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Puésie, peuésie, pouésie
Por Patrice Faubert - Friday, Jun. 14, 2013 at 7:00 AM

Poésie paraphysique...

Tout devient oubli
Mais dans le corps s'inscrit
Sa trace est sur notre face
Qui se perçoit dans la glace
La puésie
N'a pas le permis
La peuésie
Raconte la vie
La pouésie
N'est ainsi jamais finie
Elle est palindrome
Elle est un peu môme
Elle dit que nous nous utilisons
Elle dit que nous nous méprisons
Spirale infernale de la surpopulation
Elle est de la poésie
Qui tourne mal
Ni femelle ni mâle
Personne ne la lit
Même celui qui vous le dit
Même celle qui borde son lit
Elle fait peur
Elle n'est jamais à l'heure
Elle est de l'anarchie
Aux mensonges, elle est une scie
Personne ne peut la loger
Personne ne peut l'habiller
Elle dit
L'homme est menteur
Elle dit
La femme est menteuse
Nous taisons l'autre
Pour nous, la vérité est une gueuse
Du paraître, nous sommes les apôtres
L'autre cet inconnu
Que personne n'a jamais vu
Personne ne se connaît
Le dire, cela effraie
Pourtant, partout, la prostitution est généralisée
Dans nos relations qui ne sont que des rivalités
Au travail, dans nos arts, en science, en sport
Et toute vraie gentillesse dort
Il faut briller, s'imposer, écraser
Il s'agit bien de moi
Il s'agit bien de toi
Il s'agit bien de nous
Il s'agit bien de vous
Personne n'y échappe
Ou c'est du rayon farces et attrapes
Cela n'est pas seulement
Le fasciste, certes bien méchant
Comme le croit le gauchiste, fort imprudemment
Mais le rapport humain lui-même
Structurellement violent et qui sème
Depuis longtemps cela s'apprend
Depuis longtemps cela se répand
La puésie
Ne veut pas de ce monde immonde
La peuésie
Ne veut pas de nos relations tronquées
La pouésie
Ainsi, par tout le monde est vilipendée


Patrice Faubert ( 1998 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur "hiway.fr"



Todo se olvida
Pero en el cuerpo cae
Su pista es de nuestro lado
Que ve en el espejo
El puésie
No permite
El peuésie
Cuenta la historia
El pouésie
Y nunca se acaba
Es palíndromo
Ella es una niña
Ella dice que utilizamos
Dijo que despreciamos
Espiral de hacinamiento
Es la poesía
Lo malo
Ni hombre ni mujer
Nadie lee
Incluso uno que te dice
Incluso la cama limítrofes
Asusta
Ella nunca llega a tiempo
Es la anarquía
Mentiras, es una sierra
Nadie puede permanecer
Nadie puede vestir
Ella dice
El hombre es un mentiroso
Ella dice
La mujer está mintiendo
No dicen nada sobre la otra
Para nosotros, la verdad es un cerdo
De las apariencias, somos los apóstoles
La otra esta desconocida
Nadie ha visto nunca
Nadie sabe
Decir, que asusta
Sin embargo, en todas partes, la prostitución está muy extendida
En nuestras relaciones son más que las rivalidades
En el trabajo, en nuestras artes, la ciencia, el deporte
Y toda verdadera bondad duerme
Debemos brillar, ganar, aplastar
Esto está bien para mí
Es bueno para usted
Es bueno para nosotros
Es bueno que
Nadie escapa
¿O las bromas de radio y engaños
Esto es no sólo
El fascista, sin duda, muy mala
Como sugiere la izquierda, imprudentemente
Pero la propia relación humana
Estructuralmente violento y cerdas
Durante mucho tiempo se aprende
Largo que se extiende
El puésie
No quiero este mundo feo
El peuésie
No quiero que nuestra relación truncada
El pouésie
Por lo tanto, para todo el mundo está vilipendiada


Patrice Faubert (1998) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat dijo el invitado en "hiway.fr"

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