armonía lo despide!
Es solamente eso la vida
Es solamente eso la anarquía
¡Todo el resto es burocracia!
Bastaría con quererlo
Para simplemente el poder
Así pues, las células humanas en cultura
Los organoïdes que usurpan la naturaleza
Pueden sustituir a la experimentación animal
Pero eso no está de la filantropía
Mañana, para el ricos que se pavonean
Nuevos órganos
Pero una vida siempre tan mate
¡Que una falta de humanidad limita!
Lo digo
Lo repito
Se nos programa
Por lo que entendemos
Por lo que leemos
Por lo que vemos
Por todas nuestras conversaciones
Por todas nuestras actividades
Por todas nuestras contrariedades
Y no por nuestros genes
Quiénes no hacen más que adaptarse
Quiénes no hacen más que configurar
Cuerpos, y aún cuerpos
En función del clima, del tiempo
El espíritu del medio ambiente
Es el medio ambiente del espíritu
Por su tiempo, el espíritu es el producto
El espíritu produce la tecnología
La tecnología producido del espíritu
El pensamiento del entretenimiento
Quién no es el entretenimiento del pensamiento
Es el producto del problema
Necesita una cultura
Para imponer esta impostura
Para eso, el desenganche del sentido moral
De la crueldad, de la maldad, permiten la huida
Películas, libros, cine, televisión
Y todas las clases de invenciones
El conformismo de todas las opiniones
¡El peso del grupo es una bonita grupa!
Para que así todo se vive por adquisición
Para que así sea reina la anomia
¡Quién es el contrario, precisamente, de la anarquía!

Patrice Faubert (2013) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway.fr”

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