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Paraphysique du crétinisme institutionnel
Por Patrice Faubert - Thursday, Feb. 09, 2017 at 3:35 AM

De la crétinerie institutionnalisée...

Choses vues
Choses entendues
Choses vécues
Comme prendre un billet de train
Quand en tout, le fascisme fait le plein
Maintenant il faut s'y habituer
Son nom, son prénom, il faut les donner
Surtout si la vendeuse est une fasciste
Qui à son parti nationaliste donne des listes
Et si vous lui dîtes ses quatres vérités
De faire vos réductions, retirer
Elle peut même vous menacer
Par une fenêtre, une fois son store baissé
Ne nous trouvant pas déjà suffisamment fichés
Aucune discussion possible avec la débilité
Et comme avant la querelle
Le nom et prénom furent déjà donnés
Il y a lieu effectivement de s'en inquiéter
Quand le contrôle social s'en mêle
Bientôt, déjà
Quand tout est devenu un tracas
Quand tout est devenu du goujat
Il faudra montrer sa carte d'identité
Même au restaurant, pour pouvoir manger
Tout un totalitarisme moderne
Et le totalitarisme classique, en berne !
Les terminologies évoluent
Mais toujours le capitalisme tue
Une sorte de tueur en série
Qui sévit dans tous les pays
Avec même des admiratrices, comme pour Guy Georges
Pour un peu, elles mettraient à nues, leurs gorges
C'est aussi les compagnies minières
Catholiques, paternalistes
Tout un personnel propriété de la mine esclavagiste
Avec toute une organisation militaire
Et pour satisfaire à l'embauche
Du mariage à l'église, communier à l'église, aucune débauche
Avec les morts au champ d'honneur du travail
Quand les mots ne sont pas un détail
De l'ouvrier qui était un Peugeot
De l'ouvrier qui était un Michelin
Du mineur qui était sa mine
De l'ouvrier qui était son usine
Comme une propriété de leur patron
Comme jadis, l'esclave de sa plantation
Chaque corporation avait sa bataille du charbon
Avec son école
Avec son église
Mais la mine avait aussi ses grèves
Qui n'étaient pas toujours brèves
1948
L'armée française intervint
Pour tuer, emprisonner, 13000 condamnés, c'est pas rien
Et cela n'est pourtant pas si loin !
Et à tout bien considérer
Même si rien ne peut vraiment se comparer
Le capital est comme une mine
Mais personne ne s'y débine
Avec une climatologie chamboulée
Et des coups de grisou qui ne peuvent s'éviter
France, début 1963, un hiver oublié
Et cependant, trente mille morts de froid
Mais de nos jours, qui le croit ?
Une chimère comme la peste d'autrefois
1347 à 1353, une décimation
Pour le tiers de l'Europe, en population
Donc
La plupart des gens
Appartiennent à quelque chose, c'est navrant
D'une idéologie, d'une religion, d'une croyance, c'est surprenant
Et tout le monde appartient au pognon
Le pognon de la soumission
La soumission au pognon
Tous et toutes nous lui appartenons
Il devient la première motivation
C'est le dictateur de toute vie
Car tout, en vérité, lui est soumis
Avec toute une zone d'obscuration
Consciencieusement entretenue par la réaction
Et pas seulement par le bouc émissaire Fillon
Alors que notre galaxie voyage à 631 km/seconde
Nos mentalités devront aussi voyager pour la révolution !
Toute l'organisation de notre société
C'est finalement basée sur la compétitivité
Gigantesque additif alimentaire pour nous empoisonner
E171
Dioxyde de Titanium, du colorant à bonbon
Au tout dégueulassement bon
Et à tout cela nous nous conformons
Il y a déjà les moules
Pour que les mentalités s'y coulent
Comme pour la formation des couples
Même si plus que jadis, c'est plus souple
Le couple associatif
Ouvert sur l'extérieur, recherche d'égalité, négociation
Le couple compagnonnage
Son chez soi, sa propre cage
Le couple bastion
Homme actif, femme au foyer
Le couple cocon
Pour rester sous l'édredon
Sans crainte de l'isolation
Le couple parallèle
Fermeture sur soi
Deux dans l'entre-soi
Et de l'interaction à plusieurs ailes
Et peu importe les pourcentages
C'est finalement de toutes les vies, de tous les âges
Là aussi, le capital sait bien nous formater
Selon ses besoins, là-aussi, le capital sait bien nous engrammer !
Il n'y a finalement
Que l'éloge de la fuite de Laborit, c'est plus prudent
Que l'éloge de la suite de Bruno Dubuc, c'est si évident
Car il y a partout des dominantes et des dominants
Des parents aux enfants, cela s'apprend
La tête en l'air
Un tour dans le système solaire
Encelade
Satellite de Saturne
Son eau liquide salée, ses panaches d'eau
Sous la croûte de glace, cela doit être beau
Des nutriments, des composés organiques, c'est pas du pipeau
Europe
Satellite de Jupiter
Sous la glace, océan liquide salé
Des fissures, de la banquise, champ magnétisé
Et des tas d'objets célestes dans le système solaire
Sans compter tous les Kepler extrasolaires
Et déjà de la zone d'habitabilité
Peut-être un faux repère pour nous égarer
Mais cela nous fait une belle jambe ma foi
Quand sur notre Terre, le capitalisme fait régner sa loi
Tout y est donc mesquin, tout y est donc étroit
Salut à vous
Les anarchistes d'autres mondes
Pauvres de nous, dans notre immonde
Pas de salut, par contre, pour les fascistes d'autres mondes
Dans tout autre monde, peut-être de l'immonde !
Car partout où se manifeste le capital
Sont fabriquées les avalanches du mal
Tout le monde y est cobaye
Pour y étudier des humains, les failles
Et souvent, derrière
En expérimentateurs, il y a la hiérarchie militaire
Et les effets des gaz et des drogues
Quand les têtes sont remplies de fog
Amphétamines, pervitine, méthédrine
LSD, BZ, cocaïne, se substituant à la bibine
Surtout en temps de guerre
La pensée militaire est mégère
Mais aussi en temps de paix
Les civils, une autre cible, en effet
Et des populations sous contrôle
Robotisation généralisée qui enrôle
Et donc pas seulement des savants ou des médecins nazis
Qui furent d'ailleurs engagés par un certain pays
Les USA, pour pointer encore en tête de l'ignominie
Et le soldat qui ne dormirait jamais
Et le soldat qui ne désobéirait jamais
Bref, le soldat parfait
Le citoyen qui ne réfléchirait plus
Le citoyen qui accepterait tout
Le citoyen qui ne réfléchirait plus
Le citoyen qui ne contesterait plus
Le fasciste, pour le capital, c'est un fait
C'est le citoyen parfait
C'est à vomir, mais hélas, c'est vrai !

Patrice Faubert ( 2017 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ ) Pat dit l'invité sur " hiway.fr "


Cosas vistas
Cosas oídas
Cosas vividas
Como tomar un billete de tren
Cuando en todo, el fascismo hace el lleno
Ahora es necesario acostumbrarse
Su nombre, su nombre, es necesario darlos
Sobre todo si la vendedora es un fascista
Quién a su partido nacionalista da listas
Y si le dijera sus cuatro verdades
Hacer sus reducciones, retirarse
Hasta puede amenazarle
Por una ventana, una vez su persiana bajada
No encontrándonos ya suficientemente fijados
Ningún debate posible con la debilidad
Y como antes de la pelea
Ya se dieron el apellido y nombre
Hay efectivamente de preocuparse
Cuando el control social se mezcla
Pronto, ya
Cuando todo se ha convertido en una preocupación
Cuando todo ha pasado a ser del patán
Será necesario mostrar su carné de identidad
Incluso al restaurante, para poder comer
Todo un totalitarismo moderno
¡Y el totalitarismo clásico, en Berna!
Las terminologías evolucionan
Pero siempre el capitalismo mata
Una clase de asesino en serie
Quién prevalece en todos los países
Con misma del admiradoras, como para Guy Georges
Para un poco, pondrían a desnudas, sus gargantas
Es también las compañías mineras
Católicos, paternalistas
Todo un personal propiedad de la mina esclavista
Con toda una organización militar
Y para satisfacer la contratación
Del matrimonio a la iglesia, comulgar a la iglesia, ningún vicio
Con las muertes al campo de honor del trabajo
Cuando las palabras no son un detalle
Del obrero que era Peugeot
Del obrero que era un Michelin
Del minero que era su mina
Del obrero que era su fábrica
Como una propiedad de su dueño
Como antes, el esclavo de su plantación
Cada sociedad tenía su batalla del carbón
Con su escuela
Con su iglesia
Pero la mina tenía también sus huelgas
Quiénes no eran siempre breves
1948
El ejército francés intervino
Para matar, encarcelar, 13000 condenados, no es nada
¡Y eso no está con todo así lejos!
Y muy a considerar bien
Aunque nada puede de verdad compararse
El capital está como una mina
Pero nadie se despelleja
Con una climatología puesta patas arriba
Y de los golpes de grisú que no pueden evitarse
Francia, a principios de 1963, un invierno olvidado
Y sin embargo, treinta mil de muertes de frío
¿Pero hoy día, que lo cree?
Una quimera como la peste de antes
1347 a 1353, una decimación
Para el tercio de Europa, en población
Pues
La mayoría de la gente
Pertenecen a algo, es apenando
Por una ideología, de una religión, una creencia, esto es sorprendente
Y todo el mundo pertenece a la pasta
La pasta de la oferta
La oferta a la pasta
Todos y todas le pertenecemos
Se convierte en la primera motivación
Es el dictador de toda vida
Ya que se le somete todo, en verdad
Con toda una zona de oscurecimiento
A conciencia mantenida por la reacción
Y no solamente por el chivo expiatorio Filón
Mientras que nuestra galaxia viaja a 631 km/seconde
¡Nuestras mentalidades deberán también viajar para la revolución!
Toda la organización de nuestra sociedad
Se basa finalmente en la competitividad
Gigantesco aditivo alimentario para envenenarnos
E171
Dióxido de Titanio, del colorante a caramelo
Al conjunto dégueulassement bueno
Y a todo eso nos ajustamos
Ya hay los moldes
Para que las mentalidades se pasan
Como para la formación de los pares
Aunque más que antes, es más flexible
El par asociativo
Abierto sobre el exterior, búsqueda de igualdad, negociación
El par gremio de comercio
Su en sí, su propia jaula
El par bastión
Hombre activo, ama de casa
El par capullo
Para permanecer bajo el edredón
Sin temor del aislamiento
El par paralelo
Cierre sobre sí
Dos en entre sí
Y de la interacción a varias alas
Y qué más da los porcentajes
Es finalmente de todas las vidas, de todas las edades
Allí también, el capital sabe bien formatearnos
¡Según sus necesidades, allí-también, el capital nos sabe bien nos engrammer!
No hay finalmente
Que el elogio de la fuga de Laborit, es más prudente
Que el elogio de la consecuencia de Bruno Dubuc, es tan evidente
Ya que hay por todas partes dominantes y dominantes
Padres a los niños, eso se aprenden
La cabeza en el aire
Una vuelta en el sistema solar
Encelade
Satélite de Saturno
Su agua líquida salada, sus penachos de agua
Bajo la corteza de hielo, eso debe ser bonito
Nutrimentos, compuestos orgánicos, no es del caramillo
Europa
Satélite de Júpiter
Bajo el hielo, océano líquido salado
Grietas, de la banquisa, campo magnetizado
Y de los del montóces objetos celestiales en el sistema solar
Sin contar el todo a Kepler extrasolaires
Y ya de la zona de habitabilidad
Quizá una falsa señal para extraviarnos
Pero eso nos hace una bonita pierna mi fe
Cuando sobre nuestra Tierra, el capitalismo hace reinar su ley
Es pues pequeño, es pues estrecho
Hola ustedes
Los anarquistas de otros mundos
Pobres nosotros, en nuestro inmundo
Pas de hola, por el contrario, para los fascistas de otros mundos
¡En cualquier otro mundo, quizá del inmundo!
Ya que por todas partes donde se manifiesta el capital
Se fabrican las avalanchas del mal
Hay cobaya
Para estudiar humanos, las faltas
Y a menudo, detrás de
En experimentadores, hay la jerarquía militar
Y los efectos de los gases y drogas
Cuando las cabezas se llenan con fog
Amphétamines, pervitine, méthédrine
LSD, BZ, cocaína, substituyéndose al bibine
Sobre todo en tiempo de guerra
El pensamiento militar es harpía
Pero también en tiempo de paz
Los civiles, otro objetivo, en efecto
Y de las poblaciones bajo control
Robotización generalizada que recruta
Y en consecuencia no solamente de los científicos o los médicos nazis
Quiénes por otra parte fueron contratados por un determinado país
Los EE.UU, para señalar aún en cabeza de la ignominia
Y el soldado que no dormiría nunca
Y el soldado que no desobedecería nunca
Resumidamente, el soldado perfecto
El ciudadano que no reflexionaría ya
El ciudadano que aceptaría todo
El ciudadano que no reflexionaría ya
El ciudadano que no impugnaría ya
El fascista, para el capital, es un hecho
Es el ciudadano perfecto
¡Esto hay que vomitar, pero desgraciada, es verdad!

Patrice Faubert (2017) puète, peuète, pouète, paraphysicien (http://patrice.faubert.over-blog.com/) Estancamiento dice a la huésped sobre “hiway.fr”

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