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La prison est née de la notion de propriété
Por Patrice Faubert - Wednesday, Sep. 06, 2017 at 4:42 AM

La prison de la propriété...

La notion de propriété est née avec l ' apparition du patriarcat et la sédentarisation , et la fin des sociétés matrilinéaires , qui furent des sociétés égalitaires , sans aucune arme , et où la transmission des savoirs s ' effectuait de mère à fille .

" Lutte farouchement pour ce que tu crois être un noble idéal , mais abandonne tout effort , quand tu te sais battu . "

feu Hans Selye 1907-1982 ( l ' un des savants concepteurs de la notion de stress , dont la définition exacte est l ' inhibition de l ' action/réaction organique à l ' agression , selon feu Henri Laborit ) .

La prison est née de la notion de propriété . Nous savons par les travaux de feu la préhistorienne d ' origine Lituanienne Marija Gimbutas ( 1921-1994 ) que les premières civilisations furent avant tout matrilinéaires ( l ' héritage se transmet de mère en fille , l ' on sait qui est la mère mais pas le père ) . Il faut lire le monument archéologique qu ' est le livre de Gimbutas , " Le langage de la déesse " ( La civilisation de la déesse . Déesses et Dieux de la vieille Europe aux éditions harpercollins 1989 , puis en réédition aux éditions des femmes .)
Il semblerait que les guerres soient apparues avec la sédentarisation et la fixation au sol , ce qui engendra la constitution de la patrilinéarité , tout ceci découlant de l ' architecturation de la pratique de la propriété privée .

" Mes préférences : l ' âge des cavernes et le siècle des lumières . Mais je n ' oublie pas que les grottes ont débouché sur l ' Histoire et les salons sur la Guillotine . "

E.M. Cioran ( le mauvais démiurge 1969 )

Avec l ' apparition du patriarcat , ce sont les plus forts physiquement ou les plus malins , qui vont s ' approprier les biens et les choses , ainsi que les femelles des premières collectivités humaines . Ils en devinrent les chefs , les sorciers , les chamans et les prêtres . Tant que les ensembles humains furent sous la dynamique de la matrilinéarité ( des femmes polyandres et gérantes des communautés humaines ) , il n ' y eut point la guerre , il n ' y eut point d ' armes diverses non plus , et tout fut régi par un communisme de partage et d ' entraide , il n ' y eut point la moindre prison non plus , ni la moindre guerre . Mais la patrilinéarité va progressivement reléguer la femme dans un rôle subalterne . La notion de couple , comme la notion de prison , vont engendrer l ' appropriation privative des territoires . Les biens divers , le boeuf , les enfants , les femmes , les hommes , etc... ne vont plus appartenir à la collectivité en général , mais à un seul individu ou à quelques familles seulement .

Avec la structuration pyramidale des mentalités , et la naissance du patriarcat , il y a de cela plusieurs milliers d ' années , va naître aussi la cellule familiale . La notion de famille s ' architecturera et se fossilisera avec la construction du patriarcat . Le patriarcat a donc été une catastrophe pour l ' espèce humaine . La prison est constitutive de l ' appropriation privative .Un boeuf , une femme , un homme , une habitation , un bien , qui n ' appartiennent plus qu ' à un seul , une seule , doivent-être défendus et protégés . Et ceux et celles qui voudront s ' approprier ce boeuf ou ces divers êtres ou objets gratifiants , seront mis à l ' écart , dans un endroit clos d ' où ils/elles ne pourront s ' échapper .

Toutes les guerres sont nées avec l ' apparition de la notion de propriété ( c ' est un apprentissage ) , propriété , prison , guerre , sont les trois mamelles de la fin de la société communiste matrilinéaire ou matriarcale . De toutes les propriétés , la propriété sexuelle est la plus difficile à ne pas concevoir . Et d ' ailleurs l ' un des rares anarchistes individualistes à avoir écrit des livres sur la sexualité humaine est feu Emile Armand ( 1872-1963 ) . Et dans son livre " La camaraderie amoureuse .La révolution sexuelle " ) , il tente de prêcher pour " l ' amour libre " , mais depuis l ' apparition du patriarcat, nous apprenons la possession des choses , des êtres , des biens , des territoires , et ce depuis le berceau . Ce qui explique que beaucoup de communautés humaines , qui tentèrent des expériences communautaires communisantes , de partage sexuel , se soient effondrées .

" Ce serait bien d ' acheter des livres si l ' on pouvait acheter aussi le temps de les lire , mais on confond le plus souvent l ' achat des livres avec l ' appropriation de leur contenu . "

Arthur Schopenhauer ( 1788-1860 ) anthologie sur l ' art de l ' insulte

Mais , il suffirait néanmoins d ' apprendre et ce dès la naissance , autre chose que la propriété sexuelle ou autre , pour que nous consentions à tout partager , sans aucun effort , le plus " naturellement " du monde , et surtout sans aucune rivalité ni jalousie . Car ce ne sont pas les femelles ni les mâles qui manquent , et avec une autre éducation non privative , l ' on pourrait selon ses envies et ses goûts , avoir un ou plusieurs partenaires , vivre à deux , trois , quatre , cinq , etc ... notons au passage que la plupart des mammifères sont bisexuels . L ' orientation sexuelle peut-être bien évidemment un apprentissage socioculturel , et pas seulement , en tous les cas , une simple affaire de testostérone ou d ' oestrogènes ... car même ces fluides hormonaux , ces messagers chimiques , vont être orienté par toute une signalisation sociale et culturelle .

Mais ces messages sociaux et chimiques qui se combinent vont façonner les sexualités humaines . Le couple , la famille , les enfants , la prison , la guerre , sont donc des enfants de la notion de propriété , une notion de propriété très récente dans l ' histoire de l ' espèce humaine . Contrairement au personnage fictif Jean-Baptiste Botul ( 1896-1947 ) créé par le journaliste du canard enchaîné Frédéric Pagès et les oulipiens , Pat dit l ' invité lui est bien réel , en ces temps d'analphabétisation et d ' illettrisme spectaculaire marchand techno-industriel ou un article un peu " pointu " est jugé incompréhensible par la censure nèo-stalinienne , et donc refusé ou censuré . Mais peu nous importe , car nous sommes le diable , comme feu l ' acteur Jules Berry , dans le film fameux ( comme " Les enfants du paradis " 1945 ) " Les visiteurs du soir . "


Patrice Faubert ( 2010 ) peuète , pouète , puète , paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "


El concepto de propiedad nació con la aparición del patriarcado y la sedentarización, y el final de las sociedades matrilinéaires, que fueron sociedades igualitarias, sin ninguna arma, y donde la transmisión de los conocimientos se efectuaba de madre a muchacha.

“Lucha ferozmente para lo que crees ser un noble ideal, pero abandonas todo esfuerzo, cuando se sabes pegado. ”

fuego Hans Selye 1907-1982 (uno de los científicos diseñadores del concepto de tensión, cuya definición exacta es la inhibición de la acción/reacción orgánica a la agresión, según fuego Henri Laborit).

La prisión nació del concepto de propiedad. Sabemos por los trabajos de fuego a la prehistoriadora de origen Lituana Marija Gimbutas (1921-1994) que las primeras civilizaciones fueron sobre todo matrilinéaires (la herencia se transmite de madre en muchacha, se sabe que es la madre pero no el padre). Es necesario leer el monumento arqueológico que es el libro de Gimbutas, “la lengua de la diosa” (la civilización de la diosa. Diosas y Dioses de la vieja Europa a las ediciones harpercollins 1989, luego en edición a las ediciones de las mujeres.)
Parecería que las guerras hayan aparecido con la sedentarización y la fijación al suelo, lo que generó la constitución del patrilinéarité, todo esto derivándose del architecturation de la práctica de la propiedad privada.

“Mis preferencias: la edad de las cavernas y el siglo de las luces. Pero no olvido que las grutas desembocaron en la Historia y los salones en la Guillotina. ”

E.M. Cioran (el mal demiurgo 1969)

Con la aparición del patriarcado, son los más fuertes física o el más astuto, que va a apropiarse los bienes y las cosas, así como las hembras de las primeras colectividades humanas. Se volvieron los jefes, los brujos, los chamans y los sacerdotes. Mientras los conjuntos humanos estuvieron bajo la dinámica del matrilinéarité (de las mujeres poliandras y gerentes de las comunidades humanas), no hubo no la guerra, no hubo no distintas armas tampoco, y todo fue regulado por un comunismo de división y ayuda mutua, no hubo no la menor prisión tampoco, ni la menor guerra. Pero el patrilinéarité va progresivamente a relegar a la mujer en un papel subalterno. El concepto de par, como el concepto de prisión, van a generar la apropiación privativa de los territorios. Los distintos bienes, el buey, los niños, las mujeres, los hombres, etc… no van a pertenecer más a la colectividad en general, sino a un único individuo o a algunas familias sino.

Con la estructuración piramidal de las mentalidades, y el nacimiento del patriarcado, hay de eso varios millares de años, va a nacer también la unidad familiar. El concepto de familia se estructurará y se fosilizará con la construcción del patriarcado. El patriarcado pues fue una catástrofe para la raza humana. La prisión es constitutiva de la apropiación privativa. Un buey, una mujer, un hombre, una vivienda, un bien, que no pertenece ya que a uno sólo, una sola, deben-ser defendidos y protegidos. Y los y se apartarán las que querrán apropiarse este buey o estos distintos seres u objetos gratificantes, en un lugar cerrado de ahí ellos/no podrán escaparse.

Todas las guerras nacieron con la aparición del concepto de propiedad (es un aprendizaje), propiedad, prisión, guerra, son las tres ubres del final de la sociedad comunista matrilinéaire o matriarcal. Por todas las propiedades, la propiedad sexual es la más difícil de concebir. Y por otra parte uno de los raros anarquistas individualistas a haber escrito libras sobre la sexualidad humana es fuego Emile Armand (1872-1963). Y en su libro “el companerismo enamorado. La revolución sexual”), intenta predicar para “el amor libre”, pero desde la aparición del patriarcado, aprendemos la posesión de las cosas, de los seres, de los bienes, de los territorios, y esto desde la cuna. Lo que explica que muchas comunidades humanas, que intentaron experiencias comunitarias communisantes, de división sexual, se hayan hundido.

“Sería bien comprar libras si se pudiera comprar también el tiempo de leerlos, pero se confunde generalmente la compra de los libros con la apropiación de su contenido. ”

Arthur Schopenhauer (1788-1860) antología sobre el arte del insulto

Pero, bastaría sin embargo con aprender y esto a partir del nacimiento, otra cosa que la propiedad sexual u otra, para que realizáramos a compartirlo todo, sin ningún esfuerzo, el “lo más naturalmente posible” del mundo, y sobre todo sin ninguna rivalidad ni celos. Ya que no son las hembras ni los varones que faltan, y con otra educación no privativa, se podría según sus deseos y sus gustos, tener uno o más socios, vivir dos, tres, cuatro, cinco, etc… tienen en cuenta al paso que la mayoría de los mamíferos son bisexual. La orientación sexual quizá obviamente un aprendizaje sociocultural, y no solamente, en todos los casos, un simple asunto de testosterona o estrógeno… ya que incluso estos fluidos hormonales, estos mensajeros químicos, van a ser orientados por toda una indicación social y cultural.

Pero estos mensajes sociales y químicos que se combinan van a trabajar las sexualidades humanas. El par, la familia, los niños, la prisión, la guerra, son pues niños del concepto de propiedad, un concepto de propiedad muy reciente en la historia de la raza humana. Contrariamente al personaje ficticio Jean-Baptiste Botul (1896-1947) creado por el periodista del pato conectado Frédéric Pagès y los oulipiens, Estancamiento dicho la huésped le es bien real, en este tiempo de analphabétisation y analfabetismo espectacular comercial tecnoindustrial o se rechaza o se censura un artículo un poco “puntiagudo” es juzgado incomprensible por la censura neoestalinista, y en consecuencia. Pero poco nos importan, ya que somos el diablo, como fuego el protagonista Jules Berry, en la película famosa (como “los niños del paraíso” 1945) “los visitantes de la noche. ”


Patrice Faubert (2010) peuète, pouète, puète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway.fr”

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