Paraphysique de prétérition restreinte et généralisée
Por Patrice Faubert - Thursday, Jun. 01, 2017 at 2:49 AM

Tout est nouveau, tout est ancien...

Et au fond
Tout est prétérition
Même dans le superflu
Tout se passant dans l'inaperçu
C'est comme pour les affinités
Cela n'est pas seulement les idées
Cela serait d'une trop grande simplicité
Il faut pour cela
C'est malheureux, mais c'est comme ça
Aimer faire les mêmes choses
Sans pour autant défendre la même cause
Les visites des jardins ou des musées
Se faire un ciné, sexer, se promener
Aux échecs ou aux dames, aux cartes, aux dés, jouer
Se dorer le corps au soleil
Chaque être humain avec ses merveilles
Des gens aiment voyager
Des gens aiment bouquiner
Donc
Des gens qui n'ont pas les mêmes idées
Peuvent avoir des affinités
Et faire des choses ensemble
Donc
Des gens qui ont les mêmes idées
Peuvent n'avoir pas d'affinités
Et ne pas faire de choses ensemble !
Un peu comme pour les fantasmes sexuels
Ou plus simplement pour l'entente sexuelle
Là aussi
Les idées font ce qu'elles peuvent
Là aussi
Les corps s'en émeuvent
Difficile de trouver chaussure à son pied
De fait, tout le monde est mal chaussé
L'on ne peut, tout le monde, essayer
Surtout
Dans le propre monde de ses affinités
Et il y a tant de goûts différents, voilà la difficulté
Les affinités sexuelles
Les affinités idéelles
Les affinités vestimentaires
Les affinités alimentaires
Les affinités politiques
Les affinités psychologiques
Toute une fragmentation
Toute une séparation
Ainsi, restreinte ou généralisée, c'est toute une isolation
C'est donc, en somme, comme toute culture
C'est donc, en somme, comme toute connaissance
C'est forcément très lacunaire
Mais, forcément, c'est inhérent à la pensée réactionnaire
Mais, forcément, c'est inhérent à la pensée de séparation
Comme les nationalités, les partis, les syndicats, les organisations
Se défaire de toute aliénation, seule vraie pensée révolutionnaire !
Dans les caractères autopomorphes
C'est du mariage, des enfants, du divorce, rien d'amorphe
Cela fait le jeu de tous les tyrans
Diviser, régner, un jeu pour les enfants
Cela n'est plus le temps des châtelaines et des mouchettes
Cependant, malgré toute notre technologie, nous sommes aussi bêtes
Ou à cause de notre technologie, encore plus bêtes
En certains domaines
Des dates interchangeables ou presque, quelle déveine
Ainsi :
1923
Tokyo : 2,2 millions de personnes, environ
Paris : 3 millions de personnes, environ
New York : 5 millions de personnes, environ
Londres : 7 millions de personnes, environ
2017
Tokyo : 13 millions de personnes, environ
Londres : 8 à 9 millions de personnes, environ
Paris : 2,3 millions de personnes, environ
New York : 8 à 9 millions de personnes, environ
Sans bien sûr, l'agglomération urbaine
Cela ferait trop d'étrennes
Avec partout, du personnel variable d'ajustement
Pour les besoins du patronat, de l'industrie, du commerce
Le capitalisme organise ses kermesses
Toute une organisation parfaitement monstrueuse
Qui n'a pourtant rien de si voluptueuse
Bien moins que l'anguille si mystérieuse !
Tout devrait être comme dans un hôtel infini
Comme l'anarchie qui l'est aussi
Un socialisme libertaire d'entropie
A qui va en B, B qui va en C, C qui va en D
Ainsi la place de A devient disponible
L'hôtel de l'anarchie est toujours disponible
Et ce de A à Z
Mais sans vraiment de A à Z
Car tour à tour, tout devient A et tout devient Z
Place, place, au banquet de la vie
Quand l'on respecte toute forme de vie
Car même un poussin
Sait compter jusqu'à cinq, et oui
Car même un rat
Quand pour qu'il mange, l'on doit pour cela
Torturer un de ses congénères, et donc la nourriture, il refusera
Car même un chimpanzé
Au niveau de la visualisation spatiale
Deux dixièmes de seconde, à l'être humain, c'est fatal
Lui, il met sept dixièmes de seconde, j'entends des râles
Car même le cochon
Avec son museau sait la multiplication
Pas le moins du monde paradoxal
Tout est plus grand que l'infini dénombrable
Comme le nombre infini de décimales
Comme donc, après la virgule de la virgule, comme presque dans une seconde !
Mais notre temps humain est lui, bien fini
Avec hélas, des bords et des frontières
Car même si l'Univers était fini
Lui serait sans aucun bord, sans aucune frontière
Et l'espèce humaine
De toutes les espèces, la plus inhumaine
Et étant, à long terme, une espèce menacée
Des graines de plantes sont thésaurisées
Comme quelque part en Norvège
C'est finalement un triste solfège
Ainsi, 800.000 échantillons
Milliers d'espèces de plantes cultivées
Comme une banque de données
Mais à long terme, précaire conservation
Et déjà, sans conséquence, une petite inondation
Du climat versatile, future désolation
Et dans l'Univers
Tout arrive quelque part
Tout est arrivé quelque part
Tout arrivera quelque part
Rien n'existe pas, tout existe de part en part
Comme un Multivers de sérendipité
Tout peut s'imaginer, tout peut se réaliser
Tout a été imaginé
Tout a été réalisé
Tout se réalisera
Tout existe
Tout a existé
Tout existera
Tout commence sans commencement
Tout fini sans être fini
Un peu comme la Coupe de football de feu Charles Simon
Devenue la Coupe de France de football, une nationalisation
Comme aussi
Tout ce que nous mangeons
Comme les cuisses de grenouilles Rana Macrodon
Souvent, d'Indonésie, une fausse appellation
Oui, en France, c'est la Rana Macron
Mais elle, elle fait hélas de la législation
Et des amphibiens en voie d'extinction
Le vin même avec de fausses étiquettes
Quand le Grand Cru fait piquette
Ne met pas en danger, le vigneron
Vraiment, c'est de A à Z, qu'il faut une révolution !

Patrice Faubert ( 2017 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "


Y básicamente
Todo es preterición
Incluso en lo superfluo
Todo que pasa en el inadvertido
Es como para las afinidades
Eso no es sino las ideas
Eso sería de una excesiva simplicidad
Es necesario para eso
Es infeliz, pero es como eso
Gustar hacer las mismas cosas
Sin sin embargo defender la misma causa
Las visitas de los jardines o museos
Hacerse un cine, sexer, pasear
A los fracasos o a las damas, a las tarjetas, a los dados, jugar
Dorarse el cuerpo al sol
Cada ser humano con sus maravillas
A gente le gusta viajar
A gente le gusta leer
Pues
Gente que no tiene las mismas ideas
Pueden tener afinidades
Y hacer cosas juntos
Pues
Gente que tiene las mismas ideas
Pueden no tener afinidades
¡Y no hacer cosas juntos!
Un poco como para los fantasmas sexuales
O más simplemente para el acuerdo sexual
Allí también
Las ideas hacen lo que pueden
Allí también
Los cuerpos mover
Difícil encontrar zapato a su pie
De hecho se calza mal todo el mundo
No se puede, todo el mundo, intentar
Sobre todo
En el propio mundo de sus afinidades
Y hay tanto gustos diferentes, he aquí la dificultad
Las afinidades sexuales
Las afinidades idéelles
Las afinidades de indumentaria
Las afinidades alimentarias
Las afinidades políticas
Las afinidades psicológicas
Toda una fragmentación
Toda una separación
Así pues, limitada o generalizada, es todo un aislamiento
Es pues, en resumen, al igual que cultura
Es pues, en resumen, al igual que conocimiento
Es inevitablemente muy incompleto
Pero, inevitablemente, es inherente al pensamiento reaccionario
Pero, inevitablemente, es inherente al pensamiento de separación
Como las nacionalidades, los partidos, los sindicatos, las organizaciones
¡Deshacerse de toda enajenación, solo verdadero pensamiento revolucionario!
En los caracteres autopomorphes
Es del matrimonio, los niños, el divorcio, nada de amorfo
Eso hace el juego de todos los tiranos
Dividir, reinar, un juego para los niños
Eso no es ya el tiempo de los castellanos y mouchettes
Sin embargo, a pesar de toda nuestra tecnología, somos tan estúpidos
O debido a nuestra tecnología, aún más estúpidos
En algunos ámbitos
Fechas intercambiables o casi, qué mala pata
Así:
1923
Tokio: 2,2 millones de personas, alrededor
París: 3 millones de personas, alrededor
Nueva York: 5 millones de personas, alrededor
Londres: 7 millones de personas, alrededor
2017
Tokio: 13 millones de personas, alrededor
Londres: 8 a 9 millones de personas, alrededor
París: 2,3 millones de personas, alrededor
Nueva York: 8 a 9 millones de personas, alrededor
Sin por supuesto, el núcleo urbano
Eso haría demasiado el estrena
Con por todas partes, del personal variable de ajuste
Para las necesidades del patronato, la industria, el comercio
El capitalismo organiza sus ferias
Toda una organización perfectamente monstruosa
Quién no tiene con todo nada de tan voluptuosa
¡Bien menos que la anguila tan misteriosa!
Todo debería ser como en un hotel infinito
Como la anarquía que lo es también
Un socialismo libertario de entropía
A quién va en B, de B que va en C, de C que va en D
Así el lugar de A se vuelve disponible
El hotel de la anarquía está siempre disponible
Y esto de A a Z
Pero sin de verdad de A a Z
Ya que a su vez, todo se convierte en A y todo se convierte en Z
Place, lugar, al banquete de la vida
Cuando se respeta toda forma de vida
Ya que incluso un polluelo
Sabe contar sí hasta cinco, y
Ya que incluso una rata
Cuando para que coma, se deba para eso
Torturar uno de su congéneres, y en consecuencia la comida, se negará
Ya que incluso un chimpancé
En la visualización espacial
Dos décimos de segundo, al ser humano, es inevitable
, Le pone siete décimos de segundo, oigo tengo estertores
Ya que incluso el cerdo
Con su morro sabe la multiplicación
Pas le menos del mundo paradójico
Todo es mayor que el infinito contable
Como el número infinito de decimales
¡Tan pues, después de la coma de la coma, como casi en un segundo!
Pero se termina nuestro tiempo humano él bien
Con desgraciadamente, de los bordes y las fronteras
Ya que aunque se terminaba el Universo
Le estaría sin ningún borde, sin ninguna frontera
Y la raza humana
Por todas las especies, el más inhumano
Y siendo, a largo plazo, una especie amenazada
Se atesoran algunas semillas de plantas
Como en alguna parte en Noruega
Es un triste solfeo finalmente
Así pues, 800.000 muestras
Millares de especies de plantas cultivadas
Como un banco de datos
Pero a largo plazo, precaria conservación
Y ya, sin consecuencia, una pequeña inundación
Del clima cambiable, futura desolación
Y en el Universo
Todo llega en alguna parte
Todo llegó en alguna parte
Todo llegará en alguna parte
Nada no existe, todo existe parte en parte
Como un Multivers de sérendipité
Imaginárselo todo puede, realizárselo todo puede
Se imaginó todo
Se realizó todo
Todo se realizará
Todo existe
Todo existió
Todo existirá
Todo comienza sin principio
Muy terminado sin terminase
Un poco como la Copa de fútbol de fuego Charles Simon
Vuelta el Coupe de France de fútbol, una nacionalización
Como también
Todo lo que comemos
Como los muslos de ranas Rana Macrodon
A menudo, de Indonesia, un falso nombre
Sí, en Francia, es Rana Macron
Pero ella, hace desgraciadamente la legislación
Y de los anfibios en vías de extinción
El vino mismo con falsas etiquetas
Cuando la Gran Vendimia hace piqueta
No pone en peligro, el viticultor
¡De verdad, es de A a Z, que es necesario una revolución!

Patrice Faubert (2017) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway.fr”

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