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La pensée conditionnée
Por Patrice Faubert - Tuesday, Jul. 24, 2012 at 2:24 PM

La pensée conditionnée est le conditionnement de la pensée...

Nous voulons des relations
Sinon, autant être sur une île déserte
Nous voulons partager nos créations
Sinon, autant être sur une île déserte
Car jamais nous ne comprenons
Que nous sommes sur une île déserte
Il ne peut y avoir la moindre relation
Là où tout est compétition
Il ne peut y avoir la moindre relation
Là où tout est hiérarchie
Il ne peut y avoir la moindre relation
Dans ces stupides conditions
Non, je ne vois pas tout en noir
Mais la pensée est conditionnée, du matin au soir
Au fond, nous ne voulons partager
Que nos fausses créations, toujours formatées
Mais nous avons le faux besoin, ainsi d'exister
Sur une Terre, aux relations authentiques désertées
Et nous endossons du peintre, la panoplie
Et nous enfilons du poète, la suffisance infinie
Nous voulons des relations
Sinon, autant être sur une île déserte
Alors, que chaque être humain
Est sur une île déserte, en plein
Il n'y a pas la moindre vraie vie
Dans aucune de nos nombreuses hiérarchies
Il n'y a pas la moindre relation
Là où sévit la compétition
Là où surgit la comparaison
Non, je ne vois pas tout en noir
Mais la pensée est conditionnée, à ne pas le voir
Sinon, il faudrait que nous nous transformions
Pour enfin, avoir des véritables relations
Ainsi, nous sommes sur une île déserte
Tous les arts, tous les sports, sont conditionnés
Toutes les activités humaines sont programmées
Pour divertir quelques bourgeoisies éclairées
Puis, c'est la bagarre, pour être récompensé
Autrement, nous ne savons pas exister
Et toujours, il faut être un enfant, un père, une mère
Et jamais l'humanité entière
Nous voulons une révolution
Sans le moindre changement
Des idées et surtout des comportements
En réalité, il faut, une révolution de la révolution
A nos yeux, elle est offerte
Cette belle île déserte
C'est notre relation
Qui jamais ne s'exprime, toujours muette
Elle se déguise, elle prend des airs
Elle se dit réactionnaire ou révolutionnaire
C' est une île déserte, c'est notre relation
Cependant, tout individu est l'humanité entière
Tout individu meurt quand les autres meurent
Tout individu vit quand les autres vivent
Tout individu souffre quand les autres souffrent
Non, je ne vois pas tout en noir
Même si toutes les croyances sont fausses
Tout comme la religion du grand soir
Et vraiment, de tout cela, je me gausse
La réalité n'est pas ce que l'on voit
La réalité n'est pas ce que l'on croit
La vérité n'est pas la pensée conditionnée
Et toute pensée est conditionnée
La vérité n'est pas le cerveau programmé
Et tout cerveau est programmé
Les humains sont des îles désertes
Peu hospitalières, rarement offertes
Et la seule solution
Est une révolution de la révolution




Patrice Faubert (2012) pouète, puète, peuète, paraphysicien, Pat dit l'invité sur "hiway.fr"




Queremos relaciones
Si no, lo mismo ser sobre una isla desértica
Queremos compartir nuestras creaciones
Si no, lo mismo ser sobre una isla desértica
Ya que nunca no comprendemos
Que estamos sobre una isla desértica
Hay la menor relación
Allí donde todo es competición
Hay la menor relación
Allí donde todo es jerarquía
Ii hay la menor relación
En estas estúpidas condiciones
No, no veo muy en negro
Pero el pensamiento se condiciona, de la mañana por noche
Básicamente, no queremos compartir
Que nuestras falsas creaciones, siempre formateadas
Pero tenemos la falsa necesidad, así de existir
Sobre una Tierra, a las relaciones auténticas abandonadas
Y asumimos del pintor, la panoplia
E hinchamos del poeta, la suficiencia infinita
Queremos relaciones
Si no, lo mismo ser sobre una isla desértica
Entonces, que cada ser humano
Está sobre una isla desértica, en lleno
No hay la menor verdadera vida
En ninguna de nuestras numerosas jerarquías
No hay la menor relación
Allí donde prevalece la competición
Allí donde surge la comparación
No, no veo muy en negro
Pero el pensamiento se condiciona, no verlo
Si no, sería necesario que nos transformábamos
Para por fin, para tener verdaderas relaciones
Así pues, estamos sobre una isla desértica
Se condicionan todas las artes, todos los deportes
Se programan todas las actividades humanas
Para divertir a algunas burguesías encendidas
Luego, es la trifulca recompensarse
De no ser así, no sabemos existir
Y siempre, es necesario ser un niño, un padre, una madre
Y nunca la humanidad entera
Queremos una revolución
Sin el menor cambio
Ideas y sobre todo comportamientos
Realmente, es necesario, una revolución de la revolución
A nuestros ojos, se ofrece
Esta bonita isla desértica
Es nuestra relación
Quién nunca no se expresa, siempre muda
Se disfraza, toma aires
Se dice reaccionaria o revolucionaria
C'est una isla desértica, es nuestra relación
Sin embargo, todo individuo es la humanidad entera
Todo individuo meurt cuando los otros se mueren
Todo individuo vive cuando los otros viven
Todo individuo sufre cuando los otros sufren
No, no veo muy en negro
Aunque todas las creencias son falsas
Al igual que la religión de la gran noche
Y de verdad, de todo eso, yo me gausse
La realidad no es lo que se ve
La realidad no es lo que se cree
La verdad no es el pensamiento condicionado
Y se condiciona todo pensamiento
La verdad no es el cerebro programado
Y se programa todo cerebro
Los humanos son islas desérticas
Poco hospitalarias, raramente ofrecidas
Y la única solución
Es una revolución de la revolución




Patrice Faubert (2012) pouète, puète, peuète, paraphysicien, Estancamiento dice la huésped sobre “hiway.fr”







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