Julio López
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Paraphysique de la hiérarchie
Por Patrice Faubert - Saturday, Jun. 10, 2017 at 6:01 AM

Nous sommes dans l'erreur de A à Z...

L'industrie du bois
Qui déforeste en toute illégalité
Protégée par les autorités
Comme au Brésil, la traite du bois coupé
Au mépris des indiens Awas
Assassinés, chassés, comme c'est bas !
Trafic clandestin du bois
Un marché de 15 milliards de dollars par an
Pour l'Europe et son ameublement
En France aussi, on l'attend !
Les bûcherons qui tuent les arbres
Sont payés par les tueurs de feu ( 1944-1988 ) Chico Mendes
Mais les commanditaires propriétaires cachent leurs sabres
Une clandestinité protégée, choyée, yes
Et les poissons
Comme les saumons
Qui sont maintenant dans des fermes
C'est l'aquaculture, comme au Chili
Mais une ferme de saumons
C'est comme 450.000 personnes et leurs déchets, pardi !
53 pour cent des poissons consommables
Sont à la limite du dommageable
30 pour cent sont en surexploitation
Quota ou pas, bientôt la disparition !
Plus d'indiens, plus le moindre poisson, que du béton
Et puis, toute vie souffre, de toutes façons
L'insecte, la vie mammifère, l'oiseau, le poisson
C'est donc un charnier entre espèces
Tout est mangé pour ressortir par les fesses
La vie dure se lit sur nos faces
La vie plus facile fait moins la grimace
C'est un résumé de la lutte des classes
Il faudrait pour tous et toutes, la même place !
Les misères, nos corps et nos visages, agacent
Nous en apercevons les traces !
Et toujours nos hiérarchies
Le poète, le peintre, le chanteur, le musicien, l'artisan
Le manuel, l'intellectuel, le sportif, l'écrivain, le savant
Tout ce qui nous fait petit !
Ni dieu, ni maître
Mais devant ces idoles, tu t'aplatis
Alors la hiérarchie est ton maître !
Moi
Qui ne suis pas un intello
Moi
Qui ne suis pas un bricolo
Ni intellectuel, ni manuel
A tout, je me fais la belle !
Vous n'avez que des rivales, que des rivaux
Pas d'amitié, pas d'amour, c'est ballot
Et toute agitation
Pour une paire de nichons
Car même et surtout pour coïter
D'une façon l'autre, il faut en chier !
En prison, encore plus qu'ailleurs
Le maton est là, qui surveille les chaleurs
Et les femmes de détenus
Sont de l'administration pénitentiaire, les cocues
Une vie à attendre
Une vie à apprendre
Que rien n'est gratuit
Que tout à un prix
Que tout peut faire profit
Beauté, laideur, pauvreté, richesse
Du capitalisme, c'est la kermesse
Allez donc vous promener
Dans les riches quartiers
Belles femmes, bien habillées, bien nourries, épanouies
Pour les dominants argentés, ailleurs et ici
Allez donc vous balader
Dans les quartiers déshérités
Femmes aux visages marqués
Aux mains fatiguées
A la mentalité dominée
Pour les pauvres et les exploités
De la femme dominante et aimée
A la femme dominée et méprisée
Pour les hommes
C'est le même processus
Celui qui fait consensus !
Toujours nos hiérarchies
De nos religions, croyances, idéologies
Tout s'écrit partout
Tout se lit partout
Sur nos corps, sur nos visages
Nos maisons, nos âges
Nos relations, nos organisations
Nos usages, nos informations
Rien que la façon de sonner
Rien que la façon de frapper
A une porte, sur notre personnalité, est une indication !
Tout notre commerce
Plus proxénète que la location des fesses
En voici un exemple fondamental
Le coût vraiment calculé fait mal
Un tee-shirt vendu 29 euros
Dans nos antres commerciaux
Est de 17 euros de bénéfice
Pour le magasin qui le vend
Un euro 15 pour l'usine
Six euros 06, le transport, les intermédiaires
Trois euros 61 pour le propriétaire de la marque
Dix huit centimes pour l'ouvrier que l'on maque !
De l'Asie à l'Europe
Sans équivoque, le prix coûtant se moque !
Le capitalisme fonctionne ainsi
C'est comme cela dans tous les pays
Hier, demain, comme aujourd'hui
Tous les gens qui votent le veulent ainsi !
Le capitalisme
Nous met la tête sous l'eau
Hommes, femmes, enfants, jeunes, vieux
Riches, pauvres, belles, pas belles, beaux, pas beaux
Nous sommes ses veaux !
Et c'est plus ( en 2009 ) de 11 minutes et 35 secondes
Comme le record d'apnée statique de ( né en 1971) Stéphane Mifsud
Même si c'est plus longtemps que tout le monde
Et aussi 213 mètres avec palmes ( 2006 )
Et aussi 131 mètres sans palmes ( 2004 )
En apnée dynamique
Tout a des équivalences
Les fourmis se droguent aux pucerons
Les dauphins se droguent aux poissons globes
Les jaguars ont leur yagé
Les chèvres ont leurs grains de café
Les éléphants, singes, oiseaux, gorilles
Ont aussi leurs morilles
Avec la plante hallucinogène iboga
Etc. Tout le règne animal a son haschich, voilà !
Comme les mirages du désert
Et les mirages de l'univers
Mirages gravitationnels
De la matière noire en X de la séquelle
Spéculation de la gravitation
Gravitation de la spéculation
Et si vous saviez ma merdasse
Et si vous saviez ma fadasse
Toutes nos horreurs, toutes nos terreurs
Einsatzgruppen, commandos de la mort
En 1941, en Russie, SS et SD, les exterminateurs
Avec les nationalistes lituaniens et ukrainiens
Dont ils furent les superviseurs, pour faire cela bien !
Pour massacrer, les gitans, les juifs, femmes, hommes, enfants
Mais les chefs nazis
En 1941, de toutes les orgies et tueries
La plupart nés vers 1900
Furent et c'est bien désolant
Des linguistes, des philosophes, des littéraires
Des docteurs en ceci, en cela, de diplômes propriétaires !
Et pour les exécutants, c'était la classe allemande ou autre, populaire
D'abord au fusil, à la mitrailleuse
Puis des camions à gaz
Puis les chambres à gaz
L'extermination devenait plus pointilleuse
Et oui la culture
N'empêche pas l'ordure !
L'érudition n'évite pas l'extermination
C'est encore une affaire de hiérarchisation
Partout sur la planète Terre, en manifestation
Avec notre poésie qui est une hiérarchie
Avec notre musique qui est une hiérarchie
Avec notre cinéma qui est une hiérarchie
Avec notre peinture qui est une hiérarchie
Avec notre science qui est une hiérarchie
Avec notre technologie qui est une hiérarchie
Avec nos arts qui sont des hiérarchies
Avec nos philosophies qui sont des hiérarchies
Toutes celles et tous ceux qui en font partie
Sont de la hiérarchie !
Personne ne le comprend
Personne ne l'entend
L'humanité est un commando de la mort
A la conscience globale qui dort
De A à Z, nous sommes dans l'erreur
Et c'est la perpétuelle prison, de nos horreurs, de nos terreurs
La vérité est ailleurs !
Le nazisme a partout triomphé
Il est simplement d'une plus grande subtilité
Les hiérarchies sont dans nos têtes
Avec tous nos bouffons, toutes nos vedettes
Que nous imitons, que nous répétons, c'est bête
Aucune hiérarchie ne fait la fête !

Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "


La industria de la madera
Quién déforeste en toda ilegalidad
Protegida por las autoridades
Como en Brasil, la trata de la madera cortada
Al menosprecio de los indios Awas
¡Asesinados, expulsados, como es bajo!
Tráfico clandestino de la madera
Un mercado de 15 mil millones de dólares al año
Para Europa y su mobiliario
¡En Francia también, se lo espera!
Los lenadores que matan los árboles
Se pagan por los asesinos de fuego (1944-1988) a Chico Mendes
Pero los comanditarios propietarios ocultan sus sables
Una clandestinidad protegida, acariciada, yes
Y los pescados
Como los salmones
Quiénes están ahora en explotaciones
Es la acuicultura, como en Chile
Pero una explotación de salmones
¡Es como 450.000 personas y sus residuos, ¡pues claro!!
53 para - cientos de los pescados consumibles
Están al límite del perjudicial
30 para - cientos están en sobreexplotación
¡Cuota o no, pronto la desaparición!
Los más indios, más el menor pescado, que hormigón
Y luego, toda vida sufre, de todas formas
El insecto, la vida mamífera, el pájaro, el pescado
Es pues un sepulcro de masa entre especies
Todo se come para resultar por las nalgas
La vida dura se lee sobre nuestras caras
La vida más fácil hace menos la mueca
Es un resumen de la lucha de clases
¡Sería necesario para todos y todas, el mismo lugar!
Las miserias, nuestros cuerpos y nuestras caras, agravan
¡Percibimos los rastros!
Y siempre nuestras jerarquías
El poeta, el pintor, el cantante, el músico, el artesano
El manual, el intelectual, el deportista, el escritor, el científico
¡Todo lo que nos hace pequeño!
Ni dios, ni principal
Pero ante estos ídolos, ti te aplanados
¡Entonces la jerarquía es tu amo!

Quién no es un intelectualoide

Quién no es un bricolo
Ni intelectual, ni manual
¡A todo, me hago lo bonita!
Sólo tiene rivales, que de los rivales
Pas d' amistad, no amor, es paquete
Y toda agitación
Para un par de anidan
Ya que incluso y sobre todo para coïter
¡De una manera otro, es necesario cagar!
En prisión, aún más que a otra parte
El matón está allí, que supervisa los calores
Y las mujeres de presos
Están de la administración penitenciaria, las cornudas
Una vida que debe esperarse
Una vida que debe aprenderse
Que nada no es gratuito
Que muy a un precio
Que hacer todo puede beneficio
Belleza, fealdad, pobreza, riqueza
Del capitalismo, es la feria
Vaya pues ustedes a pasear
En los ricos barrios
Bonitas mujeres, bien equipadas, bien alimentadas, abiertas
Para los dominantes plateados, a otra parte y aquí
Vaya pues a pasearse
En los barrios desheredados
Mujeres a las caras señaladas
A las manos cansadas
A la mentalidad dominada
Para los pobres y el explotados
De la mujer dominante y gustada
A la mujer dominada y despreciada
Para los hombres
Es el mismo proceso
¡Aquél que hace consenso!
Siempre nuestras jerarquías
Nuestras religiones, creencias, ideologías
Todo se escribe por todas partes
Todo se lee por todas partes
Sobre nuestros cuerpos, sobre nuestras caras
Nuestras casas, nuestras edades
Nuestras relaciones, nuestras organizaciones
Nuestros usos, nuestra información
Nada que la manera de sonar
Nada que la manera de afectar
¡A una puerta, sobre nuestra personalidad, es una indicación!
Todo nuestro comercio
Más proxeneta que el alquiler de las nalgas
He aquí un ejemplo fundamental
El coste de verdad calculado hace mal
Una camiseta vendida 29 euros
En nuestras cuevas comerciales
Es de 17 euros de beneficio
Para el almacén que lo vende
Un euro 15 para la fábrica
Seis euros 06, el transporte, los intermediarios
Tres euros 61 para el propietario de la marca
¡Diez ocho céntimos para el obrero quien se maque!
De Asia a Europa
¡Inequívoco, el precio de coste se burla!
El capitalismo funciona así
Es como eso en todos los países
Ayer, mañana, como hoy
¡Toda la gente que vota lo quiere así!
El capitalismo
Nos pone la cabeza bajo el agua
Hombres, mujeres, niños, jóvenes, viejos
Ricos, pobres, bonitos, no bonitas, bonitos, no bonitos
¡Somos sus terneros!
Y es más (en 2009) de 11 minutos y 35 segundos
Como la marca de apnea estática (nacido en 1971) de Stéphane Mifsud
Aunque es más mucho tiempo que todo el mundo
Y también 213 metros con palmas (2006)
Y también 131 metros sin palmas (2004)
En apnea dinámica
Todo tiene equivalencias
Las hormigas se dopan a los pulgones
Los delfines se dopan a los pescados globos
Los jaguares los tienen los yagé
Las cabras tienen sus granos de café
Los elefantes, monos, pájaros, gorilas
Tienen también sus morillas
Con la planta alucinógeno iboga
¡Etc. todo el reino animal tiene su hachís, aquí!
Como los mirajes del desierto
Y los mirajes del universo
Mirajes gravitacionales
De la materia negra en X de la secuela
Especulación de la gravitación
Gravitación de la especulación
Y si supiera mi merdasse
Y si supiera a mi soso
Todos nuestros horrores, todas nuestros terrores
Einsatzgruppen, comandos de la muerte
En 1941, en Rusia, PÁRRAFO y SD, los exterminadores
Con los nacionalistas lituanos y ucranianos
¡Que fueron los supervisores, para hacer eso bien!
Para destrozar, los gitanos, los judíos, mujeres, hombres, niños
Pero los jefes nazis
En 1941, de todas las orgías y matanzas
La mayoría nacidos hacia 1900
Fueron y es bien que aflige
Lingüistas, filósofos, literarios
¡Doctores en esto, en eso, de títulos propietarios!
Y para los ejecutantes, era la clase alemana u otra, popular
En primer lugar al fusil, a la metralleta
Luego camiones a gas
Luego las cámaras de gas
La exterminación se volvía más fastidiosa
Y sí la cultura
¡Impedido no hay la basura!
La erudicción no evita la exterminación
Es aún un asunto de jerarquización
Por todas partes sobre el planeta Tierra, en manifestación
Con nuestra poesía que es una jerarquía
Con nuestra música que es una jerarquía
Con nuestro cine que es una jerarquía
Con nuestra pintura que es una jerarquía
Con nuestra ciencia que es una jerarquía
Con nuestra tecnología que es una jerarquía
Con nuestras artes que son jerarquías
Con nuestras filosofías que son jerarquías
Todas las aquéllas y todos los que forman parte
¡Están de la jerarquía!
Nadie lo comprende
Nadie lo oye
La humanidad es un comando de la muerte
A la conciencia global que duerme
De A a Z, estamos en el error
Y es la perpetua prisión, de nuestros horrores, de nuestros terrores
¡La verdad está a otra parte!
El nazismo triunfó por todas partes
Es simplemente de una mayor sutileza
Las jerarquías están en nuestras cabezas
Con todos nuestros bufones, todas nuestras estrellas
Que imitamos, que repetimos, es estúpido
¡Ninguna jerarquía hace la fiesta!

Patrice Faubert (2014) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway.fr"

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