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Paraphysique de scotomisation
Por Patrice Faubert - Tuesday, Aug. 08, 2017 at 3:16 AM

Le monde est une chambre à gaz...

" Nous ne pardonnons qu'aux enfants et aux fous d'être francs avec nous : les autres, s'ils ont l'audace de les imiter, s'en repentiront tôt ou tard. "

E.M. Cioran ( 1911-1995 )

Comme le million de communistes exterminés
Par feu ( 1921-2008 ) Soeharto, dictateur indonésien
Et d'anciens tortionnaires de ce régime
Continuent à la télévision, la frime
Et au cinéma, les anciens bourreaux
Deviennent victimes, font les beaux !
De 1965 à 2014, toujours la parade
Pour ce qui est devenu une charade
Comme le plus beau métro du monde
Moscou, le risque que cela inonde
Un jour, tu creuses, trois jours, tu pompes
Début 1932, première ligne en 1935
C'est le grand édifice stalinien
Et aussi la dénonciation, déportation, élimination, en plein
Ce fut le vrai début de cette partie
Puis sans aucun frein avec la mort de feu ( 1868-1936 ) Maxime Gorki
TOUT a une histoire
L'invisible et ce que l'on peut voir
Comme les 70.000 personnes hospitalisées
En France, et ce chaque année
A la demande d'un tiers
Pour bouffées délirantes sévères
La santé mentale, quelle misère !
Et aussi 600.000 schizophrènes, qui errent
Avec des médicaments, c'est leur seul repère
Toutes les maladies de la société
La société de toutes les maladies
Cela donne le vertige
Il faut le maîtriser pour ne pas chuter
Comme le grimpeur ( né en 1962 ) Alain Robert
Qui escalade les tours de nos cités, comme à Dubaï, 828 m, record
Avec son acrophobie, il est de fer, ce trompe-la-mort
Oreille interne, vertige vestibulaire
Et c'est encore très culturel, ouvriers manuels
Comme les amérindiens sur les gratte-ciels
L'équilibre de sa tribu, mépris du vertige
Tribu de l'équilibre, vertige du mépris
Et ne pas passer pour un poltron
Quitte à faire dans son pantalon !
Et toutes les blessures que nous subissons
Font que petit à petit, nous nous isolons
Des autres, ainsi, nous nous protégeons
De tout, de rien, nous nous vexons
Toutes nos valeurs sont nos prisons
Nous sommes des lames de rasoir
Ce sont nos relations, sur nos visages, on peut les apercevoir !
Tu aurais dû écrire ceci, pas cela
Cela ne regardait personne, c'est pas sympa
Pourquoi en faire tant de brouhaha
Puisque tout le monde s'en fiche, voilà !
Quoi que l'on fasse, dans le règne du séparé
De toutes façons, un être humain sera blessé
Cela n'est pas là mon intention, sans vouloir que vous m'en excusiez
C'est simplement le souci de véracité !
Toutes les activités humaines ont des coulisses
Cela est bien caché pour ne pas révéler nos vices
Les pensées sont garrottées par nos paroles
Secrètement tout le monde en rigole !
En France, la ligne de démarcation
De 1940 à mars 1943, 1200 km de long
Est toujours là, pas seulement en guerre
Et c'est toujours partout la guerre
Mais dans le monde des affaires
L'armée allemande c'est le fini
L'armée marchande c'est l'infini
Bien plus subtile que la botte nazie
La zone occupée
Les pauvres d'un côté
La zone non occupée
Les riches d'un côté
Rien n'est jamais changé
Tout est simplement camouflé
Comme pour les hypermarchés
Avec les centrales pour l'achat
Sur la qualité un véritable crachat
Remballe, délottage, et les marges
Déférencement, des contrats à la mafia
Beaucoup de volume
Ainsi les bénéfices se hument
Et les fournisseurs qui perdent des thunes
Marché parallèle, occulte
Espagne, Pologne, et les prix qui mutent
C'est la guerre des prix
Le prix de la guerre, voici l'économie
Je n'écris que des idées
Donc, inutile de me juger
L'autocritique ? il suffit de me lire
Et toi-même ? et vous-même ? avant de me maudire !
De tous ces procès
Que l'on me fait
Pour moi, tout peut se dire
Ce que j'écris, tout le monde s'en fiche
Justement, que rien d'important ne reste à la niche !
La vérité n'est d'aucun port
Tout le monde veut sa mort
Personne, indemne n'en sort
Moi, toi, lui, elles, eux
A TOUT elle met le feu !
Tous et toutes nous l'allumons
Tous et toutes nous l'éteignons
Tous et toutes nous la nourrissons
Tous et toutes nous la falsifions
Moi, un dominé que personne n'apprécie
Et c'est très bien ainsi !
Un nez humain
Peut percevoir mille milliards d'odeurs
Aux nuances différentes, le nez est malin
Pas les nanoparticules, pour notre malheur !
Les yeux humains
Peuvent différencier 2000 à 3000 visages
L'exposition du photographe François Brunelle
" Je ne suis pas un sosie "
Dans ce monde subtilement nazi
Où toutes les idées se ressemblent
Bien plus que les physiques qui en pêle-mêle s'assemblent
En France, les idées du " Front national "
Sont dans tous les partis, c'est le capital
Mais des urnes, c'est la désertion
L'abstention, de la politique, veut la démission !
Et toute la racaille qui passe à la télévision
Toujours avec la même satisfaction !
Et pourtant, n'importe quel journal l'écrit
12 millions de morts et mortes, ô folie
Par la mauvaise qualité de l'air, cette lie
C'est dans le monde, chaque année
Cela devient une normalité !
La planète Terre est une chambre à gaz
Un gigantesque camp de concentration
Un gigantesque camp d'extermination
Néoparticules, pesticides, et autres poisons
Idéologies, croyances, travail, religions
Toutes les sortes de diverses pollutions
Le monde est devenu une poubelle
Nous y apportons notre petite corbeille
Il y eut des sociétés matrilinéaires
Femmes grandes comme les hommes, sociétés égalitaires
Puis vint l'horrible patriarcat
Qui à la femme, la nourriture confisqua
Ainsi, petit à petit, la femme rapetissa
Puis ce furent les Amazones, pas un mythe
Femmes guerrières des Scythes
La femme aussi peut le faire
L'archéologie doit réviser ses inventaires !
La vérité n'a pas le moindre ami
La vérité n'a pas le moindre amour
Car nous n'aimons pas la vérité
Nous ne pouvons pas la supporter !
Comme la pulpeuse actrice ( née en 1949 ) Fanny Ardant
A su le deviner, d'un air nonchalant
Toutes les activités humaines
Sont organisées dans et sur le mensonge
A cela, nos pensées sont naines
Aussi, la frustration, le ressentiment, nous rongent !
Je mens, tu mens, il ment, sans le savoir
Sinon, il n'y aurait aucun pouvoir
La vérité est sans cesse scotomisée
Car comme le soleil, elle peut nous aveugler
Aussi, le mensonge s'impose dans TOUT ce qui est manifesté !
Il faut ridiculiser tous les hommes politiques
Se gausser de toutes les femmes politiques
De ceux et celles qui votent pour cette répugnante colique
C'est cela qui fait le fascisme
C'est cela qui fait le nationalisme
C'est cela qui fait le stalinisme
C'est-à-dire le capitalisme
Partout le KGB, la Gestapo
Partout les kapos !

Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "


“No perdonamos hasta a los niños y a los locos ser honestos con nosotros: los otros, si tienen la audacia de imitarlos, se arrepentirán pronto o tarde. ”

E.M. Cioran (1911-1995)

Como el millón de comunistas exterminados
Por fuego (1921-2008) Soeharto, dictador indonesio
Y de antiguos de tortura de este régimen
Siguen a la televisión, la farsa
Y al cine, los antiguos verdugos
¡Pasan a ser víctimas, hacen lo bonitos!
De 1965 a 2014, siempre el desfile
Para lo que pasó a ser una charada
Como el más bonito metro del mundo
Moscú, el riesgo que eso inunda
Un día, te cavas, tres días, te bombas
A principios de 1932, primera línea en 1935
Es el gran edificio estalinista
Y también la denuncia, deportación, eliminación, en lleno
Fue el verdadero principio de esta parte
Luego sin ningún freno con la muerte de fuego (1868-1936) Maxime Gorki
TODO tiene una historia
El invisible y lo que se puede ver
Como las 70.000 personas hospitalizadas
En Francia, y esto cada año
A petición de un tercero
Para soplos delirantes severos
¡La salud mental, qué miseria!
Y también 600.000 esquizofrénicos, que yerran
Con medicamentos, es su sola señal
Todas las enfermedades de la sociedad
La sociedad de todas las enfermedades
Eso da el vértigo
Es necesario controlarlo para no caer
Como trepador (nacido en 1962) Alain Robert
Quién sube las vueltas de nuestras ciudades, como a Dubaï, 828 m, marca
Con su acrofobia, es de hierro, este trompe-la-mort
Oreja interna, vértigo vestibular
Y es aún muy cultural, obreros manuales
Como los amerindios sobre los raspadura-ciels
El equilibrio de su tribu, menosprecio del vértigo
Tribu del equilibrio, vértigo del menosprecio
Y no pasar para un cobarde
¡Libre de hacer en sus pantalones!
Y todas las heridas que sufrimos
Hacen que poco a poco, nos aislamos
Otros, así, nos protegemos
Por todo, de nada, nos trastornamos
Todos nuestros valores son nuestras prisiones
Somos cuchillas de maquinilla de afeitar
¡Son nuestras relaciones, sobre nuestras caras, él puede percibirlos!
Habrías debido escribir esto, no eso
Eso no observaba nadie, no es majo
Porqué hacer tanto guirigay
¡Puesto que todo el mundo se fija, aquí!
Qué que se haga, en el reino del separado
De todas formas, se herirá un resultar humano
Eso no es allí mi intención, sin querer que me disculpaba
¡Es la preocupación simplemente de veracidad!
Todas las actividades humanas tienen resbalones
Eso se oculta bien para no revelar nuestros defectos
Los pensamientos son atados por nuestras palabras
¡Secretamente todo el mundo en reguero!
En Francia, la línea de demarcación
De 1940 a marzo de 1943, 1200 km de longitud
Está siempre allí, no solamente en guerra
Y es siempre por todas partes la guerra
Pero en el mundo de los negocios
El ejército alemana se termina esto el
El ejército comercial es el infinito
Bien más sutil que lo dé una patada a nazi
La zona ocupada
Los pobres por una parte
La zona no ocupada
Los ricos por una parte
No se cambia nada nunca
Todo se camufla simplemente
Como para los hipermercados
Con las centrales para la compra
Sobre la calidad un verdadero escupitajo
Vuelve a embalar, délottage, y los márgenes
Déférencement, de los contratos a la mafia
Mucho volumen
Así los beneficios se inhalan
Y los proveedores que pierden guitas
Mercado paralelo, oculto
España, Polonia, y los precios que transfieren
Es la guerra de los precios
El precio de la guerra, ahí tienes la economía
Sólo escribo ideas
Pues, inútil de juzgarme
¿La autocrítica? basta con leerme
¿Y tú mismo? ¿y usted? ¡antes de maldecirme!
De todos estos pleitos
Que se me hace
Para mi, decírselo todo puede
Lo que escribo, todo el mundo se fija
¡Precisamente, que nada de importante no permanece al nicho!
La verdad no es de ningún puerto
Todo el mundo quiere su muerte
Persona, indemne no sale
Mí, ti, él, ellas, ellos
¡A TODO pone el fuego!
Todos y todas lo encendemos
Todos y todas lo apagamos
Todos y todas nos lo alimentaron
Todos y todas la falsificamos
Mí, uno dominado que nadie no aprecia
¡Y es muy bien así!
Una nariz humana
Puede percibir mil de mil millones de olores
A los matices diferentes, la nariz es astuta
¡No hay los nanoparticules, para nuestra desdicha!
Los ojos humanos
Pueden diferenciar 2000 a 3000 caras
La exposición del fotógrafo François Brunelle
“No soy un doble”
En este mundo sutilmente nazi
Dónde todas las ideas se parecen
Bien más que las físicas que en pala-mezclar se arman
En Francia, las ideas del “Frente nacional”
Están en todos los partidos, es el capital
Pero urnas, es la deserción
¡La abstención, de la política, quiere la dimisión!
Y todos los sinvergüenzas que pasan a la televisión
¡Siempre con la misma satisfacción!
Y con todo, cualquier Diario el escrito
12 millones muertes y muertas, ô locura
Por la mala calidad del aire, esta hez
Es en el mundo, cada año
¡Eso se convierte en una normalidad!
El planeta Tierra es una cámara de gas
Un gigantesco campo de concentración
Un gigantesco campo de exterminio
Néoparticules, pesticidas, y otros venenos
Ideologías, creencias, trabajo, religiones
Todas las clases de distintas contaminaciones
El mundo se convirtió en un cubo de basura
Hay nuestra pequeña cesta
Hubo sociedades matrilinéaires
Grandes mujeres como los hombres, sociedades igualitarias
Luego vino el horrible patriarcado
Quién a la mujer, la comida confiscó
Así pues, poco a poco, la mujer redujo
Luego fueron las Amazonas, no un mito
Mujeres belicosas de los Escitas
La mujer también puede hacerlo
¡La arqueología debe revisar sus inventarios!
La verdad no tiene el menor amigo
La verdad no tiene el menor amor
Ya que nos no gusta la verdad
¡No podemos soportarla!
Como la pulposa actriz (nacida en 1949) Fanny Ardant
Supo conjeturarlo, de un aire indolente
Todas las actividades humanas
Se organizan en y sobre la mentira
A eso, nuestros pensamientos son enanos
¡Por ello, la frustración, el resentimiento, nos corroen!
Miento, mientes, él miento, sin el conocimiento
Si no, no habría ningún poder
La verdad sin cesar scotomisée
Ya que como el sol, puede taparnos
¡Por ello, la mentira se impone en TODO lo que se manifiesta!
Es necesario ridiculizar todos los hombres políticos
Se gausser de todas las mujeres políticas
De los y aquéllas que votan por esta repugnando cólico
Es eso que hace el fascismo
Es eso que hace el nacionalismo
Es eso que hace el estalinismo
Es decir, el capitalismo
Por todas partes el KGB, la Gestapo
¡Por todas partes los kapos!

Patrice Faubert (2014) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway.fr”


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