Julio López
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Architectonique sexiste
Por Patrice Faubert - Sunday, Jan. 03, 2016 at 5:45 AM

Argent de la pollution, pollution de l'argent...

Tout est donc une industrie
De cela ou de ceci
C'est de la modernité
Dont l'on pourrait pourtant se moquer
Comme dans un film à la Jacques Tati
Et aussi toute une pollution
Comme une drogue, nous la sniffons
C'est le précariat de toute la pollution
C'est ainsi l'industrie de l'hygiène féminine
Quand la pollution se fait coquine
Et ainsi les tampons Tampax
L'appareil féminin se taxe
Car il serait plein de glyphosate
De l'herbicide cancérigène qui met échec et mat
Encore le Roundup, et c'est 85 pour cent
Serviettes hygiéniques et les tampons
C'est encore bien pollué comme tout ce que nous consommons
Argent de la pollution, pollution de l'argent
La rentabilité et le profit
Comme par exemple toute poissonnerie
Qui est ainsi comme de la guerre
Poissons aux métaux lourds, poissons remplis de plastique
Tout ce que nous consommons est du chimique
La pollution industrielle
Dans tout, elle s'invite, de tout, elle se mêle
Et toute notre alimentation
Et toutes nos constructions
Tout cela est bourré de diverses saletés
Il nous faut les manger
Il nous faut les respirer
Tous nos vêtements
Par des produits chimiques, sont contaminés
Tout cela, forcément, de notre vie, limite la durée
Bref
Que cela soit à l'intérieur de nos logement
Que cela soit à l'extérieur de nos logements
C'est une grande contamination
Du désastre, une subtile administration
Pollution et contamination
De et dans nos chaussures
De et dans nos voitures
Sur quoi nous marchons
Ce que nous touchons
Dans les airs
Dans les mers
Sur de la terre
C'est comme un gigantesque cancer
Cancer du capitalisme, capitalisme du cancer
Et donc pas forcément à côté des centrales nucléaires !
Petit à petit
Il n'y aura plus que des mutants
Il n'y aura plus que des déments
Une sélection par le pire
Pour les affreux, les fascistes, il faut le dire
Qu'ainsi il ne reste plus
Et ainsi, il en fut
Les méchants, les crétins, les tortionnaires
Comme en prison, les matons de force ordurière
Pardon, je voulais dire les flics de " Force Ouvrière "
Donc
La hiérarchie, la compétition, les chefs et leaders
Tout un phénomène d'adaptation sociale
Aux diverses saloperies du capital
Et c'est tout cela qui devient horriblement normal
Le contraire ne l'étant pas, c'est fatal !
De ce fait
TOUT devient un gigantesque forfait
Car cela devient une culture
Contre l'humanité, contre la nature
Contre les femmes, contre les enfants
Contre les hommes, le capital est dément
Avec son sexisme imbécile
Avec son sexisme des villes
Tout s'organise dans le masculin
Tout y est masculin
Tout s'y pense au masculin
Rien de vraiment hormonal
C'est encore l'apprentissage du capital
Aucune différence entre les cerveaux
Le sexisme c'est complètement idiot
Mais l'homme possède la ville
Comme il veut posséder la femme, c'est vil
C'est l'apprentissage de l'environnement
C'est l'environnement de l'apprentissage
Le sexe fort
C'est pourtant la femme
Mais la centralité masculine
Rend toute vie mesquine
Rien n'est de naissance
Simplement, nous apprenons la violence
La femme reste pour l'homme une proie
Et c'est toute une stratégie comme ll se doit
Marcher trop vite, un signe de peur
Marcher trop lentement, comme un à tout à l'heure
Ainsi, pour des femmes qui font leurs courses
Forcément, souvent, c'est la grande frousse !
Différents types d'agressions
Selon les pays, les traditions
Dans la rue, au bureau, à l'usine, au laboratoire
Pas besoin de le voir pour le croire
10 pour cent des hommes, prédateurs sexuels
De vrais cons, des intellectuels, des manuels
Et nonobstant, entre les hommes et les femmes
Les pulsions sexuelles sont les mêmes
Mais les pulsions sont formatées par des concepts culturels
Sexe et genre sont intimement liés
Le genre influence grandement la biologie
L'environnement sait tout façonner
Encore une fois, une seule sortie possible, c'est l'anarchie !
Comme les êtres humains
De l'évolution créatrice, par un processus malin
Tous les cerveaux humains étant à la fois
Les mêmes et différents
Mais de chaque expérience idiosyncrasique, fait le temps
Ce sont eux, ce sont elles, c'est moi, c'est toi
Cela dit
Notre éducation est de profit
Tout utiliser, tout exploiter
Comme dans nos relations aliénées
En ce domaine, peu importe les idées
Car nous ne faisons, le plus souvent, que nous utiliser
Ainsi aucune relation n'est vraiment désintéressée
Et c'est forcé
Un jour ou l'autre, c'est la guerre
De toute classe, elle est toujours première
Et même, hélas
C'est encore plus dégueulasse
L'utilisation de divers animaux
Pendant les guerres, nos conflits mondiaux
Chats, chiens, dauphins, pigeons, chevaux
Certains par l'armée sont parfois décorés
Mais le plus souvent tués, capturés, rééduqués
Ou alors, c'est de l'alimentation, de l'agriculture
Pour la souffrance animale, tout baigne dans l'ordure
Et il y a encore 300 abattoirs en France
Comme les vaches traitées sans aucune décence
De plus en plus grandes, de plus en plus grosses
Morphologie maçonnée par les éleveurs
De la race, génétique pour une robe de telle couleur
Les animaux travaillent aussi
Ou alors, en maison, des animaux de compagnie
Jadis
Le cheval Breton pour les mines
Le cheval Ardennais pour l'omnibus
Pour la solidarité, l'être humain est minus
Machines humaines, machines industrielles
Machines animales, machines agricoles
Et ne croyez pas que j'en rigole
La vie aurait pu être belle, pas de bol
Mais la science est folle
21 janvier 1969, un B-52
Sur Thulé, il osa s'écraser, en moins de deux
4 bombes H, trois se sont pulvérisées
Mais la dernière, personne ne put la retrouver
Tous les jours, le capital nous violente
Et l'on entend parfois des réflexions démentes
" Je ferais la même chose à leur place "
Des idiots, certes, mais cela glace
Car ce sont de tels gens
Qui sont les complices de tous les tyrans !



Patrice Faubert ( 2016 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "


Tout est donc une industrie
De cela ou de ceci
C'est de la modernité
Dont l'on pourrait pourtant se moquer
Comme dans un film à la Jacques Tati
Et aussi toute une pollution
Comme une drogue, nous la sniffons
C'est le précariat de toute la pollution
C'est ainsi l'industrie de l'hygiène féminine
Quand la pollution se fait coquine
Et ainsi les tampons Tampax
L'appareil féminin se taxe
Car il serait plein de glyphosate
De l'herbicide cancérigène qui met échec et mat
Encore le Roundup, et c'est 85 pour cent
Serviettes hygiéniques et les tampons
C'est encore bien pollué comme tout ce que nous consommons
Argent de la pollution, pollution de l'argent
La rentabilité et le profit
Comme par exemple toute poissonnerie
Qui est ainsi comme de la guerre
Poissons aux métaux lourds, poissons remplis de plastique
Tout ce que nous consommons est du chimique
La pollution industrielle
Dans tout, elle s'invite, de tout, elle se mêle
Et toute notre alimentation
Et toutes nos constructions
Tout cela est bourré de diverses saletés
Il nous faut les manger
Il nous faut les respirer
Tous nos vêtements
Par des produits chimiques, sont contaminés
Tout cela, forcément, de notre vie, limite la durée
Bref
Que cela soit à l'intérieur de nos logement
Que cela soit à l'extérieur de nos logements
C'est une grande contamination
Du désastre, une subtile administration
Pollution et contamination
De et dans nos chaussures
De et dans nos voitures
Sur quoi nous marchons
Ce que nous touchons
Dans les airs
Dans les mers
Sur de la terre
C'est comme un gigantesque cancer
Cancer du capitalisme, capitalisme du cancer
Et donc pas forcément à côté des centrales nucléaires !
Petit à petit
Il n'y aura plus que des mutants
Il n'y aura plus que des déments
Une sélection par le pire
Pour les affreux, les fascistes, il faut le dire
Qu'ainsi il ne reste plus
Et ainsi, il en fut
Les méchants, les crétins, les tortionnaires
Comme en prison, les matons de force ordurière
Pardon, je voulais dire les flics de " Force Ouvrière "
Donc
La hiérarchie, la compétition, les chefs et leaders
Tout un phénomène d'adaptation sociale
Aux diverses saloperies du capital
Et c'est tout cela qui devient horriblement normal
Le contraire ne l'étant pas, c'est fatal !
De ce fait
TOUT devient un gigantesque forfait
Car cela devient une culture
Contre l'humanité, contre la nature
Contre les femmes, contre les enfants
Contre les hommes, le capital est dément
Avec son sexisme imbécile
Avec son sexisme des villes
Tout s'organise dans le masculin
Tout y est masculin
Tout s'y pense au masculin
Rien de vraiment hormonal
C'est encore l'apprentissage du capital
Aucune différence entre les cerveaux
Le sexisme c'est complètement idiot
Mais l'homme possède la ville
Comme il veut posséder la femme, c'est vil
C'est l'apprentissage de l'environnement
C'est l'environnement de l'apprentissage
Le sexe fort
C'est pourtant la femme
Mais la centralité masculine
Rend toute vie mesquine
Rien n'est de naissance
Simplement, nous apprenons la violence
La femme reste pour l'homme une proie
Et c'est toute une stratégie comme ll se doit
Marcher trop vite, un signe de peur
Marcher trop lentement, comme un à tout à l'heure
Ainsi, pour des femmes qui font leurs courses
Forcément, souvent, c'est la grande frousse !
Différents types d'agressions
Selon les pays, les traditions
Dans la rue, au bureau, à l'usine, au laboratoire
Pas besoin de le voir pour le croire
10 pour cent des hommes, prédateurs sexuels
De vrais cons, des intellectuels, des manuels
Et nonobstant, entre les hommes et les femmes
Les pulsions sexuelles sont les mêmes
Mais les pulsions sont formatées par des concepts culturels
Sexe et genre sont intimement liés
Le genre influence grandement la biologie
L'environnement sait tout façonner
Encore une fois, une seule sortie possible, c'est l'anarchie !
Comme les êtres humains
De l'évolution créatrice, par un processus malin
Tous les cerveaux humains étant à la fois
Les mêmes et différents
Mais de chaque expérience idiosyncrasique, fait le temps
Ce sont eux, ce sont elles, c'est moi, c'est toi
Cela dit
Notre éducation est de profit
Tout utiliser, tout exploiter
Comme dans nos relations aliénées
En ce domaine, peu importe les idées
Car nous ne faisons, le plus souvent, que nous utiliser
Ainsi aucune relation n'est vraiment désintéressée
Et c'est forcé
Un jour ou l'autre, c'est la guerre
De toute classe, elle est toujours première
Et même, hélas
C'est encore plus dégueulasse
L'utilisation de divers animaux
Pendant les guerres, nos conflits mondiaux
Chats, chiens, dauphins, pigeons, chevaux
Certains par l'armée sont parfois décorés
Mais le plus souvent tués, capturés, rééduqués
Ou alors, c'est de l'alimentation, de l'agriculture
Pour la souffrance animale, tout baigne dans l'ordure
Et il y a encore 300 abattoirs en France
Comme les vaches traitées sans aucune décence
De plus en plus grandes, de plus en plus grosses
Morphologie maçonnée par les éleveurs
De la race, génétique pour une robe de telle couleur
Les animaux travaillent aussi
Ou alors, en maison, des animaux de compagnie
Jadis
Le cheval Breton pour les mines
Le cheval Ardennais pour l'omnibus
Pour la solidarité, l'être humain est minus
Machines humaines, machines industrielles
Machines animales, machines agricoles
Et ne croyez pas que j'en rigole
La vie aurait pu être belle, pas de bol
Mais la science est folle
21 janvier 1969, un B-52
Sur Thulé, il osa s'écraser, en moins de deux
4 bombes H, trois se sont pulvérisées
Mais la dernière, personne ne put la retrouver
Tous les jours, le capital nous violente
Et l'on entend parfois des réflexions démentes
" Je ferais la même chose à leur place "
Des idiots, certes, mais cela glace
Car ce sont de tels gens
Qui sont les complices de tous les tyrans !



Patrice Faubert ( 2016 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "


Tout est donc une industrie
De cela ou de ceci
C'est de la modernité
Dont l'on pourrait pourtant se moquer
Comme dans un film à la Jacques Tati
Et aussi toute une pollution
Comme une drogue, nous la sniffons
C'est le précariat de toute la pollution
C'est ainsi l'industrie de l'hygiène féminine
Quand la pollution se fait coquine
Et ainsi les tampons Tampax
L'appareil féminin se taxe
Car il serait plein de glyphosate
De l'herbicide cancérigène qui met échec et mat
Encore le Roundup, et c'est 85 pour cent
Serviettes hygiéniques et les tampons
C'est encore bien pollué comme tout ce que nous consommons
Argent de la pollution, pollution de l'argent
La rentabilité et le profit
Comme par exemple toute poissonnerie
Qui est ainsi comme de la guerre
Poissons aux métaux lourds, poissons remplis de plastique
Tout ce que nous consommons est du chimique
La pollution industrielle
Dans tout, elle s'invite, de tout, elle se mêle
Et toute notre alimentation
Et toutes nos constructions
Tout cela est bourré de diverses saletés
Il nous faut les manger
Il nous faut les respirer
Tous nos vêtements
Par des produits chimiques, sont contaminés
Tout cela, forcément, de notre vie, limite la durée
Bref
Que cela soit à l'intérieur de nos logement
Que cela soit à l'extérieur de nos logements
C'est une grande contamination
Du désastre, une subtile administration
Pollution et contamination
De et dans nos chaussures
De et dans nos voitures
Sur quoi nous marchons
Ce que nous touchons
Dans les airs
Dans les mers
Sur de la terre
C'est comme un gigantesque cancer
Cancer du capitalisme, capitalisme du cancer
Et donc pas forcément à côté des centrales nucléaires !
Petit à petit
Il n'y aura plus que des mutants
Il n'y aura plus que des déments
Une sélection par le pire
Pour les affreux, les fascistes, il faut le dire
Qu'ainsi il ne reste plus
Et ainsi, il en fut
Les méchants, les crétins, les tortionnaires
Comme en prison, les matons de force ordurière
Pardon, je voulais dire les flics de " Force Ouvrière "
Donc
La hiérarchie, la compétition, les chefs et leaders
Tout un phénomène d'adaptation sociale
Aux diverses saloperies du capital
Et c'est tout cela qui devient horriblement normal
Le contraire ne l'étant pas, c'est fatal !
De ce fait
TOUT devient un gigantesque forfait
Car cela devient une culture
Contre l'humanité, contre la nature
Contre les femmes, contre les enfants
Contre les hommes, le capital est dément
Avec son sexisme imbécile
Avec son sexisme des villes
Tout s'organise dans le masculin
Tout y est masculin
Tout s'y pense au masculin
Rien de vraiment hormonal
C'est encore l'apprentissage du capital
Aucune différence entre les cerveaux
Le sexisme c'est complètement idiot
Mais l'homme possède la ville
Comme il veut posséder la femme, c'est vil
C'est l'apprentissage de l'environnement
C'est l'environnement de l'apprentissage
Le sexe fort
C'est pourtant la femme
Mais la centralité masculine
Rend toute vie mesquine
Rien n'est de naissance
Simplement, nous apprenons la violence
La femme reste pour l'homme une proie
Et c'est toute une stratégie comme ll se doit
Marcher trop vite, un signe de peur
Marcher trop lentement, comme un à tout à l'heure
Ainsi, pour des femmes qui font leurs courses
Forcément, souvent, c'est la grande frousse !
Différents types d'agressions
Selon les pays, les traditions
Dans la rue, au bureau, à l'usine, au laboratoire
Pas besoin de le voir pour le croire
10 pour cent des hommes, prédateurs sexuels
De vrais cons, des intellectuels, des manuels
Et nonobstant, entre les hommes et les femmes
Les pulsions sexuelles sont les mêmes
Mais les pulsions sont formatées par des concepts culturels
Sexe et genre sont intimement liés
Le genre influence grandement la biologie
L'environnement sait tout façonner
Encore une fois, une seule sortie possible, c'est l'anarchie !
Comme les êtres humains
De l'évolution créatrice, par un processus malin
Tous les cerveaux humains étant à la fois
Les mêmes et différents
Mais de chaque expérience idiosyncrasique, fait le temps
Ce sont eux, ce sont elles, c'est moi, c'est toi
Cela dit
Notre éducation est de profit
Tout utiliser, tout exploiter
Comme dans nos relations aliénées
En ce domaine, peu importe les idées
Car nous ne faisons, le plus souvent, que nous utiliser
Ainsi aucune relation n'est vraiment désintéressée
Et c'est forcé
Un jour ou l'autre, c'est la guerre
De toute classe, elle est toujours première
Et même, hélas
C'est encore plus dégueulasse
L'utilisation de divers animaux
Pendant les guerres, nos conflits mondiaux
Chats, chiens, dauphins, pigeons, chevaux
Certains par l'armée sont parfois décorés
Mais le plus souvent tués, capturés, rééduqués
Ou alors, c'est de l'alimentation, de l'agriculture
Pour la souffrance animale, tout baigne dans l'ordure
Et il y a encore 300 abattoirs en France
Comme les vaches traitées sans aucune décence
De plus en plus grandes, de plus en plus grosses
Morphologie maçonnée par les éleveurs
De la race, génétique pour une robe de telle couleur
Les animaux travaillent aussi
Ou alors, en maison, des animaux de compagnie
Jadis
Le cheval Breton pour les mines
Le cheval Ardennais pour l'omnibus
Pour la solidarité, l'être humain est minus
Machines humaines, machines industrielles
Machines animales, machines agricoles
Et ne croyez pas que j'en rigole
La vie aurait pu être belle, pas de bol
Mais la science est folle
21 janvier 1969, un B-52
Sur Thulé, il osa s'écraser, en moins de deux
4 bombes H, trois se sont pulvérisées
Mais la dernière, personne ne put la retrouver
Tous les jours, le capital nous violente
Et l'on entend parfois des réflexions démentes
" Je ferais la même chose à leur place "
Des idiots, certes, mais cela glace
Car ce sont de tels gens
Qui sont les complices de tous les tyrans !



Patrice Faubert ( 2016 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "



Todo es una industria
A partir de este o de este
Es la modernidad
Que aún podría hacer que la diversión
Como en una película de Jacques Tati
Y también una contaminación
Como una droga, que sniffons
Este es el precariado cualquier contaminación
Así, la industria de la higiene femenina
Cuando la contaminación es desagradable
Y así el Tampax
La cuota de la unidad femenina
Porque estaría lleno de glifosato
Desde el herbicida cancerígeno que pone jaque mate
Aún Roundup, que es el 85 por ciento
Las compresas higiénicas y tampones
Todavía está contaminado como todo lo que consumimos
Contaminación de plata, la contaminación del dinero
La rentabilidad y el beneficio
Tales como pescado entero
Eso es tan parecida a la guerra
Pescado a los metales pesados, el pescado de plástico llena
Todo lo que consumimos es químicamente
La contaminación industrial
En total, se invita a todos, se mezcla
Y toda nuestra comida
Y todas nuestras construcciones
Todo esto está lleno de diversos suciedad
Necesitamos comer
Necesitamos respirar
Toda nuestra ropa
Por productos químicos, contaminado
Todo esto, por supuesto, de nuestra vida, limita la duración
Breve
Ya sea dentro de nuestro establecimiento,
Ya fuera de nuestras casas
Esta es una gran contaminación
El desastre, unos sutiles Directores
La contaminación y la contaminación
Y de nuestros zapatos
Desde y en nuestros coches
Lo que andamos
Tocamos
En el aire
En los mares
En la tierra
Es como un cáncer gigante
El cáncer del capitalismo, cáncer capitalismo
Y por lo tanto no necesariamente junto a las plantas de energía nuclear!
Poco a poco
No habrá que los mutantes
Habrá como demente
Selección por la peor
Para horribles, los fascistas, todo hay que decirlo
Así, hay restos
Y así, él era
Los malos, los empollones, los torturadores
Al igual que en la cárcel, los guardias de la prisión de la fuerza sucia
Perdón, quise decir policías "Fuerza Obrera"
Por lo tanto
La jerarquía, la competencia, los jefes y líderes
Un fenómeno adaptación social entera
Las diversas capitales basura
Y eso es todo esto se convierte en terriblemente normales
De lo contrario no ser así, es fatal!
De ese modo
Todo se convierte en un paquete gigantesco
Debido a que se convierte en una cultura
Contra la humanidad, contra la naturaleza
Contra las mujeres, contra los niños
Contra los hombres, se le niega el capital
Con su sexismo idiota
Con sus ciudades sexismo
Todo está organizado en el varón
Todo es masculina
Todo está pensado masculina
Nada realmente hormonal
Todavía está aprendiendo de capital
No hay diferencias entre los cerebros
El sexismo es completamente idiota
Pero el hombre tiene la ciudad
A medida que tendrá la mujer es vil
Es el ambiente de aprendizaje
Este es el entorno de aprendizaje
El sexo seguro
Sin embargo, es la mujer
Pero centralidad masculina
Hace todo mezquina vida
Nace Nada
Simplemente, nos enteramos de la violencia
La mujer sigue siendo presa de los humanos
Y es una estrategia tan lt obligada
Caminar demasiado rápido, un signo de miedo
Camina muy despacio, como hace un tiempo
Por lo tanto, para las mujeres que compran
Inevitablemente, a menudo es el gran susto!
Los diferentes tipos de ataques
Dependiendo del país, las tradiciones
En la calle, oficina, fábrica, laboratorio
No hay necesidad de ver para creer
10 por ciento de los hombres, los depredadores sexuales
Contras reales, intelectuales, manuales
Y no obstante, entre hombres y mujeres
Impulsos sexuales son los mismos
Pero las unidades están formateados por conceptos culturales
Sexo y género se entrelazan
El tipo influye en gran medida la biología
El entorno lo sabe todo de la moda
Una vez más, la única manera de salir, es la anarquía!
Como seres humanos
De la evolución creadora, por un proceso maligno
Todos los cerebros humanos son tanto
El mismo y diferente
Pero cada experiencia idiosincrásica, hace tiempo
Son ellos, son ellos, soy yo, eres tú
Dicho esto
Nuestra educación es la ganancia
Cualquier uso, mientras que la explotación
Al igual que en nuestra relación alienada
En esta área, sin importar las ideas
Por lo hacemos, más a menudo que utilizamos
Y ninguna relación es realmente desinteresado
Y eso se ve obligado
Un día u otro, esto es la guerra
En cualquier clase, es todavía primera
Y aunque, por desgracia
Esto es aún más repugnante
El uso de varios animales
Durante las guerras, nuestros conflictos mundiales
Gatos, perros, delfines, palomas, caballos
Algunos de los militares son a veces decoradas
Pero más a menudo asesinados, capturados, rehabilitado
O tal vez es la alimentación, la agricultura
Por el sufrimiento animal, todo bañado en la inmundicia
Y todavía hay 300 mataderos en Francia
Como tratado vacas sin ningún pudor
Cada vez más grande, cada vez más grande
Albañilería morfología por los criadores
Raza, por ejemplo el color del pelaje genética
Los animales también trabajar
O, para albergar a los animales domésticos
Antaño
El caballo Bretón para minas
El caballo Ardenas para el ómnibus
En solidaridad, el ser humano es menos
Máquinas Humanos, maquinaria industrial
Maquinaria animal, maquinaria agrícola
Y no creas que me río
La vida podría haber sido agradable, no es un tazón
Pero la ciencia es una locura
21 de enero 1969, un B-52
En Thule, se atrevió estrellarse, dentro de los dos
4 bombas H, tres se pulverizaron
Pero el pasado, nadie podía encontrarla
Todos los días de capital violenta
Y a veces oímos pensamientos dementes
"Yo haría lo mismo por ellos"
Idiotas, sin duda, pero este hielo
Porque son esas personas
¿Quiénes son los cómplices de todos los tiranos!



Patrice Faubert (2016) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Pat dijo al invitado en "hiway.fr "

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