Julio López
está desaparecido
hace 6401 días
versión para imprimir - envía este articulo por e-mail

Tout est à repenser
Por Patrice Faubert - Tuesday, Feb. 27, 2018 at 7:10 AM

L'extrême gauche, la gauche, l'extrême droite, la droite, des bourgeoisies et du capital...

" Au fond , on sent aujourd'hui , à la vue du travail - on vise toujours sous ce nom le dur labeur du matin au soir , qu ' un tel travail constitue la meilleure des polices , qu ' il tient chacun en bride et s ' entend à entraver puissamment le développement de la raison , des désirs , du goût de l ' indépendance . Ainsi une société où l ' on travaille dur en permanence aura davantage de sécurité : et l ' on adore aujourd'hui la sécurité comme la divinité suprême . Le travail est une police sociale . "

( Friedrich Nietzsche - 1844-1900 )

Un bourgeois/une bourgeoise , est-ce un habit particulier ?
Un bourgeois/une bourgeoise , est-ce une profession particulière ?
Un /une prolétaire est-ce un habit particulier ?
Un métier particulier ?
Est-ce avant tout dans la tête ?
Une conception de la vie ?
Si vous considérez que les hiérarchies sont nécessaires , vous êtes un bourgeois ou une bourgeoise . Si vous considérez les inégalités comme " naturelles " , vous êtes un bourgeois ou une bourgeoise . Si vous considérez les compétitions comme inévitables , vous êtes un bourgeois ou une bourgeoise .
Si vous estimez " logique " qu ' il y ait des riches et des pauvres , vous êtes un bourgeois ou une bourgeoise .
Si vous pensez qu ' il faudra toujours des chefs et cheffesses , vous êtes un bourgeois ou une bourgeoise .
Si vous pensez que tout est à revoir , que tout est à reconstruire , que tout est à repenser , et que vous ne reconnaissez aucune autorité d ' où qu ' elle vienne , même " anarchiste " , vous êtes un ou une prolétaire , et vous considérez que vous n ' avez rien à perdre dans la société spectaculaire marchande techno-industrielle , mais au contraire tout à gagner à sa disparition .Et peu nous chaut des costumes et panoplies , car il est si facile de se déguiser . Comme les bourgeoises des beaux quartiers de Paris ( ce qu ' il en reste ) , qui achètent et mettent des jeans troués ou rapiécés à la façon mode . J ' en ai porté , jadis , mais c ' était là , l ' usure de la pauvreté ,et si l ' on m ' avait dit que cela se vendrait un jour ... donc , ce n ' est pas l ' habit qui fait le bourgeois ou le prolétaire . Pas forcément du moins ...

" Les individus sont tels qu ' ils manifestent leur vie . Ce qu ' ils sont coïncide donc avec leur production , aussi bien par ce qu ' ils produisent que par la manière dont ils le produisent . "

Marx ( 1818-1883 ) Engels ( 1820-1895 ) " L ' Idéologie allemande ( 1846 ) "

Cela dit , un/une prolétaire restera un/une prolétaire même déguisé /habillé en " bourgeois/bourgeoise " , et un bourgeois ou une bourgeoise , restera un bourgeois ou une bourgeoise , même déguisé /déguisée , habillé/habillée en " prolétaire " .
Et les pirates aiment parfois se déguiser , pour mieux surprendre l ' ennemi . J ' ai moi-même piraté deux livres de feu Guy Ernest Debord ( 1931-1994 ) , " Commentaires sur la société du spectacle " et le " Panégyrique " avec l ' accord de sa veuve Alice Becker-ho Debord , en 1994 , pour en faire deux films expérimentaux en vhs , et qui furent mis en vente à la librairie " Parallèles " principalement , et aussi à la librairie du " Monde libertaire " à Paris .
Le /la pirate des années 2000 et avant , est un adepte du détournement de la cargaison théorique , un luron /une luronne de l ' épave critique , un chercheur /une chercheuse de la théorie critique qui est critique de la théorie .
Le/la pirate s ' habille avec les vêtements qu ' on lui donne ou avec les vêtements qu ' il/elle vole . Mais , il est évident qu ' à force de théoriser , l ' on ne fait plus rien , sinon à brasser du vent . De même qu ' à force de critiquer tout ce qu ' y se fait , l ' on ne fait soi-même plus rien ou presque . C ' est une position contemplative , purement spéculative , qui peut devenir dans sa propre contemplation , du dédain , du supériorisme élitiste , qui devenant idéologie contre l ' idéologie , devient réactionnaire dans son positionnement d ' avant-garde anti - avant - garde . N ' oublions pas que c ' est d ' être stationnaire , que trop philosopher .Je me souviens des années 70 où je taguais des CGT=SS sur les murs de Paris et sa région , et aussi des CRS=SS . C ' était une époque où les staliniens et fascistes nous pourchassaient dans les ruelles , rien qu ' à nos têtes .Un paradoxe , car j ' ai été brièvement à une CGT anarchosyndicaliste , et ce pendant quelques semaines , début 70 , contre la CGT stalinienne , en quelque sorte . Peu importe le nom d ' un syndicat , seulement importe ce qu ' on y fait ou n ' y fait pas , surtout !

" Quelque plein que le monde soit de fous et de sots , il n ' y a personne qui le croie être , ni même qui s ' en soupçonne . "

( Baltasar Gracian - 1601-1658 )

A une fête du journal " L ' humanité " , au début des années 1970 , des gros bras de la CGT/PCF avaient pris en chasse des fumeurs de haschich , pour les embarquer en fourgonnette , puis les avaient laissé nus dans un lieu désert . Cela fit scandale , car le journal " Libération " s ' en était fait l ' écho , après avoir pris connaissance des témoignages recueillis . Dans les manifestations des années 1970 , les cégétistes staliniens pourchassaient tout ce qui était anarchiste ou féministe ...et oui , il suffit de relire la presse de l ' époque ! est-ce toujours si différent en 2010 . Et si tout a été déjà fait , que peut-il y avoir encore de nouveau ? de la piètre réactualisation , de la mesquine imitation , avec beaucoup de vernis , c ' est tout . Et c ' est bien sûr , valable , pour toute la surface des choses . qui n ' est que les choses de la surface . Et souvenons-nous que pendant la révolution bourgeoise française , certains/certaines réclamaient pas moins de 240.000 têtes ! pas étonnant qu ' un million d ' aristocrates se soient enfuis de France , dès 1989 à la prise de la Bastille . Les " révolutionnaires " de notre pauvre temps sans aucune vie historique sont devenus bien tolérants et bien mous , un pacifisme qui fait bien rire les 64 bourgeoisies . Offrez leur des fleurs , pendant que vous y êtes !
Nous savons bien qu ' il y a dans les manifestations libertaires , des fils/filles de bonne famille , qui sont " anarchistes " à vingt ans , et conservateurs à trente ans . Nous ne leur en voulons pas d ' être des fils/filles de bonne famille , nous leur en " voulons " de trahir et de changer de camp , une fois leurs études terminées . Bref ... la culture est de plus en plus , une culture de télévision , et une culture de cinéma . Une " culture " où tout est mâché , pour que la digestion en soit plus facile . Une culture obtenue sans effort aucun , de compréhension , comme l ' exige , par exemple , la culture du livre . Chaque page d ' un livre didactique obligeant à l ' effort de l ' attention et de la compréhension . L ' on est acteur /actrice dans la lecture , et spectateur /spectatrice dans la culture de télévision ou de cinéma .
De nos jours , l ' homme et la femme , l ' enfant , de la rue , qui regardent des documentaires sur certaines chaines de télévision , en savent plus que le plus grand des érudits et savants d ' il y a quelques décennies . Faut - il s ' en réjouir ou s ' en désespérer ? cela n ' a pas l ' air de rendre plus intelligent , en tous les cas ... et puis un certain Joseph Goebbels ( 1897-1945 ) était docteur en philologie allemande , et non en philosophie bien sûr , comme je l ' ai moi-même cru et colporté un certain temps , par ignorance . Car nous sommes avant tout des ignorants/ignorantes , même si nous nous imaginons " savoir " des choses ...

" Qu ' est-ce que le crime ? un attentat contre la vie humaine perpétré dans certaines conditions . Cela veut dire , que parfois , la suppression des vies humaines est récompensée de façon honorifique . Tandis que dans d ' autres cas on voue l ' individu à l ' exécration universelle . "

Raymond Callemin dit Raymond la science ( 1890-1913 ) compagnon de Jules Joseph Bonnot ( 1876-1912 )

C ' est quoi l ' intelligence ?
C ' est quoi la culture ?
La culture bourgeoise , la culture prolétarienne ?
L ' intelligence bourgeoise , l ' intelligence prolétarienne ?
Encore une fois , nous avons , nous les animaux humains , beaucoup de culture technique , et peu ou pas du tout , d ' intelligence relationnelle .
La querelle qui opposa Karl Marx ( 1818-1883 ) à Mikhaïl Bakounine ( 1814-1876 ) , sur le lumpenprolétariat , le prolétariat en haillons( dixit Marx ) , ou sous - prolétariat , se réactualise de nos jours , avec le sous - prolétariat des cités . Pour d ' aucuns/d ' aucunes , c ' est la racaille , et bien , j ' en suis ! faut-il ne rien avoir à perdre pour vouloir faire une révolution ? mais hélas aussi , les gens qui n ' ont rien , veulent tout ce qu ' ils/elles n ' ont pas , le plus souvent . C ' est le réflexe marchand . Donc , qui n ' a rien , peut aussi devenir mercenaire du capital , au plus offrant , pour avoir un peu plus .Et qui n ' a vraiment rien à perdre ? le peu que l ' on a , l ' on s ' y accroche avec l ' énergie du désespoir qui est le désespoir de l ' énergie . Un salaire , un emploi , une femme , un homme , une maison même petite , des livres , une région , la famille , des biens matériels , les enfants et toutes les possessions qui nous possèdent .

" Le patriotisme n ' est pas seulement le dernier refuge des coquins , c ' est aussi le premier piédestal des naïfs et le reposoir favori des imbéciles . "

Georges Darien ( 1862-1921 )

Donc , tant Marx que Bakounine avaient vu juste , tous les deux , sur le sous - prolétariat, simplement ce sont les circonstances situationnelles qui donneront raison à l ' un ou à l ' autre . Les deux propositions étant vraies . Les dépossédés/dépossédées de tout , pouvant aussi bien se situer à l ' extrême gauche qu ' à l ' extrême droite du capital .
Mais qui voudrait d ' une révolution pour avoir moins d ' avantages après ?
Mais qui voudrait d ' une révolution pour continuer à se faire la gueule après ?
Mais qui voudrait d ' une révolution qui deviendrait vite contre - révolution , si les gens qui ont fait la " révolution " n ' ont pas eux-mêmes changés ?
Mais qui voudrait d ' une révolution où l ' on emploierait toujours les mêmes mots , où l ' on croirait toujours à cette idiotie qu ' est l ' astrologie , où l ' on continuerait à jouer à des jeux d ' argent comme le loto , le tiercé , et autres jeux qui sont des produits de la misère . Une religion en soi .

" Toutefois , Bakounine ne se rendit pas en Espagne . Il y envoya Guiseppe Fanelli , un allianciste italien qui jeta dans la péninsule ibérique les bases de l ' Internationale . En février 1869 , il créait une section à Madrid avec le graveur Morago , le typographe Lorenzo . En mai , il en fondait une autre à Barcelone avec les cousins Pellicer . Ainsi l ' anarchie prenait racine sur une terre où elle devait prospérer plus qu ' en nul autre pays . "

Guy Lemonnier alias Claude Harmel , nazi français pendant la guerre de 1940 , mais nonobstant un bon historien . ( Histoire de l ' anarchie , des origines à 1880 - Editions Champ Libre , 1984 )

Une révolution ne doit jamais s ' arrêter , sous prétexte de finir comme la révolution bourgeoise en France , il ne faut aucune halte , sinon elle dépérit très rapidement , et la révolution redevient une nouvelle classe oppressive et dictatoriale . Ce qui est toujours advenu jusqu ' à présent . En France , ce sont toujours , et depuis 1789 , les fractions de la bourgeoisie victorieuse qui s ' affrontent , en quatre segments , à savoir , une extrême gauche , une gauche , une droite , une extrême droite . Quatre segmentations parfaitement intégrées au capital . Et ces segments sont présents ( mais bien scotomisés ) , même dans le mouvement anarchiste organisé .
Tout devra se faire anonymement , tant dans les arts , que dans les sciences , chacun/chacune n ' étant que tous/toutes les autres . Jusqu ' à la disparition des arts et des sciences qui ne seront plus d ' aucune utilité à une humanité débarrassée de toute inhumanité , justement !
Tout autre sera soi , soi sera tout autre . L ' on ne travaillera plus , l ' on s ' amusera aux diverses taches indispensables à la vie de la cité ou des cités . L ' on pourra changer à tout moment d ' activité , de métier , de lieu , de vie , selon son bon vouloir .
Car en vérité , je vous le dis ( comme Jésus Christ , qui n ' a lui , jamais existé ) , il n ' y a présentement aucune vie sur la planète Terre . Certes , il y a de la vie chimique , biologique , bactérienne , virale , mais l ' on y cherche toujours , en vain , une parcelle de conscience .

Patrice Faubert ( 2010 ) pouète , peuète , puète , paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway index "


“Básicamente, se siente hoy, a la vista del trabajo - se contempla siempre bajo este nombre el duro trabajo de la mañana por noche, que tal trabajo constituye el mejor de las policías, que tiene cada uno ata y se entiende a obstaculizar enérgicamente el desarrollo de la razón, los deseos, el gusto de la independencia. Así una sociedad donde se trabaja duro seguridad permanentemente tendrá aún más: y se adoran hoy la seguridad como el divinidad supremo. El trabajo es una policía social. ”

(Friedrich Nietzsche - 1844-1900)

¿Un burgués/una burguesa, es una ropa particular?
¿Un burgués/una burguesa, es una profesión particular?
¿/une proletario es una ropa particular?
¿Un oficio particular?
¿Está sobre todo en la cabeza?
¿Una concepción de la vida?
Si considera que las jerarquías son necesarias, es un burgués o una burguesa. Si da desigualdades por “naturales”, es un burgués o una burguesa. Si da las competiciones por inevitables, es un burgués o una burguesa.
Si considera “lógicos” que haya ricos y pobres, es un burgués o una burguesa.
Si piensa que será necesario siempre jefes y cheffesses, es un burgués o una burguesa.
Si piensa que revisárselo todo debe, que reconstruírselo todo debe, que reconsiderárselo todo debe, y que no reconoce a ninguna autoridad de ahí que viene, incluso “anarquista”, es uno o un proletario, y considera que no tiene nada que perder en la sociedad espectacular comercial tecnoindustrial, pero al contrario muy a ganar a su desaparición. Y poco nosotros chaut de los trajes y panoplias, ya que es tan fácil disfrazarse. Como las burguesas de los bonitos barrios de París (lo que permanece), que compran y ponen vaqueros perforados o remendados a la manera método. Llevé, antes, pero era allí, el desgaste de la pobreza, y si se lo hubiera dicho que eso se vendería un día… pues, no es la ropa que hace al burgués o al proletario. No inevitablemente al menos…

“Los individuos son tales que manifiestan su vida. Lo que son coincidido pues con su producción, tan por lo que producen que por la manera en que lo producen. ”

Marx (1818-1883) Engels (1820-1895) “la Ideología alemana (1846)”

Dicho esto, un/une proletario seguirá siendo un/une proletario incluso disfrazado /habill é en “burgués/burguesa”, y un burgués o una burguesa, seguirá siendo un burgués o una burguesa, incluso disfrazado /d éguisée, equipado/equipada en “proletario”.
Y a los piratas les gusta a veces disfrazarse, para sorprender mejor al enemigo. Yo mismo pirateé dos libros de fuego Guy Ernest Debord (1931-1994), de “Comentarios sobre la sociedad del espectáculo” y el “Panegírico” con el acuerdo de su viuda Alice Ho Debord, en 1994, para hacer dos películas experimentales en vhs, y que se pusieron en venta a la librería “Paralelos” principalmente, y también a la librería del “Mundo libertario” en París.
/la pirateó años 2000 y antes, es un adepto del desvío de la carga teórica, un jaranero /une luronne del pecio crítico, un investigador /une investidagor de la teoría crítica que es crítica de la teoría.
El pirata se equipa con las prendas de vestir que se le dan o con las prendas de vestir que robado. Pero, está claro que a fuerza de teorizar, no se hace ya nada, si no elaborar cerveza del viento. Así como a fuerza de criticar todo lo que allí se hace, no se hace uno mismo más nada o casi. Es una posición contemplativa, puramente especulativa, que puede pasar a ser en su propia contemplación, del desprecio, del supériorisme elitista, que volviéndose ideología contra la ideología, se vuelve reaccionaria en su localización de vanguardia anti - vanguardia. No olvidan que es ser estacionario, que demasiado filosofar. Me acuerdo de los años 70 dónde taguais de los CGT=SS sobre las paredes de París y su región, y también de los CRS=SS. Era un tiempo en que los estalinistas y fascistas nos llevaban a cabo en las callejuelas, nada que a nuestras cabezas. Una paradoja, ya que fue brevemente de un CGT anarchosyndicaliste, y esto durante algunas semanas, principio 70, contra el CGT estalinista, hasta cierto punto. ¡Qué más da el nombre de un sindicato, solamente importa lo que se allí hecho o no se hace, sobre todo!

“Algún lleno que el mundo sea de locos y tontos, no hay persona que lo crea ser, ni incluso que se sospecha. ”

(Baltasar Gracian - 1601-1658)

A una fiesta del Diario “la humanidad”, a principios de los años setenta, de los grandes brazos del CGT/PCF habían tomado en caza fumadores de hachís, para embarcarlos en furgoneta, luego los habían dejado desnudos en un lugar desértico. Eso hizo escándalo, ya que el Diario “Liberación” se había hecho eco, después de haber tenido conocimiento de los testimonios recogidos. ¡En las manifestaciones de los años setenta, los cegetistas estalinistas llevaban a cabo todo lo que era anarquista o feminista sí… y, él bastan con releer la prensa del tiempo! es siempre tan diferente en 2010. ¿Y si ya todo se hizo, lo que puede hay aún de nuevo? de la pobre reactualización, de la pequeña imitación, con muchos barnices, es todo. Y es por supuesto, válido, para toda la superficie de las cosas. quién no es más que las cosas de la superficie. ¡Y se acuerdan que durante la revolución burguesa francesa, algunos/algunas no reclamaban menos de 240.000 cabezas! no asombroso que un millón de aristócratas se sean huye de Francia, desde 1989 a la toma de la Bastilla. Los “revolucionarios” de nuestro pobre tiempo sin ninguna vida histórica se convirtieron en bien tolerantes y bien suaves, un pacifismo que hace bien reir a las 64 burguesías. ¡Ofrezca su de las flores, mientras que hay!
Sabemos hay en las manifestaciones libertarias, hijos/muchachas de buena familia, que son “anarquistas” a veinte años, y conservadores de treinta años. No les queremos ser hijos/muchachas de buena familia, en “les queremos” traicionar y cambiar de campo, una vez sus estudios terminados. Resumidamente… la cultura está cada vez más, una cultura de televisión, y una cultura de cine. Una “cultura” dónde todo se mastica, para que la digestión sea más fácil. Una cultura obtenida sin esfuerzo ningún, de comprensión, como lo exige, por ejemplo, la cultura del libro. Cada página de un libro didáctico amable al esfuerzo de la atención y la comprensión. Se es protagonista /actrice en la lectura, y espectador /spectatrice en la cultura de televisión o cine.
Hoy día, el hombre y la mujer, el niño, de la calle, que observa documentales sobre algunas cadenas de televisión, saben más que lo más grande del eruditos y científicos de hace algunas décadas. ¿Es necesario - alegrarse o desesperarse? eso no tiene el aire de volver más inteligente, en todos los casos… y luego determinado Joseph Goebbels (1897-1945) era doctor en filología alemana, y no en filosofía por supuesto, como yo mismo lo creí y divulgué un determinado tiempo, por ignorancia. Ya que somos ignorantes sobre todo/ignorantes, aunque nos imaginamos “saber” cosas…

¿“Qu'est-ceque el crimen? un atentado contra la vida humana perpetrado en algunas condiciones. Eso quiere decir, que a veces, la supresión de las vidas humanas se recompensa de manera honoraria. Mientras que en otros casos se dedica al individuo a la execración universal. ”

Raymond Callemin dice a Raymond la ciencia (1890-1913) camarada de Jules Joseph Bonnot (1876-1912)

¿Es que la inteligencia?
¿Es que la cultura?
¿La cultura burguesa, la cultura proletaria?
¿La inteligencia burguesa, la inteligencia proletaria?
Una vez más, tenemos, nosotros los animales humanos, mucha cultura técnica, y poco o en absoluto, de inteligencia emparentada.
La pelea que se opuso a Karl Marx (1818-1883) a Mikhaïl Bakounine (1814-1876), sobre el lumpenprolétariat, el proletariado en harapos (dixit Marx), o subproletariado, se actualiza de nuevo hoy día, con el subproletariado de las ciudades. ¡Para algunos/de ellas, es los sinvergüenzas, y bien, yo es! ¿es necesario nada no tener que perder para querer hacer una revolución? pero desgraciadamente también, la gente que no tiene nada, quiere todo quien ellos/no tienen, generalmente. Es el reflejo comercial. Pues, que no tiene nada, puede también pasar a ser mercenario del capital, al mejor postor, para tener un poco más. ¿Y que no tiene de verdad nada que perder? el poco que se tiene, se se cuelga con la energía de desesperación que es la desesperación de la energía. Un salario, un empleo, una mujer, un hombre, una casa incluso pequeña, de los libros, una región, la familia, de los bienes materiales, los niños y todas las posesiones que nos poseen.

“El patriotismo no es sino el último refugio de los pícaros, es también el primer pedestal del ingenuos y la zona de descanso favorita de los imbéciles. ”

Georges Darien (1862-1921)

Pues, tanto Marx como Bakounine había visto exactamente, todo dos, sobre el subproletariado, simplemente esto son las circunstancias circunstanciales que darán razón al uno o al otro. Las dos propuestas que son verdaderas. El desposeídos/desposeídas de todo, pudiendo tanto situarse a la extrema izquierda como a la extrema derecha del capital.
¿Pero que querría de una revolución para tener menos ventajas más tarde?
¿Pero que querría de una revolución para seguir haciéndose la boca más tarde?
¿Pero que querría de una revolución que se volvería contrarrevolución rápidamente, si la gente que hizo el “revolución” ellos mismos no cambiaron?
Pero que querría de una revolución donde se emplearían siempre las mismas palabras, donde se creería siempre a esta idiotez que es astrología, donde se seguiría jugando a juegos de dinero como la lotería, terciado él, y otros juegos que son productos de la miseria. Una religión en sí.

“No obstante, Bakounine no viajó a España. Hubo a Guiseppe Fanelli, un allianciste italiano que sentó la Península Ibérica las bases del Internacional. En febrero de 1869, creaba una sección en Madrid con el grabador Morago, el tipógrafo Lorenzo. En mayo, se fundía otra en Barcelona con los primos Pellicer. Así la anarquía tomaba raíz sobre una tierra donde debía prosperar más que en nadie otro país. ”

Guy Lemonnier alias Claude Harmel, nazi francés durante la guerra de 1940, pero a pesar de un buen historiador. (Historia de la anarquía, de los orígenes a 1880 - Ediciones Campo Libre, 1984)

Una revolución debe nunca detenerse, bajo pretexto de terminar como la revolución burguesa en Francia, él no es necesario ningún alto, si no decae muy rápidamente, y la revolución vuelve a ser una nueva clase opresiva y dictatorial. Lo que siempre se ocurre hasta ahora. En Francia, son, y desde 1789, las fracciones todavía de la burguesía victoriosa que se enfrenta, en cuatro segmentos, a saber, una extrema izquierda, una izquierda, una derecha, una extrema derecha. Cuatro segmentaciones perfectamente integradas al capital. Y estos segmentos están presentes (pero bien scotomisés), incluso en el movimiento anarquista organizado.
Hacérse todo deberá anónimamente, tanto en las artes, como en las ciencias, cada uno/cada una no siendo que todos/todos los otros. ¡Hasta la desaparición de las artes y ciencias que no serán ya de ninguna utilidad a una humanidad quitada de toda inhumanidad, precisamente!
Cualquier otro será sí, será muy otro. No se trabajará ya, se divertirá a las distintas manchas indispensables para la vida de la ciudad o las ciudades. Se podrá cambiar en cualquier momento de actividad, oficio, lugar, de vida, según su orden querer.
Ya que en verdad, le lo digo (como Jésus Christ, quien él, nunca he existido), él no hay actualmente ninguna vida sobre el planeta Tierra. Ciertamente, hay de la vida química, biológica, bacteriana, viral, pero se busca siempre, en vano, una parcela de conciencia.

Patrice Faubert (2010) pouète, peuète, puète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway índice”



agrega un comentario