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Polémologie d'épistémologie
Por Patrice Faubert - Friday, Jan. 26, 2018 at 6:14 AM

L'ethnologie de la technologie...

Tout mot
Est une madeleine de Proust
Comme un parfum qui jamais ne dit, ouste
Toujours prêt à nous mettre une rouste
Comme le mot zodiac
Me fait penser à Greenpeace
Contre les pollutions, de bons maniaques
Contre le nucléaire, des actions bienfaitrices
Organisation qui naquit en 1970
Au début, à peine plus de dix
Avec très peu de moyens
Puis, très solides, devinrent leurs reins
Du Phyllis Cormack au Raimbow Warrior 1
Qui fut coulé, c'est pas malin
Par les services secrets français
Car s'opposer au nucléaire, non mais
Aujourd'hui, cette organisation
Comptabilise 3 millions d'adhérents et de donateurs, fusion
C'est ce qui leur permet une certaine indépendance
Pour tenter d'empêcher certaines démences !
Car le profit
Ne respecte que le profit
Peu lui importe, les phoques et autres baleines
De tout ce qui lui rapporte, il dégaine
Le profit fait l'impasse de la vie
Il en sera toujours ainsi
Tant que cela ne sera pas l'anarchie !
Parfois, le profit, à sa source
Il revient faire ses courses
Quand les excréments humains
Et d'autres animaux comme les cochons
Se transforment en biogaz, comme en Chine, la magie du colon
Faut pas le dire, c'est pas bien
Colombin, étron, fèces, c'est pas beau
Sauf pour les gosses, caca, pipi
De notre mentalité de fécophobie
Pourtant et on l'oublie
Avec l'urine de la population des Pays-Bas
On pourrait faire décoller une fusée, voilà !
Voici la véritable écologie
L'urine, les excréments, comme autonomie
Se chauffer avec de la bouse de vache
Se soigner en buvant de l'urine
Ce qui ne rend pas l'humeur chagrine
Directement à la vulve ou au vit
Pour éviter le moindre gâchis
Tous les primates le font, aucun ne s'en cache
De toutes les espèces, étrons et colombins, tout ce qui se fait
Montre-moi ta crotte, je te dirais qui tu es
C'est le Pérou
C'est le guano
Un formidable engrais, le gros lot
L'écologie vraie est fécophile, c'est tout
Car ce sont les excréments qui disséminent
Les graines, pour que les paysages, s'illuminent
Par les éléphants et autres bestioles
Les fèces, indispensables babioles
Et toutes les crottes de plancton
Qui sont le caviar de la vie abyssale
La pisse, la merde, c'est pourtant banal
Plus que jamais, tabou, c'est mal
Nonobstant, c'est aussi cela la révolution !
Et si cela devient une nouvelle mode
Pour sauver le capital, un nouveau code
Le capital peut tout récupérer
Sans renier son apport en énergie, il faudra s'en démarquer
Chaque être humain est une usine
Méthane, azote, et autre chimie, une véritable mine
Comme de l'énergie solaire
L'énergie humaine est un savoir-faire
Le lait des femmes en fromage
L'étron de l'espèce humaine comme combustible
L'urine comme cosmétique
L'urine comme vitamine dynamique
Voilà une écologie saine et sage
Il y aurait tant à faire
Dans une société révolutionnaire
A partir du soleil, à partir du vent
A partir de l'eau, à partir des éléments
De l'urine, du lait, des excréments
Il y aurait tant à faire
De nouvelles vies, des gens mutants
Urinothérapie, biogaz, de l'énergie révolutionnaire
Le mieux que l'on su faire à toutes les époques
Tout synthétiser, tout appliquer, en ce domaine, pas d'équivoque !
Mais rien ne se fera vraiment
Avec le militant qui milite pour militer
Mais rien ne se fera vraiment
Avec l'intellectuel qui intellectualise pour intellectualiser
Mais rien ne se fera vraiment
Avec l'artiste qui fait de l'art pour l'art
C'est comme en sprint, le faux départ
Jamais en avance, toujours en retard
Jeunes ou vieux
C'est l'ennui, c'est l'admiration
Cela fait le jaloux, cela fait l'envieux
Et toutes les fausses révolutions !
Le monde ainsi organisé
Ne peut fonctionner que dans la pensée séparée
Ainsi, nous aimons ou nous croyons aimer
Ce que font les gens
Mais ce que sont les gens
Nous ne l'aimons pas
J'aime votre peinture
Mais pas vous
J'aime votre poésie
Mais pas vous
J'aime votre travail
Mais pas vous
J'aime vos idées ou votre façon de parler
Mais pas vous
Et tout procède ainsi
Ce qui est une hypocrisie
Car il n'y a pas d'amitié
Car il n'y a pas d'amour
Dans la société spectaculaire marchande techno-industrielle
Où tout est séparé, chacun et chacune, dans sa poubelle
Le capital ne produit que de la rivalité
Rivalité de pensée, pensée de rivalité
Toutes les idéologies comme toutes les religions
Tous les partis comme toutes les organisations
L'idéologie de la contestation
N'est pas la contestation de l'idéologie
Toute idéologie est une infamie
Toute religion est une supercherie
Tout naît du besoin de se sentir aimer
Et ainsi, pour cela, dans une hiérarchie, de s'élever !
Ainsi, si feu ( 1895-1960 ) Clara Haskil
La prodigieuse pianiste, n'avait pas été scoliotique, déformante maladie
Dans un autre domaine, elle aurait été une rose
Même l'infirmité peut se sublimer
Afin de se faire quand même aimer
Lorsque l'on est pas un prix de beauté
Ou que psychologiquement l'on soit fracassé
Et les exemples peuvent être multipliés !
Comme
Pour de la patrie, se faire aimer
1914/1918, les mutilés, les amputés, les diminués
Les aveugles, les culs-de-jatte, les cinglés
Le sang des familles
Pour l'armée, un jeu de billes
Mais ils y sont allés
Mais ils se sont donnés
Le pays peut les respecter
La guerre, quelle bêtise, quelle incongruité
Ah ! la belle victoire
Ah ! la belle gloire
Comme les chèvres qui béguètent
Et que l'on mène à la baguette
Et cinquante pour cent des jouets de 1914/1918
Des jouets de guerre, cela ne pouvait être autrement
De toutes façons, l'école était et est toujours un régiment
Enfants de 1918, soldats de 1940, débâcle partout
A l'enfant l'on mentait tout le temps
Ainsi, l'on ne mourait pas, l'on disparaissait
Voilà comment l'on fabrique des niais !
Discours de la guerre
Guerre du discours
1914/2014, d'autres guerres, toujours
Et la forêt de la technologie
Rites volés aux indiens d'Amazonie
Totémisme, animisme, chamanisme, analogisme
Tout est envahi par la technologie
L'ethnologie de la technologie
La technologie de l'ethnologie
L'argent en place de la plume, comme seul diadème
Le seul qui sème, le seul que l'on aime
Tout est absolument rien
Rien est absolument tout
Il n'y a pas plus grande folie
Que l'organisation présente de la vie
Une seule issue, l'anarchie !

Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "

Toda palabra
Es una madeleine de Proust
Como un perfume que nunca no dice, ouste
Siempre listo para ponernos un rouste
Como la palabra zodiac
ME hace pensar a Greenpeace
Contra las contaminaciones, de órdenes maníacas
Contra nuclear, de las acciones benefactoras
Organización que nació en 1970
Al principio, apenas más de diez
Con muy pocos medios
Luego, muy sólidos, pasaron a ser sus riñones
De Phyllis Cormack al Raimbow Warrior 1
Quién se pasó, no es astuto
Por los servicios secretos franceses
Ya que oponerse a nuclear, no pero
En la actualidad, esta organización
Contabilice 3 millones de miembros y donantes, fusión
Es lo que les permite una determinada independencia
¡Para intentar impedir algunas demencias!
Ya que el beneficio
Sólo respeta el beneficio
Poco le importan, las focas y otras ballenas
De todo lo que le informa, desenvaina
El beneficio hace el callejón sin salida de la vida
Será siempre así
¡Mientras eso no será la anarquía!
A veces, el beneficio, a su fuente
Vuelve de nuevo hacer sus cursos
Cuando los excrementos humanos
Y de otros animales como los cerdos
Se transforman en biogás, como en China, la magia del colono
No es necesario decirlo, no está bien
Palomina, étron, depositan, no es bonito
Excepto para los niños, caca, pipí
De nuestra mentalidad de fécophobie
Con todo y se lo olvida
Con la orina de la población de Países Bajos
¡Se podría hacer quitar un cohete, aquí!
Ahí tienes la verdadera ecología
La orina, los excrementos, como autonomía
Calentarse con el estiércol de vaca
Ocuparse bebiendo de la orina
Lo que no vuelve el humor apesadumbra
Directamente a la vulva o a vive
Para evitar el menor gasto
Todos los primates lo hacen, ninguno se oculta
Por todas las especies, étrons y palominas, todo lo que se hace
Muestra -moi tu porquería, te diría que eres
Es Perú
Es el guano
Un formidable abono, el primer premio
La ecología verdadera es fécophile, es todo
Ya que son los excrementos que difunden
Las semillas, para que los paisajes, se iluminen
Por los elefantes y otros bichitos
Los depositas, indispensables chucherías
Y todas los tiznas de plancton
Quiénes son el caviar de la vida abisal
Pisa, la mierda, es con todo banal
Más que nunca, tabú, está mal
¡A pesar de, es también eso la revolución!
Y si eso se convierte en un nuevo método
Para salvar el capital, un nuevo código
El capital puede recuperárselo todo
Sin rechazar su contribución en energía, será necesario saldarse
Cada ser humano es una fábrica
Metano, nitrógeno, y otra química, una verdadera mina
Como la energía solar
La energía humana es unos conocimientos técnicos
La leche de las mujeres en queso
El étron de la raza humana como combustible
La orina como cosmético
La orina como vitamina dinámica
He aquí una ecología sana y sabia
Habría tanto que hacer
En una sociedad revolucionaria
A partir del sol, a partir del viento
A partir del agua, a partir de los elementos
Orina, leche, excrementos
Habría tanto que hacer
Nuevas vidas, gente mutante
Urinothérapie, biogás, de la energía revolucionaria
Mejor que se sabido lo hacer a todos los tiempos
¡Sintetizarlo todo, no aplicar todo, en este ámbito, equívoco!
Pero no se hará nada de verdad
Con el militante que milita para militar
Pero no se hará nada de verdad
Con el intelectual que intelectualiza para intelectualizar
Pero no se hará nada de verdad
Con el artista que hace el arte para el arte
Es como en SPRINT, la salida falsa
Nunca con anticipación, siempre en retraso
Jóvenes o viejos
Es el problema, es la admiración
Eso hace el celoso, eso hace el envidioso
¡Y todas los falseas revoluciones!
El mundo así organizado
No puede funcionar que en el pensamiento separado
Así pues, gustamos o creemos gustar
Lo que hace la gente
Pero lo que son la gente
Nos no lo gusta
Me gusta su pintura
Pero no ustedes
Me gusta su poesía
Pero no ustedes
Me gusta su trabajo
Pero no ustedes
Me gusta sus ideas o su manera de hablar
Pero no ustedes
Y todo procede así
Lo que es una hipocresía
Ya que no hay amistad
Ya que no hay amor
En la sociedad espectacular comercial tecnoindustrial
Dónde todo es separado, cada uno y cada una, en su cubo de basura
El capital sólo produce rivalidad
Rivalidad de pensamiento, pensada de rivalidad
Todas las ideologías al igual que las religiones
Todos los partidos al igual que las organizaciones
La ideología del conflicto
No es el conflicto de la ideología
Toda ideología es una infamia
Toda religión es una superchería
Todo nace de la necesidad de sentirse gustar
¡Y así, para eso, en una jerarquía, de elevarse!
Así pues, si fuego (1895-1960) Clara Haskil
El extraordinario pianista, no había sido scoliotique, deformando enfermedad
En otro ámbito, habría sido una rosa
Incluso la enfermedad puede sublimarse
Con el fin de hacerse a pesar de todo gustar
Cuando no se es un precio de belleza
O que psicológicamente se esté roto
¡Y los ejemplos pueden multiplicarse!
Como
Para la patria, hacerse gustar
1914/1918, los mutilados, los cortados, el disminuidos
Los ciegos, el culs-de-jatte, el singlados
La sangre de las familias
Para el ejército, un juego de bolas
Pero hay
Pero se dieron
El país puede respetarlos
La guerra, qué idiotez, qué incongruencia
¡Oh! la bonita victoria
¡Oh! la bonita gloria
Como las cabras que béguètent
Y que se conduce a la barra
Y cincuenta para - cientos de los juguetes de 1914/1918
Juguetes de guerra, eso no podían ser diferentemente
De todas formas, la escuela era todavía y es un regimiento
Niños de 1918, soldados de 1940, derrumbamiento por todas partes
Al niño se mentía todo el tiempo
Así pues, no se moría, se desaparecía
¡Aquí cómo se fabrica negaban!
Discurso de la guerra
Guerra del discurso
1914/2014, otras guerras, siempre
Y el bosque de la tecnología
Ritos robados a los indios de Amazonia
Totémisme, animismo, chamanisme, analogismo
Todo se invade por la tecnología
La etnología de la tecnología
La tecnología de la etnología
El dinero existente de la pluma, como sola diadema
El solo que siiembra, solo que se gusta
Todo es nada absolutamente
Nada es todo absolutamente
No hay mayor locura
Que la organización presente de la vida
¡Una única salida, la anarquía!

Patrice Faubert (2014) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway.fr”






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